2. Désaccord ni adouci ni durci

On voit souvent, dans un contexte de discussion, des tours de parole qui ne comprennent pas les marqueurs linguistiques qui permettraient d’adoucir ou de durcir l’acte de désaccord. Dans certains exemples, le désaccord est exprimé par une formulation contradictoire interprétée par la maxime de «relation» au sens de Grice. Dans d’autres exemples, le désaccord est exprimé plus directement par l’usage d’une particule négative (’ani’) ou par un marqueur explicite d’opposition, tel que kûlona, kûlônde, et kûlôhjiman.