C.011Durkheim,
ou la sociologie contre le socialisme

L’hommage critique rendu par Engels, dans Socialisme utopique et socialisme scientifique, à Saint-Simon, à Owen et à Fourier, était un hommage intéressé, puisqu’il s’agissait, ce faisant, de tracer une frontière entre des doctrines « pré-scientifiques », condamnées par leur idéalisme à rester dans l’enfance du socialisme, et un socialisme véritablement scientifique, incarné par le marxisme. Cette opération constituait le premier temps de la reconstruction de la tradition utopique, marqué par sa reformulation et son extension aux doctrines socialistes de la première moitié du XIXe siècle. Le deuxième moment historique de cette reformulation est en grande partie attribuable à Emile Durkheim. Selon Philippe Besnard, quand il s’agit d’évaluer le rôle joué par Durkheim dans l’histoire de l’institutionnalisation de la sociologie française, il convient certes de montrer la part qu’il prit à faire cette histoire, de façon à définir la place qu’il y occupe. Mais il convient aussi de souligner la part qu’il prit à dire et écrire cette histoire, s’y assignant d’une certaine façon lui-même sa propre place, selon la règle proverbiale déjà appliquée par Marx et Engels : on n’est jamais si bien servi que par soi-même. Cela consista en particulier, on va le voir, à disqualifier sur le plan scientifique les entreprises concurrentes490. De ce point de vue, les textes et les cours des années 1890, où il s’efforce de commencer l’histoire du socialisme et d’évaluer l’oeuvre de Saint-Simon, permettent particulièrement bien de saisir le sens et la portée de l’entreprise durkheimienne d’écriture de l’histoire des sciences sociales. L’opération, qui consacre l’exclusion de ces doctrines hors du domaine de la science des sociétés, est entamée par Emile Durkheim avec la publication de sa « Note sur la définition du socialisme » dans la Revue philosophique en 1893491, et parachevée avec la publication en 1928 du cours sur Le socialisme 492, donné en 1895-1896, et qu’il concevait comme la première partie seulement d’une plus importante « Histoire du socialisme ».

La première partie du cours de 1895-1896 est consacrée à la définition du socialisme, et à un examen de la doctrine saint-simonienne. Il n’y est pas question précisément de Fourier, mais Marcel Mauss rapporte que celui-ci, avec Proudhon, aurait dû faire l’objet de la seconde partie, si Durkheim n’avait pas renoncé à son projet pour se consacrer à L’année sociologique. Il n’en reste pas moins qu’au delà de ses incarnations particulières, la définition générale que Durkheim proposa du socialisme, et l’opposition qu’il construisit entre le socialisme et la sociologie, imprégnèrent durablement les examens ultérieurs du socialisme français de la première moitié du XIXe siècle. Il n’est pas interdit de penser que le manque de curiosité que l’histoire de la sociologie témoigne pour Fourier trouve son origine dans ce qu’a écrit Durkheim sur le socialisme en général, voire dans ce qu’il n’a pas eu le temps d’écrire sur le socialisme de Fourier en particulier, et c’est aussi à ce titre que son analyse mérite d’être examinée.

Dans la première partie de son cours493, Emile Durkheim s’efforce de construire une définition opératoire du « socialisme », en procédant en quatre temps successifs. Conformément aux Règles de la méthode sociologique 494 établies la même année, le premier temps de ce travail de définition consistait à écarter les prénotions, c’est-à-dire à passer en revue les définitions les plus communément admises du socialisme pour les réfuter successivement : le socialisme ne consiste de façon caractéristique et exclusive ni dans la négation de la propriété individuelle, ni dans une étroite subordination de l’individu à la collectivité, ni dans une « philosophie économique des classes qui souffrent », parce que la question ouvrière peut y être secondaire, comme dans la doctrine saint-simonienne. Une fois écartées les acceptions du sens commun, la définition positive est établie en trois temps successifs : dans un premier temps, les différentes doctrines sont classées en deux genres : d’un côté, les doctrines purement spéculatives ou scientifiques, ne cherchant à exprimer que ce qui est ou ce qui a été ; de l’autre côté, les doctrines ayant comme projet fondamental de modifier ce qui existe. Le socialisme ne peut appartenir évidemment qu’à ce second genre de doctrines sociales.

