Le problème de la prise des décisions

Bien qu’en réalité la prise des décisions soit un processus, selon sa complicité et son caractère comparable, au total, avec celui de la pensée, on procède (sous la notion “ la prise des décisions ”) à un acte du choix de certaines alternatives de son ensemble défini.

  1. Si le choix d’une alternative a є A entraîne l’apparition d’une issue bien définie x є X, cela veut dire qu’il n’y a aucune différence entre le choix d’une alternative ou d’une issue. On peut alors considérer que la préférence est donnée simplement sur l’ensemble d'alternatives A. Dans ce cas, encore appelé le cas déterminé, nous pouvons effectuer un choix raisonnable, à moins que la préférence sur A soit “ suffisamment bien ”.
  2. La correspondance entre A et X peut être stochastique, lorsque des alternatives choisies et effectuées au hasard avec des valeurs dans l’ensemble X d'issues X. Le caractère de ce hasard est décrit par la distribution des probabilités pa sur X. Alors, le choix d’une alternative a correspond au choix pa, et l’ensemble A on peut remplacer par l’ensemble des objets dits de "non-hasards" P=(pa : a є A). Mais, pour cela il est nécessaire de construire une relation de la préférence en P, puisque celle n’est pas donnée qu’en X.
  3. Des choses similaires ont lieu dans le cas, où une issue du choix est non définie par son caractère non stochastique. Selon le contenu, les raisons de l’indéfini des issues peuvent être très différentes : par exemple, le manque de l’information. Comparativement bien étudié le cas, quand l’indéfini parait, à causes des actions d’autres personnes, indépendant de la décision prise par un individu, et influençant l’issue du choix d’une alternative. Donc, un individu ne connaît pas l’issue dans le cas de son choix, mais il connaît le domaine des actions possibles. Comme dans le cas stochastique il est obligé de prendre une décision en prenant en considération ses préférences en fonction de quelques paramètres.
  4. On revient au cas déterminé. Si le choix d’une alternative entraîne une et seulement une issue, cela signifie qu’il n’y a pas de l’indéfini relativement aux issues d’un choix. Mais ici peut avoir lieu l’indéfini d’autre sorte : un individu ne connaît pas complètement sa préférence selon les issues, ou bien, cette préférence peut être contradictoire.

Si un individu ne sait rien sur sa préférence, aucune théorie ne l'aiderait. Au moins, dans la plupart des cas on considère que la préférence combinée d’un individu est un agrégat de certaines “ bonnes ” préférences, dont chacune reflète l’opportunité des alternatives selon un certain aspect, paramètre, etc.