La petite addition que l'on y fait

L'évaluation de l'enseignement se fait à partir des rapports des Maisons. «  Le succès n'a pas été entier », est-il constaté. L'assemblée en cherche les raisons. Sont-elles attribuables au texte en vigueur ? Après délibération, le bilan arrive : «  Le plan d'études avec la petite addition que l'on y fait, a été trouvé unanimement excellent, et si bien expliqué, qu'il est prouvé que si le succès n'a pas été entier, c'était par défaut de moyens dans les élèves, ou manque de fidélité à le suivre de la part des Maîtresses».

Qui a procédé à l’explication du plan d'études, lors du troisième Conseil général ?Est-ce J-N. Loriquet ? Peut-être. Le Journal du Conseil général apporte, en effet, cette information : «  le Père Loriquet a eu la bonté de venir d'Amiens avec la Mère Prévost pour nous donner les décisions dont nous avons besoin pour le plan des études». Il préside, avec Mgr Frayssinous, l'Abbé Perreau, et le P. Varin, les séances du Conseil général  467 . Mais vu ses fonctions, il est plus vraisemblable que ce soit C. de Charbonnel qui ait présenté le texte en vigueur et le bilan de la mise en œuvre. Mieux que quiconque, cette femme expérimentée était en mesure d'exposer, d'une manière claire et raisonnée, la cohérence du plan d'études. L'appréciation : « le succès n'a pas été entier » correspond, d’ailleurs, à sa façon objective et nuancée de tenir compte des faits, sans en accabler les personnes imputables  468 . Après Amiens, son influence pédagogique s'étend au pensionnat de Poitiers où elle garde ses fonctions de formatrice et d'enseignante  469 A partir de 1814, elle a «  la charge de visiter les maisons sous le rapport des études »  470  et au Conseil général de 1815, elle est nommée première assistante générale et économe générale. Ces responsabilités lui donnent un regard d'ensemble sur les différents pensionnats et leur niveau d'enseignement.

Sa biographe confirme notre hypothèse : 

« Le troisième Conseil général de la Société se réunit à Paris le 12 août 1820. La Mère de Charbonnel quitta Lyon pour s'y rendre ; indépendamment de sa charge qui l'y appelait, elle y était nécessaire à plus d'un titre : on devait s'occuper particulièrement de l'éducation, des études, et la Mère Barat comptait sur la part essentielle que son expérience y apporterait ». Et Mme Dufour d'attester  471 : « D'autre part, la profondeur de son savoir la rendait un précieux auxiliaire pour la rédaction du plan d'études, et le R. Père Loriquet qui l'estimait beaucoup, ne manqua pas de s'entendre avec elle sur ce point ».

Si le «  succès n'a pas été entier », la cause semble à attribuer à l’absence de formation initiale des institutrices. Un certain nombre de religieuses ont connu l'ancien style des monastères éducateurs. Leurs références sont celles de la Visitation, de la Compagnie Sainte-Ursule ou de Saint-Cyr et il leur est difficile d’intégrer rapidement les exigences requises pour un haut niveau d'enseignement. Aussi, le 22 septembre, J. Varin intervient-il en assemblée, sur ce point sensible. Le Journal de la Maison de Paris le relate en ces termes : «  Le R.P. de Varin a eu la bonté de nous expliquer combien il est essentiel que le noviciat soit d’abord destiné à former à la vie religieuse. La seconde année un peu d’études, et après les premiers vœux, que les Etudes soient bien perfectionnées avant de faire des Maîtresses.

Il dit encore que la Maîtresse générale ou la Maîtresse des Etudes doit aller dans les classes, siéger et voir comment les Maîtresses font leur classes »   472 . Les Règles particulières, de 1820, reprennent ce point.

La Supérieure générale déplore certaines incompétences et n'hésite pas à exhorter sur ce sujet. En guise d’illustration, cette critique un peu vive, adressée à Mme Michel, directrice des études de la maison de Grenoble : « Ma chère Adrienne, à propos, vous qui êtes Maîtresse des études, ne vous apercevez-vous pas que plusieurs des petites comme Constance, Elisa, croupissent à cette cinquième classe, répètent toujours la même chose et perdent leur temps ? Cette réflexion ne vient pas de moi : je ne pense guère à ces enfants, tant pis si celle à qui je les remets entièrement ne remplissent pas leur devoir ! Parlez-en à la Mère Thérèse cependant, et voyez cela en conscience »  473 .Le quatrième Conseil général envisage de désigner une maîtresse générale des études à laquelle chaque maison puisse recourir  474 .