Dans un second temps, Durkheim distingue à l’intérieur du second genre un certain nombre d’espèces, en fonction de l’objet sur lequel portent les réformes proposées : la politique, l’enseignement, l’administration ou l’économie notamment. Le socialisme est alors défini comme l’ensemble des doctrines sociales qui visent avant tout la transformation de l’état économique. Mais cette définition n’est pas suffisante, parce qu’elle pourrait aussi bien désigner les économistes individualistes. Par conséquent, Durkheim dans un troisième temps établit une dernière distinction, pour aboutir à la définition définitive suivante : « ‘on appelle socialiste toute doctrine qui réclame le rattachement de toutes les fonctions économiques, ou de certaines d’entre elles qui sont actuellement diffuses, aux centres directeurs et conscients de la société’ »495.

Une fois cette définition établie, il entreprend dans un quatrième et dernier temps, remontant dans la taxinomie ainsi établie, de distinguer au sein du genre des doctrines sociales réformatrices, entre deux espèces qu’il estime trop souvent confondues : le socialisme d’une part, et le communisme d’autre part, auquel il assimile d’emblée les oeuvres habituellement identifiées à la tradition utopique, la République de Platon, l’Utopie de Thomas More et la Cité du Soleil de Campanella496, mais aussi la Basiliade (1753) de Morelly et Les droits et les devoirs du citoyen (1758) de Mably497, L’an 2440 (1771) de Louis-Sébastien Mercier et Le paysan perverti (1776) de Restif de la Bretonne498. La différence entre communisme et socialisme réside d’abord dans la relation entre la construction formelle des doctrines et les conditions sociales de leur apparition : les penseurs communistes sont des solitaires et ne font pas école, parce qu’ils expriment plus leur personnalité qu’un état de la société. Et comme ils ne répondent pas à un besoin ressenti par le corps social, leurs systèmes restent des fictions, comme l’indique d’ailleurs leur mode d’exposition, qui se donne pour cadre « ‘un pays absolument imaginaire, placé en dehors de toute condition historique’ »499.

Au contraire, les théories socialistes, même si formellement certaines d’entre elles sont en apparence assimilables aux utopies communistes, s’en distinguent pourtant fondamentalement, en cela qu’elles entendent aboutir pratiquement : « ‘Si utopiques qu’elles puissent nous paraître, elles ne le sont pas pour leurs auteurs ’»500. Mais s’il y a entre communisme et socialisme cette opposition formelle, c’est qu’il y a entre eux une différence de nature : à partir d’une étude de la politique platonicienne et de l’utopie de More501, Durkheim s’efforce de montrer que le communisme rejette les fonctions économiques dans les positions les plus marginales de la vie sociale, tandis que le socialisme les considère au contraire comme centrales. Et ce qui unit la différence de nature à la distinction formelle, c’est que pour avoir l’idée de rattacher les fonctions économiques à une organisation étatique, il faut que certaines conditions sociales soient remplies : avènement de la grande industrie, laïcisation de l’État, importance sociale reconnue aux fonctions économiques, telles sont les conditions historiques de l’apparition des doctrines socialistes.

