Au terme de quatre années de recherches et au seuil de cette thèse, il me reste à m’acquitter d’une tâche bien agréable, c’est-à-dire remercier tous ceux qui m’ont aidé dans mon entreprise.
Monsieur François Loyer, tout d’abord, Directeur de Recherche au CNRS et Directeur du Centre des Hautes Etudes de Chaillot qui a dirigé les différentes phases d’élaboration de cette thèse, indiquant les impasses, les manques, montrant les ouvertures et les équilibres nécessaires avec la subtilité souriante dont il a le secret.
Monsieur Etienne Fouilloux, ensuite, Professeur d’Histoire religieuse à l’Université Lumière Lyon II, qui a accepté de relire une première épreuve de ce travail et m’a prodigué de précieux conseils.
Je dois aussi une reconnaissance toute particulière à tous ceux qui ont bien voulu répondre à mes questions et mis à ma disposition les ressources de leurs archives privées. Je pense en premier lieu aux abbés Michel Brion et Jean Vincent de Nantes, à l’abbé Jean Hervé de Creil, aux architectes François Delage, Yona Friedman, Michel Marot, Paul Maymont, Hans-Walter Müller, Jacques Prioleau et Hugo Vollmar, au philosophe et urbaniste Paul Virilio qui ont fait preuve d’une très grande disponibilité en acceptant de me recevoir longuement et d’une grande confiance en me livrant anecdotes, photos ou plans inédits ; je souhaite encore remercier ici Monsieur et Madame Chambolle, Mesdames Antoinette Le Donné et Annie Poitrenaud, les abbés Joseph Aubin, M. Voisin, les pères Michel Cantin et Roger Pannier, le pasteur Dassonville, les architectes Michel Bataille, André Béhotéguy, Jean Cognet, Georges Evano et Eugène Voltz qui ont toujours accepté de répondre par téléphone ou par écrit à mes demandes et qui m’ont confié, avec beaucoup de gentillesse, informations et documents personnels.
Je tiens également à remercier Catherine Coley responsable des Archives Modernes de l’Architecture Lorraine à Nancy qui m’a apporté son appui grâce à sa très bonne connaissance de l’oeuvre de Jean Prouvé ainsi que Catherine Drouin-Prouvé qui a eu l’obligeance de demander aux Archives Départementales de la Meurthe-et-Moselle de m’accorder l’autorisation de reproduire les documents photographiques relatifs aux églises nomades dont le principe fut défini par son père ; autorisation qui m’a été donnée par Monsieur Hubert Colin Directeur de ces Archives. Que ces personnes trouvent ici l’expression de ma gratitude. Madame Véronique Harel, chargée d’action culturelle de l’Historial de la Grande Guerre à Péronne m’a, quant à elle, aimablement communiqué de la documentation relative aux chapelles précaires ou mobiles réalisées dans le cadre de ces évènements tragiques. Les responsables et le personnel des Archives d’Architecture du XXème siècle de l’Institut Français d’Architecture à Paris m’ont permis à plusieurs reprises de travailler sur le fonds Pierre Pinsard en me réservant à chaque fois le meilleur accueil. Madame Sylvie Barot, conservateur des Archives Municipales de la ville du Havre, m’a fort gentiment fait parvenir un exemplaire du catalogue de l’exposition « André Le Donné » qui avait été réalisée à Nantes en 1985. Enfin Richard Klein, architecte enseignant à l’Ecole d’Architecture de Lille Régions Nord, m’a permis d’exposer à plusieurs reprises différents aspects de mes recherches devant ses élèves. Que chacun trouve ici l’expression de ma reconnaissance.
Il ne m’est pas possible de conclure cet exercice sans souligner que je n’aurais pas pu m’acquitter de ce travail sans le soutien de Claudine Lion, mon épouse.