Troisième partie : le cycle sémiotique de la ville

Nous poserons en préalable des jalons et repères qui structureront les résultats de la partie précédente (la ville ne peut être regardée comme discours qu’en acceptant un degré métaphorique, la perception de la ville est codée culturellement et définie par la pratique individuelle), puis nous mettrons en opposition lectures naïves et lectures savantes de la ville (Chapitre 8) et de l’objet architectural (Chapitre 9) pour montrer combien celles dites naïves sont riches alors que celles voulues savantes réduisent le fait urbain selon quelques systèmes. Nous montrerons (chapitre 10) que le fonctionement sémiotique de la ville est constitué d’un cycle enchaînant plusieurs systèmes sémiotiques.