En 1963, Michel Ragon publie, sous le titre Où vivrons-nous demain ? un recueil de théories et de projets d’architecture et d’urbanisme dont le caractère souvent utopique est révélateur d’une période où les développements de la science semblent annoncer une ère nouvelle radieuse portée par un perpétuel progrès. Ce livre sera suivi durant les années soixante de trois autres ayant des propos similaires : Les visionnaires de l’architecture en 1965, Les cités de l’avenir en 1966, La cité de l’an 2000 en 1968. La plupart des projets mentionnés dans ces ouvrages ont en commun de considérer le sol naturel et la ville historique, sédimentaire, comme des éléments avec lesquels il semble urgent que la ville contemporaine prenne ses distances en se surhaussant, en se déployant dans les trois dimensions de l’espace et en intégrant une nouvelle dimension, celle de la mobilité, c’est à dire la combinatoire de l’espace et du temps.
C’est également le sentiment de l’ingénieur Robert Le Ricolais550 qui écrit, au début des années soixante, : « ‘Une époque passionnante s’ouvre pour l’Architecte s’il veut garder son prestige et ses privilèges de bâtisseur d’une nouvelle société. Davantage que par les possibilités accrues des matériaux et des techniques, l’architecte de demain devra se familiariser avec des doctrines souvent abstraites, comme celles de l’espace et du mouvement’ »551.
Les propres recherches de R. Le Ricolais visaient à augmenter la portée des structures vers l’infini afin qu’en parallèle leur poids tende vers le néant. Pour ce concepteur de structures semblables à des toiles d’araignées, l’avenir conduisait à la mobilité et à la dématérialisation de l’architecture552. « ‘En contraste avec l’architecture de jadis », annonce-t-il de manière prophétique, « celle de demain devra composer avec tout ce qui marche, roule, flotte ou vole, en un mot avec tout le dynamisme de la vie future’ »553.
André Le Donné lorsqu’il s’interrogea, à la même époque, sur l’avenir de l’architecture, formula une réponse très proche du propos de R. Le Ricolais, ce qui peut surprendre de cet ancien disciple d’Auguste Perret. Dans un texte intitulé de manière explicite « ‘Vers une architecture dynamique’ »554, il opte pour une rupture radicale avec les fondements de l’architecture traditionnelle statique en situant désormais l’architecture du côté du mouvement, de l’expression de la dynamique des forces. « ‘Quel langage architectural peut parler une société placée sous le signe du mouvement, dont les aviateurs et les astronautes sillonnent l’espace, révélant les lignes de force qui y règnent et les directions qu’y imposent leurs lois, cet espace dont elle appréhende mieux maintenant toute la structure invisible ? ’», interroge-t-il, « ‘Tributaire du poids des matériaux, l’architecture du passé les assembla d’abord par empilage, exprimant, par un statisme absolu, la loi de la pesanteur ; puis l’on pressentit la notion de force et l’on s’ingénia, par la disposition des matériaux, à créer des structures qui en dirigèrent le poids’ »555.
Afin d’exprimer, dans l’oeuvre bâtie, le jeu des tensions qui composent dans l’espace un maillage de forces de traction, de compression et de flexion, A. Le Donné proposa de recourir au système de couverture des tentes afin de diminuer, autant qu’il est possible, la pesanteur du matériau employé pour la couverture. « ‘Et sans doute serait-il bénéfique à l’homme d’aujourd’hui », conclut-il, « d’édifier dans la cité quelques exemples de cette ‘architecture de mouvement’, porteuse de rêve et d’évasion comme la voile du navire et l’aile du moulin’ »556. Dans cette perspective, A. Le Donné concevra différents projets - arènes de la danse et églises-tentes – au sein desquels les voiles tendus occupent une place essentielle.