Tout au long de son généralat, Mme Barat n’a de cesse de recommander la formation des maîtresses de classe. En 1818, le P. Loriquet en est chargé à Amiens, une heure par jour. Ce cours s’adresse en alternance aux «  Dames anciennes et aux aspirantes » et aux novices  475 . L’auteur du plan d’Etude provisoire reprend alors le rôle qu’il avait à la Maison d’Amiens, entre 1803 et 1805. Au noviciat de Conflans, la fondatrice n’hésite pas à expliquer elle-même le plan d’études, en l’absence de la Maîtresse des novices. Elle envisage aussi un juvénat supérieur, en vue de préparer à l’enseignement des « hautes classes » 476 . Déjà, en 1827, J. Druilhet assure cette formation pédagogique dans l’esprit de l’Institut  477 . Le cours d’humanités permet de réaliser la finalité spirituelle du service éducatif de l’Institut. Aussi M-S. Barat y tient-elle. Et, pour cette raison, elle n’hésitera pas à refuser les inspections ministérielles. M. Dufour relate d’ailleurs ce fait, survenu en 1822-23 : «  De nouvelles contradictions survinrent bientôt : on voulut entrer dans notre plan d'éducation et se réserver le droit d'étudier la science des maîtresses destinées à l'enseignement des jeunes élèves. Ceci ne tendait à rien moins qu'à nous livrer à l'administration séculière. La fondatrice s'éleva avec force contre des formalités éloignées de l'esprit de notre Institut, et vint à bout, à force de prudence et de sagesse, de sauvegarder notre liberté »  478 . Mais en quoi consistent les corrections faites au plan d’études de 1810 lors du Conseil général de 1820 ? Et de quelle obédience est ce texte devenu normatif après son approbation ?

Les décisions du troisième Conseil général sont consignées sur un feuillet, inséré dans le livret relié du plan d’études de 1810. Les corrections concernent uniquement le contenu des programmes. Elles consistent à retrouver le niveau d’études, classe par classe, du Plan provisoire de 1804. Cette volonté est particulièrement nette au sujet du programme de la classe supérieure. En voici la représentation :

1804 1810 1820
Selon les besoins des élèves, revoir ce qu’on a étudié dans les autres classes.
Les fondements de la Foi(par Aymé), en forme de lecture et de résumés.
Histoire naturelle en résumés
( Leçons de la nature).
On ne détermine rien dans ce plan d’étude pour la classe supérieure parce qu’on a consulté le goût, le talent et surtout l’utilité propre des élèves et les intentions de leurs parents. Les élèves de ce cours complémentaire rendent compte de toutes les sciences apprises dans le cours précédent et de nouveau rédigés par elles-mêmes, c’est-à-dire de l’histoire de la religion, de la langue française, de l’arithmétique, de la mythologie, de la chronologie, de l’histoire profane, de la littérature. Et elles suivent un cours particulier de l’histoire moderne dont elles font un résumé  479 .
Les fondements de la Foi
,
en forme de lecture et de résumé.
Rhétorique d’Omeron
Genre oratoire d’Amard  480
Notions sur l’Histoire naturelle de Pluche et
Les Leçons de la nature de Cousin Dépréaux, en retranchant quelques pages.

Cette détermination de retrouver la qualité de l’enseignement des commencements se manifeste également dans le fait que la règle du « gradus » est de nouveau mise en œuvre. L’enseignement supérieur  481 n’arrive plus, parachuté, en classe de première. Il est préparé tout au long du cursus et s’affirme en seconde classe où l’objectif principal est de faire accéder au sens de l’histoire. Cela est manifeste dans le programme que voici :

‘« résumer l’histoire de France,
et l’histoire romaine si l’on peut ;
La chronologie moderne de mémoire :
Littérature : Genre historique ». ’

