Le rapport affectif au quartier

C’est avec une presque unanimité que les enfants «notent» leur quartier très ou assez agréable, tranquille, assez grand, très ou assez beau. Ce tir groupé est intéressant dans la mesure où, s’il est compréhensible de la part des enfants de Puyricard qui habitent finalement le même village, on peut s’en étonner de ceux de Jean Jaurès dont l’habitat est plutôt disséminé dans la ville.

Les adultes (à 95%) trouvent leur quartier très ou plutôt agréable. Si ce sentiment est naturel parmi ceux qui ont eu la possibilité (financière) de choisir leur logement (leur quartier), il convient de se poser la question pour ceux qui se sont vu attribuer par l’administration du Crous un logement en Cités Universitaires.