Nicolas Schöffer conçut le projet d’une « ‘architecture spatio-dynamique’ »557 décollée du sol et suspendue à de hauts pitons de dix à vingt mètres de hauteur (fig. 187). « ‘Je vois ces cités résidentielles », écrit N. Schöffer, « relativement près du sol, mais néanmoins décollées à une certaine hauteur, entre dix et trente mètres, placées sur de hauts pylônes. En effet, l’effet de décollement est toujours stimulant, aussi bien dans le sens de l’effort, et dans ce cas poussé verticalement très haut, que dans le sens de la détente, pas très haut, et distendu au dessus du paysage’ »558. La cité cybernétique de N. Schöffer était basée sur le présupposé que les rythmes des collectivités sont similaires aux rythmes biologiques vitaux des humains et qu’il est nécessaire de synchroniser ces deux rythmes pour parvenir à un fonctionnement harmonieux de l’homme dans la ville. « ‘Tant que les groupes humains ne respireront pas à l’aise dans leur cadre urbain, tant que les organes de leurs rythmes collectifs ne seront pas perfectionnés nous aurons des malaises sociaux, des conflits de toutes sortes ’», affirme encore N. Schöffer559. L’organisation spatiale de la ville cybernétique, à l’image du fonctionnement biologique de l’homme, prévoyait « ‘des villes de loisirs intellectuels qui seront réservés aux écoles, universités, conférences, colloque, services religieux, possibilités de retraites et de méditations’ »560.
Fig. 187 : N. Schöffer, « Urbanisme cybernétique, ville résidence-dortoir ».
FIG187
(N. Schöffer, La ville cybernétique, 1969, p. 121).
L’architecte Edouard Albert fut également très intéressé par l’hypothèse d’un urbanisme spatial. En 1959, il exposa ses réflexions à l’occasion d’une conférence pour « Une Architecture Spatiale ». « ‘A l’ère spatiale doit vraisemblablement correspondre une architecture spatiale’ », affirme-t-il alors561. Il imaginait des villes fondées sur la mise en oeuvre d’ossatures légères de grande hauteur à contreventements tridimensionnels au sein des quels les ménages assureraient la construction de leurs cellules personnelles (fig. 188). Pour E. Albert, l’architecture spatiale constituait le catalyseur d’une harmonie géométrique retrouvée entre l’expression architectonique et la nature car elle devait permettre d’y incorporer « ‘le silence et la transparence du ciel’ »562. Cette démarche se voulait en rupture totale, sans liens physiques ou symboliques, avec les monuments des grandes civilisations « ‘qu’il s’agisse de celle de Pékin ou celle de Versailles’ »563. « Il ne peut être question d’aménager de façon quelconque ces tracés ‘à plat’ ou même de s’en inspirer », affirmait encore E. Albert qui concluait : « ‘Dès maintenant la ville sur tracé tridimensionnel est la seule qui ne soit pas folle’ »564. Les recherches d’E. Albert sont parmi les rares dont leur auteur a tenté un début de traduction concrète comme en témoignent l’immeuble de la rue Croulebarbe à Paris (fig. 189) ou la chapelle du quartier de Montconseil à Corbeil-Essonnes565.
L’architecte Yona Friedman déclina du milieu des années cinquante à la fin des années soixante sa thèse de l’architecture mobile au travers d’un ensemble important de textes. Son ambition était de jeter les bases d’un urbanisme et d’une architecture dont la conception et le développement s’opèreraient de manière synchrone avec les transformations sociales. Cette démarche se fondait sur l’idée que l’accroissement de la population humaine atteignait un rythme qui empêcherait désormais de coordonner ces transformations les unes en fonction des autres. Pour répondre à ce dépassement supposé des capacités humaines à organiser ou à prévoir le développement harmonieux des villes, Friedman proposa de recourir à un système d’autorégulation confié à des ordinateurs, à un urbanisme fondé sur la convertibilité des surfaces et à une architecture « mobile » composée d’une grille tridimensionnelle surélevée perchée sur des piliers à plusieurs dizaines de mètres au dessus du sol et des bâtiments des villes existantes. C’est ce que montre son projet de « Paris spatial » (fig. 190 et 191).
« ‘Quand j’était à Haïfa en Israël durant les années 54 – 55’ », précise Y. Friedman, « ‘on réalisait une énorme conduite d’eau d’irrigation et il y avait beaucoup d’éléments de tuyaux de 2 m 50 de diamètre, en béton armé ; il y avait eu beaucoup de “malfaçons” inutilisables comme conduite d’eau. J’ai pensé que ces éléments pouvaient être utilisés immédiatement comme “abris” directement posés sur le sol. Un des points sur lesquels j’ai toujours insisté dans l’architecture mobile c’est de se débarrasser des fondations car c’est l’élément le plus limitant à la fois pour l’architecture et pour l’urbanisme. On ne peut modifier la trame d’un quartier s’il y a des fondations. C’est une idée dont l’origine provient des pilotis de Le Corbusier qui réduisent les points d’impact. Puisque c’est au sol que les dégâts sont les plus grands, je proposais soit pas de fondations du tout (avec des “blocs radiers” déposés directement sur le sol comme des containers flottent sur l’eau ou soit un système de construction “à l’enjambée” comme je l’ai appelé où les pilotis, très espacés, réduisent les points d’impact au minimum ’»566.