Pour cet enseignement , J-N. Loriquet devient la référence essentielle. Deux manuels, indiqués au programme de 1810, sont supprimés : «  l'abrégé d'histoire de Bossuet et le catéchisme de Fleury » 482 . Ces corrections se retrouvent évidemment dans :

- la répartition des matières enseignées, par classe  483  ;

- la «  distribution du temps et ordre des matières à traiter dans chaque classe, le matin et le soir » 484 ;

- la liste des "livres propres à chaque classe", au même niveau d'enseignement ;

- la «  manière de traiter » l'enseignement de l'histoire, en particulier en quatrième et en troisième classes 485 . Au programme de quatrième, les noms de Bossuet et de Fleury sont remplacés par les initiales A.M.D.G. J-N. Loriquet se substitue aux anciens maîtres à penser. Ce qu'indique d'ailleurs l'expression utilisée : «  en place de ». En soi, ce fait n'est pas étonnant car l'héritier de Jouvency est « le promoteur de bonnes et solides études, à la suite d'une révolution qui avait anéanti tous les établissements d'instruction publique ». D’après son biographe, il aurait même «  inauguré, dans les collèges de sa Compagnie, l'enseignement de l'histoire, de l'histoire nationale surtout, bien avant que cet enseignement obtînt au sein de l'Université la place qu'il y occupe aujourd'hui » 486 .A ce titre et comme co-fondateur des études des commencements, il est au regard de l'Institut, celui qui garantit une solide formation intellectuelle dans les maisons de la Société du Sacré-Cœur.

Aimée d'Avenas, maîtresse générale du pensionnat de Paris et rédactrice d'ouvrages didactiques, combattra en vain cette exclusivité. A ses demandes réitérées de remplacer les livres d'histoire de J-N. Loriquet par ses propres manuels, M-S. Barat répond en ces termes  487  : «  Que d'ouvrages vous mettez au jour, chère Aimée ; votre imprimeur pourra à peine suffire ; c'est vous qui deviendrez la merveille de votre siècle, si vous continuez ! Pouvait-on appliquer plus mal à propos la comparaison que vous m'appliquez ! Je plains nos contemporains s'ils n'ont pas d'autre célébrité...

Pour répondre sérieusement à votre demande, je préfère que vous fassiez, pour votre dernier ouvrage, comme pour les précédens ; qu'ils soient imprimés sans mon approbation. Je ne puis la donner sans connaître l'ouvrage, et aucun ne sera passé par mes mains. C'était pour y suppléer, que je vous avois conseillé de le soumettre ainsi que les autres, au P. Loriquet. Je suis sûre qu'ils les aurait trouvés bien et alors, ils auroient acquis ainsi plus de confiance auprès des nôtres. C'était ce que je voulois ; sans ce rempart, les critiques pleuvront, ou on se plaindra que je ne les ai pas connus ! C'est fait, mais par la suite, ne pourriez-vous pas vous astreindre à les faire examiner par ce Père qui a la confiance de la Société ! Si vous trouvez une bonne occasion, envoyez-nous un exemplaire de chaque. Je les verrai avec un véritable intérêt ! ». Ainsi en 1837, l'auteur du Plan d'Etude provisoire à l'usage de la Maison d'Amiens reste le guide privilégié, voire la référence obligée.

Les modifications apportées au plan d'études concernent également, mais dans une moindre proportion, l'enseignement de la littérature, de la géographie et de l'arithmétique. La classe de première reprend l’étude du genre poétique. Les Fables sont au programme des quatre classes. Mais, surprise..., elles ont signées de J-N. Loriquet. Le programme d’arithmétique de seconde reprend les notions de « multiplications ; division complexe ; fractions ; multiplications et divisions géométriques ». Les classes de quatrième et de troisième retrouvent, globalement, les programmes d'arithmétique et d’histoire de 1804. Leur niveau redevient celui des «  basses classes » du projet initial. En ce qui concerne les arts d’agrément, la codification horaire est fort allégée, par rapport à 1810, mais la norme reste inchangée. La signification en est renforcée. La formation essentielle ne porte pas sur ce qui, autrefois, était privilégié en vue d'acquérir essentiellement de «  bonnes manières ». Elle concerne un enseignement de culture, comme le souligne la réapparition de la gradation de l’enseignement, spécifique aux humanités. Le critère de l’utilité avait commandé la rédaction du plan d’éducation de 1806. Avec les modifications apportées au plan d’études de 1810, il doit désormais composer avec celui de la vérité, principe de choix qui assure la cohérence du Cours d’études et de la visée spirituelle de l’Institut.

