3.1. L’impôt

Selon l’auteur, le moyen le plus rapide de mettre en place la coopération était d’assurer la répartition des richesses au moyen de l’impôt. Dès lors que l’on reconnaissait la part sociale de l’origine de la richesse, l’impôt ne pouvait plus être perçu comme un vol, et par là, comme une atteinte au droit à la propriété. Il était, au contraire, cohérent de le considérer comme un remboursement. Il relevait aussi du devoir de participation au Bien Commun :

‘A tax which enables the State to secure a certain share of social value is not something deducted from that which the taxpayer has an unlimited right to call its own, but rather a repayment of something which was all along due to society. (Lib 97)’