1. Traitement visuel des mots et des visages : des processus neurophysiologiques distincts

La première étude de cette thèse a permis de montrer qu’une même catégorie de stimuli, en l’occurrence des stimuli langagiers, tous constitués de lettres, pouvait mettre en jeu différentes structures cérébrales à des latences variables selon le niveau de traitement. Les trois études suivantes ont contribué à mettre en évidence l’implication de structures cérébrales distinctes selon qu’un visage est analysé à un niveau d’encodage structural élémentaire ou à un niveau plus élaboré impliquant des jugements selon le genre ou l’âge.