Yona Friedman distingue dans ses thèses deux besoins biologiques immuables : le besoin de s’abriter et le besoin de se promener. Cette vision d’une cité où l’horloge de l’ordinateur aurait permis un développement urbain sans histoire, au sens fort du terme, et empêcher toute tension, tout dérèglement, incluait la présence de lieux de culte. Mais Friedman considère que les églises sont à classer dans la catégorie des “abris publics” où les individus s’assemblent alors que dans les musées il se promènent. Selon sa théorie, ces églises “abris publics” devaient pouvoir être déplacées comme le reste de la ville afin de s’adapter aux transformations sociales567. « ‘Dans mon projet de Paris spatial les églises devaient être mobiles », précise Y. Friedman, « cette mobilité devait exister pour répondre à tout usage imprévisible. La structure a été pensée afin que ne soient pas limités les usages possibles. Donc, par exemple, l’église pouvait être disposée sur le sol, sous l’infrastructure mais aussi dans l’infrastructure’ »568.
C’est dans cet esprit qu’il dessina, au milieu des années 60, son projet de sanctuaire oecuménique569.
Michel Ragon fait observer que les architectes « visionnaires » prévoient les conditions d’un syncrétisme des religions, tout au moins sous l’angle architectural. Il estime que les chapelles de l’aéroport d’Orly, ouvertes à tous les cultes, constituent une première concrétisation de cet idéal570. De fait, les projets que l’on trouve mentionnés dans les ouvrages de M. Ragon, offrent différentes visions de villes globales, idéales et définitives. Ces villes ambitionnent d’être en harmonie avec leur environnement naturel et capables de répondre à l’ensemble des désirs et des pratiques des habitants.
Paul Maymont, s’il revendique toujours avec force la nécessité pour les architectes de réfléchir aux questions fondamentales qui se posent à l’humanité en matière d’environnement et d’urbanisme, refuse cependant le qualificatif de « visionnaire » qu’a employé Michel Ragon à son propos571. « Au contraire », affirme-t-il, « ‘je pense avoir été un architecte de mon temps et chaque fois que j’ai dessiné quelque chose je savais que j’étais capable de le construire dans l’instant. Il n’y a pas eu chez moi de “vision particulière”, j’ai simplement essayé de résoudre des problèmes qui se posaient à l’époque et qui se posent toujours et dans les mêmes termes. Il est très déplaisant de constater que les architectes ne s’intéressent toujours pas aux problèmes essentiels de l’avenir de l’humanité. Les architectes sont devenus des dessinateurs de façades, des créateurs d’objets, parfois charmants mais généralement sans souci de l’environnement, du contexte, du rapport avec le bâti ancien. Ces architectes font des monuments à leur gloire. Les problèmes qui se posent à nous sont, au demeurant, simples. Nous sommes sur une planète toute petite, on le découvre, alors qu’on l’imaginait infinie d’espaces et de ressources. Buckminster Fuller a très bien résumé cette idée en disant que l’humanité habite sur un vaisseau spatial dont les réserves pour être nombreuses sont cependant limitées. Il ne faut donc pas gaspiller ces réserves sinon on mettra en danger la survie de l’humanité. Il y a une sentence chinoise qui dit : “Nous ne sommes pas les héritiers de la terre de nos ancêtres, nous sommes les locataires de la terre de nos enfants”. Les architectes devraient avoir cela constamment à l’esprit. Le problème majeur est de conserver la planète en l’état. Le souci des architectes devrait être de s’occuper en priorité du problème d’aménagement de la planète : faire l’inventaire des ressources, participer à toutes les réunions des décideurs en cette matière, oeuvrer à l’élaboration de politiques sérieuses en matière de défense des forêts, de suppression des pollutions. Pour moi, c’est ça l’architecture. Elle commence là. Car si on ne s’occupe pas de ces questions, il n’y aura plus d’architecture, car plus personne pour y penser’ »572.