Les utopies communistes et les doctrines socialistes du XIXe siècle diffèrent donc par leur forme, par leur nature et par le moment de leur apparition, puisque historiquement, les secondes succèdent aux premières, selon une logique de filiation qu’il convient toutefois de préciser. Selon Durkheim en effet, le processus historique qui conduit du communisme au socialisme, tel du moins qu’il les définit, ne se déroule pas selon le principe d’une descendance intellectuelle logique ou naturelle, mais est plutôt le produit d’entreprises de réception « ascendantes », dont on a déjà donné quelques exemples : « ‘Le socialisme s’est ainsi ouvert au communisme ; il a entrepris d’en jouer le rôle en même temps que le sien propre. En ce sens, il en a été réellement l’héritier ; c’est que, sans en être dérivé, il l’a absorbé tout en restant distinct’ »502. Autrement dit, il n’y a pas une logique naturelle de la descendance des doctrines sociales qui conduit par filiation d’un ancêtre — le communisme — à un rejeton — le socialisme ; il y a bien plutôt une logique politique et sociale de l’ascendance des doctrines par l’adoption de figures fondatrices, de « précurseurs ». Certes, le socialisme est « réellement l’héritier », mais s’agissant en tout cas des filiations intellectuelles, ce n’est pas le légataire qui choisit son héritier, c’est l’héritier qui choisit le légataire dont il entend prendre l’héritage.

Dès lors, le fait marquant dans cette distinction historique entre communisme et socialisme, c’est que Durkheim, s’il range Platon, More et Campanella dans les « utopies communistes », en détache en revanche Saint-Simon, Fourier et Owen, les « trois grands utopistes » désignés par Engels, pour les assimiler au socialisme. Pierre Birnbaum affirme dans sa préface au Socialisme de Durkheim, que la distinction qu’il fait entre socialisme et communisme n’est pas sans rappeler la distinction marxiste entre socialisme utopique et socialisme scientifique. C’est parfaitement discutable, pour plusieurs raisons. En premier lieu, les lignes de démarcation que tracent ces deux distinctions dans l’histoire des idées sont très différentes, et pour notre sujet cette différence est fondamentale : tandis que pour Engels la rupture a lieu au milieu du XIXe siècle, avec l’avènement du socialisme scientifique que Marx et lui incarnent, pour Durkheim elle a lieu un demi-siècle avant, à la fin du XVIIIe siècle. Par conséquent, alors que l’effort d’Engels visait à rejeter Saint-Simon, Owen et Fourier dans l’utopie, c’est-à-dire dans l’enfance du socialisme, celui de Durkheim, en déplaçant cette frontière historique au début du siècle, a au contraire pour effet de les projeter tous trois, hors de l’utopie, dans le socialisme.

S’agissant particulièrement de la doctrine de Saint-Simon, la seule des trois que Durkheim étudia de façon détaillée, il refuse effectivement d’y voir la mise en oeuvre de cet utopisme qui appartient à d’autres temps, ceux de ce qu’il nomme le communisme. La « physiologie sociale » de Saint-Simon poursuit selon lui un objectif pratique, elle est soumise à une action sociale et politique, qui consiste dans la réponse à la question : quel est le système social que réclame l’état des sociétés européennes au lendemain de la Révolution française ? Comme l’écrit Durkheim, pour Saint-Simon « ‘il ne s’agit pas d’inventer un système nouveau, créé de toutes pièces, comme faisaient les utopistes du XVIIIe siècle et même de tous les temps, mais seulement de découvrir par l’observation celui qui est en train de s’élaborer’ »503. Et Durkheim cite à l’appui de ce propos cette phrase de Saint-Simon : « ‘On ne crée point un système d’organisation sociale, on aperçoit le nouvel enchaînement d’idées et d’intérêts qui s’est formé, on le montre, voilà tout. Un système social est un fait, ou il n’est rien’ »504.

