La faculté n’entend donner aucune approbation, ni improbation aux opinions émises dans les thèses : ces opinions doivent être considérées comme propres à leur auteur.
A, Kenza
Amalia
Insaf
Ismaïl
Wissal
Manal
Je tiens en premier lieu à remercier les professeurs Jean-Yves Lesueur et Fouzi Mourji. Chacun à sa manière a su me guider et me conseiller au cours de cette recherche.
Le Professeur Jean-Yves Lesueur m’a appris que l’analyse de questions relatives aux pays en développement ne devait pas faire l’économie de l’utilisation des théories les plus avancées et des outils techniques appropriés. Les économistes sont responsables de leurs écrits et idées, aussi, la réfutation des théories avancées par l’utilisation d’outils économétriques m’a séduit.
Le Professeur Fouzi Mourji, quant à lui, m’a convaincu de l’utilité, mais aussi de la difficulté du travail d’un économiste dans un pays tel que le Maroc. La réflexion, enthousiaste et rigoureuse, qu’il porte à son environnement m’a révélé l’importance du rôle citoyen d’un intellectuel. D’autre part, je lui dois de m’avoir introduit auprès de personnes compétentes, pour lesquelles la notion de service public est une mission précieuse.
Je pense en particulier à Mesdames Khamlichi et Zizi du Ministère de l’Economie et des Finances, à Messieurs Faraj et Lakhal du Ministère de l’Industrie, du Commerce, de l’Energie et des Mines, à Monsieur Fawzi du Conseil Déontologique des Valeurs Mobilières et enfin au Professeur Belghazi du Centres d’Etudes et de Recherche Abdelaziz Bellal. Les discussions que nous avons pu échanger me donnent confiance en l’avenir.
Ma reconnaissance va également à Patrick Plane pour ses conseils. Je le remercie, ainsi que les Professeurs Chauveau, Dietsch et Sandretto pour l’honneur qu’ils me font de participer à mon jury.
Je remercie Catherine Ris pour son soutien. L’aide qu’elle m’a apportée tout au long de la rédaction de cette thèse ainsi que sa perspicacité ont pour moi été très précieuses.
Tout au long de ces quatre années, de nombreuses personnes ont, par leur amitié et leur sympathie, été un soutien moral précieux. Toutes celles qui ont participé aux relectures du manuscrit, qui m’ont aidé à finaliser ce travail se reconnaîtront. Qu’elles en soient profondément remerciées.
Mes remerciements les plus sincères vont également à tous les membres du CERDI (Clermont-Ferrand) et du LASAARE (Casablanca) qui m’ont offert un cadre de travail agréable et stimulant et enfin du GATE (Lyon) qui ont contribué à l’accomplissement de ce travail.