Mais la prévention vis-à-vis d’une formation intellectuelle de haut niveau n’est pas morte, comme l’attestecette recommandation, à la date du 22 septembre 1820 : «  Le P. Varin pense que nous ne devons accorder à nos Elèves que très difficilement l’étude du latin, et travailler à les en éloigner et les en dégoûter. Evitons le ridicule de faire des femmes savantes »   488 . Le conservatisme des familles ne s’adresse pas uniquement à la forme de vie religieuse adoptée dans les commencements. Il vise également le style éducatif. Toutefois, l’orientation donnée par la première communauté d’Amiens semble confirmée. Vérifions-le, néanmoins, à un second niveau d'analyse, par l’étude du paramètre central : « la  distribution du temps et l’ordre des matières à traiter dans chaque classe, le matin et le soir », niveau par niveau.

Les pages suivantes présentent ces tableaux comparatifs.

Le maintien du paradigme central, «  l'ordre des matières à traiter dans chaque classe le matin et le soir », confirme le label ignatien 489 . Les modifications, décidées en 1820, portent sur le contenu des enseignements et non sur la conception éducative. Néanmoins, elles sont significatives. Ellesmanifestent la volonté de retrouver le niveau d'enseignement donné aux commencements de l'Institut par M-S Barat et ses premières compagnes.

Ce plan d'études a été élaboré et mis en oeuvre avant la rédaction des Constitutions, ratifié après leur promulgation. Ainsi, de même que le charisme Congrégationnel a pris visage dans les Constitutions, de même le système éducatif reçoit sa forme propre. Les deux dynamiques vont de pair. Des convictions sont mises en œuvre : l'éducation se fait par l'enseignement ; savoir lire et écrire est ordonné à savoir penser par soi-même ; s'adonner aux sciences, ce n'est pas s'éloigner de Dieu mais l'y trouver. Ce texte normatif restera en application jusqu'en 1852 où un autre plan d’études sera rédigé par Aimée d'Avenas. A ce titre, il peut être considéré comme le plan fondateur de la pédagogie des pensionnats de la Société du Sacré-Coeur de Jésus.

Notes
467.

Mr l'Abbé Perreau est délégué du Cardinal de Périgord grand aumônier de France et supérieur général de la Société du Sacré-Cœur de Jésus. Il préside le Conseil général de 1820, signe les modifications apportées aux Constitutions de 1815.

468.

C'est l'un des traits de sa personnalité qui apparaît dans sa notice, à travers certains faits relatés.

469.

Idem, Chapitre V (1820-1822), p.70.

470.

M-T. Virnot, A la lumière de tout un passé : Textes et faits sur la formation des éducatrices, A.S-C. F., p. 5.

471.

Ibidem, p. 87. Quelques pages plus loin, Mme Dufour fait l’éloge des qualités éducatives et intellectuelles de Mme de Charbonnel : « Les traditions simples et nobles en même temps, des anciennes familles françaises avaient, en la Mère de Charbonnel, comme leur personnification. Et elle ne fut pas étrangère au cachet d'élévation et de solidité qui caractérise l'éducation au Sacré-Cœur. La profondeur de son savoir » et la liberté de réflexion et d'expression qu'elle suscitait, sont ainsi décrites : « Ses instructions dogmatiques étaient si estimées de notre première Mère, relate la biographe, qu'elle tenait à lui en voir faire une chaque jour pendant ses séjours à Paris. On eût dit que la Mère de Charbonnel pressentait dès lors les grandes luttes de l'Eglise ; avec quelle précision elle développait les questions relatives au gallicanisme, à l'infaillibilité ! Profondément attachée au Souverain Pontife, elle voulait faire passer ses sentiments dans tous les cœurs ; rien, d'ailleurs, n'était plus intéressant que ses instructions. Le temps y passait avec la rapidité de l'éclair, nous dit une de celles qui l'écoutaient. Elle permettait qu'on lui exposât tous ses doutes, qu'on réclamât des explications. Ayant, en fait de religion, une science remarquable, elle ne craignait ni les digressions, ni les difficultés, et répondait à tout avec une netteté sans réplique », ibid., chapitre V, (1820-1822), p. 91. 