On peut regretter ici que Durkheim n’ait pas pris la peine de clarifier sa définition de l’utopie aussi nettement qu’il le fait pour celles du socialisme et du communisme. Historiquement, il circonscrit certes le domaine spécifique de l’utopie au dix-huitième siècle, semblant par là indiquer que l’utopie est effectivement une caractéristique de ce qu’il nomme le communisme. Mais le terme n’a pas chez lui la rigueur d’autres concepts, pourtant cousins. Il est même possible d’envisager que l’emploi du terme chez Durkheim ne l’éloigne pas significativement de son enracinement dans un sens commun polémique et péjoratif, et qu’en cela l’auteur des Règles de la méthode sociologique est suspect d’une négligence qui s’accorde peu aux exigences méthodologiques qu’il énonce par ailleurs. Quand Durkheim affirme hautement qu’» ‘un fait ne se change pas en un tour de main, même quand c’est désirable »’ 505, ne vise-t-il pas justement ce qu’ailleurs le sens commun qualifie d’utopisme ? Dans Le socialisme, la définition que Durkheim semble donner de l’utopie, vient confirmer cette impression : « ‘Il y a utopie, au sens propre du mot, quand un idéal désirable, mais complexe et d’une réalisation évidemment laborieuse nous est présenté comme exécutable en un tour de main et à l’aide de procédés d’une simplicité enfantine’ »506. En d’autres endroits il fait encore usage du terme : « ‘Toutes les fois qu’un réformateur ne se contente pas de poser des principes généraux, mais entreprend de montrer dans un plan trop détaillé comment ils sont susceptibles d’être réalisés, il est difficile qu’il ne tombe pas dans l’utopie, parfois même dans la puérilité »’ 507. Mais une fois de plus, il y a beaucoup moins une définition dans l’emploi de cette notion, qu’une péjoration que semble d’ailleurs confirmer l’apposition du qualificatif de « puérilité ».

De plus , il est possible de se demander, comme le fait Jean-Claude Filloux, dans sa préface au recueil de textes de Durkheim sur les relations entre La science sociale et l’action, si la définition que Durkheim donne du socialisme lève entièrement certaines difficultés et contradictions. D’abord, tous les socialismes sont-ils réductibles à une définition commune, exprimée de plus dans des termes qui appartiennent en propre à la vision durkheimienne du social ? Cette «réduction» ne semble en fait possible qu’en tenant à l’écart du domaine ainsi visé les doctrines dont le système durkheimien ne peut que difficilement se saisir : la lutte des classes, la théorie marxiste de l’État508. On voit mal aussi comment cette définition pouvait permettre à Durkheim d’aborder Fourier dans son cours suivant : Fourier, en effet, peut-il être considéré comme socialiste, au sens de Durkheim ? Il ressort pourtant de la lecture de la première partie de son cours, seule publiée, et des notes pour les parties suivantes, que la définition que Durkheim donnait du socialisme visait essentiellement aussi bien Saint-Simon, qui fait l’objet de la seconde moitié de la leçon donnée en 1895-1896, que Fourier et Proudhon, mais aussi Blanqui, Lassalle, Louis Blanc, Benoît Malon, Jules Guesde, les socialistes de la Chaire, et bien sûr Marx.

En définitive, Durkheim établit en réalité, on l’a vu, deux distinctions emboîtées, l’une de genres entre science sociale et réformisme social, l’autre d’espèces entre socialisme et communisme, et ni l’une ni l’autre ne recouvre exactement celle que dessinent Marx et Engels entre socialisme utopique et socialisme scientifique. Le pivot commun de cette double distinction, de genres et d’espèces, réside dans l’accent mis par Durkheim sur l’ambition pratique des doctrines sociales de la première moitié du XIXe siècle, qui lui permet d’un côté de les rapatrier dans le socialisme, et de l’autre côté, simultanément, de les rejeter en dehors du domaine de la science. Le seul commentaire de Durkheim sur l’oeuvre de Fourier qui soit parvenu jusqu’à nous, contenu dans le compte-rendu de la soutenance de thèse d’Hubert Bourgin, confirme parfaitement cette « intention » : il juge en effet que « ‘la doctrine de Fourier est avant tout une doctrine pratique, faite pour l’action’ »509. Cette redistribution qu’il opère de façon générale dans l’histoire des doctrines sociales apparaît en définitive évidemment aussi intéressée que celle qu’avait effectuée Marx et Engels. Il ne faut pas perdre de vue, en effet, l’enjeu de la question adressée par Durkheim au socialisme : si elle n’est pas posée dans ces mêmes termes à toutes les doctrines sociales et politiques, mais seulement au socialisme, c’est bien à cause de la forte proximité entre socialisme et sociologie, que Durkheim entend reconnaître dans un premier temps, mais pour mieux la récuser dans un second temps. Il s’agissait donc, en rapatriant Saint-Simon, Owen et Fourier dans la même « espèce » de doctrine sociale que celle dans laquelle il classe la doctrine marxiste, de réfuter l’opposition par laquelle Marx et Engels se constituaient contre l’utopie, et ainsi de mieux les récuser toutes ensemble, en distinguant le « genre » auxquelles elles appartiennent de celui auquel lui-même entend s’assimiler : la science sociale.