L’importance que prirent dans l’actualité des années cinquante-soixante les différents épisodes de la conquête de l’espace, trouve un écho dans les projets que publie M. Ragon. L’espace permet de fonder des recherches dans un ailleurs qui soit en totale rupture avec les bases historiques de l’architecture : quasi-absence de pesanteur, légèreté des matériaux, mobilité. L’élaboration de projets de cités extraterrestres offrait donc la possibilité de faire abstraction de toute référence à l’architecture traditionnelle.
Paul Maymont élabora ainsi les caractéristiques d’un habitat lunaire futur (fig. 192). Evoquant ces recherches, l’ingénieur René Sarger écrivait alors : « ‘Demain les cosmonautes vont avoir besoin d’habitat, puis de cités. Il est sans doute impensable que les “immeubles” humains soient des copies du Parthénon, mais il est tout aussi insensé que ces cités soient inspirées de l’Unité d’Habitation de Le Corbusier’ »573.
‘« Je n’ai jamais travaillé avec René Sarger », précise Paul Maymont, « en revanche sur ce type de projet j’ai collaboré avec l’ingénieur David Jawerth, à Stockholm, qui avait réalisé les calculs. J’ai élaboré ce projet de ville astrale avant que l’on aille sur la lune. J’avais essayé d’imaginer les contraintes engendrées par un sol très pulvérulent. Mais, actuellement, on concevrait cela autrement, on chercherait au contraire à s’enterrer. Du fait de l’allégement des matériaux le poids de ce type de construction devenait infime et il fallait donc prévoir un ancrage travaillant en traction. Le projet d’habitat lunaire a été conçu dans le cadre d’un brevet que j’ai d’ailleurs pris seul. C’est ce principe que j’ai appliqué dans la conception de mes cellules juxtaposables et superposables »574.’Penser une architecture lunaire permettait d’imaginer des constructions pour lesquelles les contraintes découlant de la gravité étaient quasiment nulles. « ‘La densité lunaire étant de 1/6 de celle de la terre, le poids compte moins’ », souligne Paul Maymont, « ‘il n’est donc pas question de pouvoir construire par éléments tenant par frottement. Je pense à un système de mâts et de câbles permettant une construction auto-stable’ »575.
Comme il le concède alors, les réflexions que conduit P. Maymont autour de constructions composées de matériaux ultra-légers et résistants à la chaleur ont pour ambition de ‘« faire progresser l’habitat terrestre’ »576. Dans l’un de ses projets il ambitionnait d’édifier un grand axe de circulation aérienne dans la partie est de Paris en jalonnant cette voie de quartiers d’habitat de 10 à 30 000 habitants chacun. Chacun de ses quartiers aurait été édifié autour d’un mat central de vingt mètres de diamètre et de 150 mètres de haut supportant, attachés à des câbles, les logements, les équipements et l’ensemble des infrastructures d’accès. « ‘La conquête de l’espace urbain ne se fera pas avec les méthodes d’hier et en se contentant d’espacer des constructions conçues pour un monde aujourd’hui dépassé. Les cités de Paul Maymont sont une conquête de volume et non d’espace du sol’ », conclut Marc Gaillard dans L’Architecture d’Aujourd’hui 577(fig. 193).
« ‘Il y aurait beaucoup à analyser sur ce décollage de l’architecture’ », fait remarquer Paul Virilio, « ‘C’était bien au-delà des pilotis. Il y a eu une sorte de délire du décollage du sol ou de l’enterrement, de l’architecture spatiale et de l’architecture souterraine. Ce qui en reste c’est la transparence et l’immatérialité’ »578.
Ces projets de mégalopoles décollées du sol et en mouvement peut s’expliquer en partie par la crainte de leurs concepteurs de ne pas être préparés aux problèmes posés par le développement urbain et social à venir, développement que l’on imaginait se poursuivre selon une progression de type géométrique sans commune mesure et, littéralement, sans attaches avec celui du passé. Certains architectes demanderont donc que l’on dote la profession de moyens et de méthodes de recherche similaires à ceux dont disposaient les industries automobile et aéronautique.
