2.2.3.1 Troubles phonologiques

La plupart des auteurs s’accordent à penser que la phonologie reste longtemps préservée au cours de l’évolution de la maladie. Irigaray (1973) par exemple, a montré cette préservation en étudiant 32 patients. Les travaux de Bayles (1979) confirment ces conclusions par l’étude de 35 patients.

En outre, la préservation des capacités de répétition jusqu’à un stade avancé de la maladie incline à écarter la possibilité d’une atteinte de la programmation et de l’articulation.