Notes
490.

BESNARD Philippe (dir.) (1981), «Sociologies françaises au tournant du siècle. Les concurrents du groupe durkheimien», Revue française de sociologie, vol. XXII, n° 3, juillet-septembre 1981, pp. 311-465, études réunies par Philippe Besnard, p. 311.

491.

DURKHEIM Emile (1893b), «Note sur la définition du socialisme», Revue philosophique, vol. XXXVI 1893, pp. 506-512, reproduit dans DURKHEIM Emile, La science sociale et l’action, Paris, Presses universitaires de France, coll. «Le sociologue», pp. 226-235.

492.

DURKHEIM Emile (1992), Le socialisme. Sa définition, ses débuts, la doctrine saint-simonienne, Paris, Presses Universitaires de France, coll. «Quadrige», 1ère éd. 1928, 267 pages, préf. Pierre Birnbaum, introd. Marcel Mauss. Cf. supra, « Introduction ».

493.

DURKHEIM (1928), « Définition du socialisme », livre I, chapitre I.

494.

DURKHEIM, règles, éd. Flammarion 1988.

495.

DURKHEIM (1928), p. 49.

496.

DURKHEIM (1928), p. 58.

497.

DURKHEIM (1928), pp. 73-76. Voir MORELLY (1753), Naufrage des îles flottantes. Ou Basiliade du célèbre Pilpaï, poème héroïque traduit de l’indien, Messine, 2 vol., mais aussi MORELLY (1841), Code de la nature. Ou le véritable esprit de ses lois, de tout temps négligé et méconnu, Paris, 1ère éd. 1755, réédition complète augmentée de fragments importants de la Basiliade, avec l’analyse raisonnée du système social de Morelly par François Villegardelle (pour une édition plus récente de ce second ouvrage : MORELLY (1953), Code de la nature, Paris, Ed. sociales, 1ère éd. 1755) ; MABLY Gabriel Bonnot de (1758), Des droits et des devoirs du citoyen.

498.

DURKHEIM (1928), p. 78. Voir MERCIER Louis-Sébastien (1771), L’an 2440 ; RESTIF DE LA BRETONNE Nicolas (1776), Le paysan perverti ou les Dangers de la ville, La Haye.

499.

DURKHEIM (1928), p. 60.

500.

DURKHEIM (1928), p. 61.

501.

DURKHEIM (1928), p. 61-63.

502.

DURKHEIM (1928), p. 83.

503.

DURKHEIM (1928), p. 137.

504.

SAINT-SIMON (1819), IV, pp. 179-180, cité par DURKHEIM (1928), p. 137.

505.

Cité par FILLOUX Jean-Claude, Préface à DURKHEIM Emile (1987), La science sociale et l’action, Paris, Presses Universitaires de France, coll. «Le sociologue», 1ère éd. 1970, 332 pages, introd. et prés. Jean-Claude Filloux, p. 55.

506.

DURKHEIM (1928), p. 206.

507.

DURKHEIM (1928), p. 171.

508.

FILLOUX Jean-Claude, préface à DURKHEIM (1987), p. 39.

509.

Revue de métaphysique et de morale, op. cit., p. 22.