Dans l’éditorial du numéro spécial que L’Architecture d’Aujourd’hui consacra en 1964 à la recherche architecturale, Marc Gaillard reproche ainsi aux responsables de l’Etat de ne pas encourager, ni favoriser, la recherche et la création dans le domaine de l’architecture. ‘« Alors que la recherche scientifique bénéficie de larges facilités’ », écrit Marc Gaillard, « ‘rien n’a jamais été tenté dans ce domaine pourtant primordial : l’étude du cadre de vie des hommes. Tout se passe comme si, du premier coup, architectes et urbanistes devaient parvenir à la solution la meilleure. L’expérimentation n’est pas admise ’». Il cite en exemple Y. Friedman et P. Maymont qui consacraient alors la quasi totalité de leur temps à la recherche : « ‘Yona Friedman passe, à l’étude de ses systèmes urbanistiques, tout le temps que lui laisse le montage de ses films courts métrages. Paul Maymont lui, ne construit presque pas et épuise ses moyens financiers à perfectionner ses théories de l’occupation de l’espace, les constructions flottantes, suspendues, etc. en même temps qu’il élabore sans cesse de nouveaux projets’ »579.
Cependant, malgré les encouragements prodigués par quelques grands architectes et le prosélytisme déployé par Michel Ragon (qui cherchera à introduire une distinction entre visionnaires, c’est-à-dire l’avant-garde de l’architecture, et utopistes), ces projets resteront pour la plupart des architectures de papier, la notion d’avant-garde elle-même se trouvant remise en question au cours des années soixante-dix.
Le Ricolais (1894-1977). ‘Père des structures spatiales’ étudie et travaille en France de 1912 à 1951. Il enseigne aux Etats-Unis de 1954 à 1975.
R. Le Ricolais, Le Ricolais Espace Mouvement et Structures, catalogue de l’exposition tenue au Musée des Beaux-Arts de Nantes en juillet-septembre 1968, p. 20.
Louis Kahn fait observer que ses ponts tubulaires sont « comme des écharpes transparentes, quasi immatérielles », ibid., p. 11.
Ibid., p. 20.
A. Le Donné, « Vers une architecture dynamique », Architecture et danse à travers l’oeuvre de l’architecte André Le Donné, catalogue de l’exposition tenue à Nantes en janvier et février 1985, p. 75.
Ibid.
Ibid., p. 76.
Ibid., p. 125.
Nicolas Schöffer, « La ville cybernétique », cité par M. Ragon, Les visionnaires de l’architecture, 1965, p. 21.
Ibid.
Michel Ragon, Où vivrons-nous demain ?, Paris, 1963, p. 30.
Ibid. p. 122.
Ibid. p. 123.
Ibid.
Ibid.
Voir plus loin chapitre C : Architecture religieuse immatérielle : une architecture purement spirituelle, transparente, à l’abri de toute destruction ?
Yona Friedman, propos recueillis lors d’un entretien accordé à l’auteur le 12 juin 1997 à Paris.
Yona Friedman, L’Architecture mobile, 1970, pp. 59 et 62.
Yona Friedman, propos recueillis lors d’un entretien accordé à l’auteur le 12 juin 1997 à Paris.
Voir chapitre 1 : la colline de la foi de Yona Friedman.
Voir Chapitre II : « Des églises à proximité des axes de communication ».
Michel Ragon, Les visionnaires de l’architecture, 1965. Dans la préface de cet ouvrage M. Ragon raconte sa première entrevue avec P. Maymont : « Un jour un jeune architecte inconnu vint me montrer à Arts son dossier. (...) Ce jeune architecte qui me montrait des dessins et des plans où la beauté plastique soutenait une réelle imagination visionnaire (...) s’appelait Paul Maymont ».
Paul Maymont, propos recueillis lors d’un entretien accordé à l’auteur le 12 juin 1997 à Paris.
Michel Ragon, Où vivrons-nous demain ?, Paris, 1963, p. 137.
Paul Maymont, propos recueillis lors d’un entretien accordé à l’auteur le 12 juin 1997 à Paris.
Michel Ragon, Où vivrons-nous demain ?, Paris, 1963, p. 138.
Ibid.
Marc Gaillard, L’Architecture d’Aujourd’hui, n° 115, 1964, p. 30.
Extrait d’un entretien accordé à l’auteur par Paul Virilio le 18 septembre 1997 à Paris
Marc Gaillard, « Où en est la recherche architecturale en France ?», L’Architecture d’Aujourd’hui n° 115, 1964, p. 3.