3. L’environnement interne

Le troisième niveau de manifestation des effets qualitatifs concerne l’environnement interne de la bibliothèque. Celui-ci se définit comme étant l’ensemble des éléments matériels et immatériels qui participent au fonctionnement de la bibliothèque et pour lesquels elle a l’autonomie d’exploitation et de gestion.

Nous essayerons, dans un premier temps, d’énumérer les différents éléments qui composent cet environnement et d’identifier en quoi le réseau peut les affecter.

Dans un deuxième temps, nous introduirons la dimension service dans l’analyse pour lui permettre de gagner en pertinence. Les composantes de l’environnement interne, disparates au départ, se reconfigurent alors autour de cette dimension service pour révéler la dynamique et les interactions qui les animent.

La principale conséquence de la prise en compte de la dimension service est la concentration de tous les éléments de l’environnement interne au niveau du back office. Le front office étant par définition ouvert sur l’externe, on ne peut pas ranger ses éléments dans l’environnement interne.

De l’autre côté, le réseau établit une distinction entre les services de proximité et les services à distance. Le fonctionnement de l’environnement interne (autrement dit du back office) de ces deux catégories de services n’est pas le même.

C’est sur ces repères que nous nous appuierons pour tracer les contours de ce troisième niveau de manifestation, qu’est l’environnement interne.