472.

Ibid., 2  e cahier, p. 13.

473.

Lettre à Adrienne Michel, à Grenoble. Paris le 3 janvier 1817, A.G.S-C, C-I, A I.

474.

Aimée d’Avenas aura ce rôle. En voici la trace, dans une lettre que lui adresse M-S. Barat : « Croyez, chère Aimée, que votre absence me pèse. Sans cesse je me surprends à penser à votre retour; il me paraît que vous êtes absente depuis si longtemps. D'un autre côté, comme vous ne pouvez plus réitérer ce voyage avant deux ou trois ans, je serai bien aise que vous puissiez régler les Etudes dans les maisons qui se trouvent sur votre passage. Ainsi Niort, Poitiers, Tours. Puis quelques jours au Mans pour terminer!

D'après cet aperçu, c'est à vous, ma fille à former vous-même votre itinéraire de manière à pouvoir nous arriver vers la fin de septembre, pour nous aider à organiser notre nouvelle année et former les plans de classes et décider les montées! Quel déficit partout; il est encore plus sensible ici presque pour toutes les classes. Les Elèves parlent de la médiocrité de leurs Maîtresses; c'est une vraie misère! et qu'il faut absolument travailler à remonter nos classes, et d'abord les Maîtresses. Nous en causerons à votre retour, chère Aimée; je vous ferai part de mes réflexions et de mes plans!... » Lettre à Aimée d'Avenas, Paris le 25 août 1847, A.G.S-C.

475.

Journal de la Maison d’Amiens, A.S-C.F., 1818. Cité par M-T. Virnot, A la lumière de tout un passé : Textes et faits sur la formation des éducatrices, idem, p. 5.

476.

Ce projet sera réalisé en 1865 par la deuxième supérieure générale, J. Gœtz.

477.

« En 1827, elle obtint du R.P. Druilhet un cours d'instructions sur l'art de l'éducation ; il revit lui-même les extraits qu'on en rédigea et qui furent envoyés dans toutes les maisons, afin que chacune pût se les rendre familières et y conformer sa conduite. Par la suite la mère Barat recommandait la lecture des œuvres de Mgr Dupanloup, si propres à éclairer et à guider ceux qui suivent cette carrière », A. Cahier Vie de la vénérable mère Barat, tome II, chapire LIX, Zèle pour l'éducation de la jeunesse et pour les autres œuvres, E. de Soye et fils, Paris, 1884,p. 521.

478.

La relation se poursuit, précisant que cette difficulté a « failli un moment ébranler » la fondation du pensionnat de Besançon. Notice de C. de Charbonnel, par M. Dufour, chapitre VI, p. 119-120.

479.

Manuscrit, p.43.

480.

Il est indiqué que ces deux manuels sont « pour les maîtresses qui feront un abrégé pour les élèves »., idem.

481.

Enseignement supérieur par opposition à élémentaire.

482.

Ce qui réduit la liste des objets d'enseignement à quatorze au lieu de quinze,  idem, "Division des classes et objet de l'enseignement dans chaque classe", p. 4.

483.

Ibidem, p. 5 à 7.

484.

Ibid., 8 à 10.

485.

Ibid., p. 22 à 25.

486.

Vie du Révérend Père Loriquet, écrite d'après sa correspondance et ses ouvrages inédits, Préface, p. VII, Paris, Poussielgue-Rusand, 1845.

487.

M-S Barat, Lettre 3 à Aimée d'Avenas, Rome le 21 septembre 1837.

488.

Journal de la Maison de Paris, 4 e cahier, A.G.S-C., dernier folio.

489.

Un autre document le confirme également : les Conférences sur les Devoirs des Maîtresses de classe et des surveillantes, par le R. P. Druilhet, en 1827, Réglement des pensionnats et Plan d’études de la Société du Sacré-Cœur, Imprimerie d’A. Jacob, Orléans, 1852, A.G.S-C, p.129-262. Ce texte mériterait une étude comparative avec le Dicendi et docendi de Jouvency.