Annexe 4 : Recommandations des groupes de travail sur le réseau du SU

Recommandations des groupes de travail sur le réseau du SU
  Association AUROC Association BN-Opale Association RSF CCNPS
Recommanda-tions générales Ménager une aussi grande indépendance que possible entre le catalogue collectif et les catalogues locaux. Exemples :
- pouvoir cataloguer certains fonds en local et pas en central
- pouvoir faire une indexation plus riche en local qu’en central
- pouvoir translittérer dans le système local en harmonie avec l’école locale.
Un système neutre : que les choix pour le système de production soient indépendants de l’organisation du catalogage dans l’établissement.
Que la participation au catalogue collectif n’oblige pas à prêter tous les ouvrages signalés.
Garder une échelle internationale (alimentation signalement des fonds du SU dans Worldcat)
Qualité de la reprise fondamentale.
Préparer le terrain : s’assurer que l’organisation interne des bibliothèques est adéquate pour le SU et les prérequis assurés.
Identification du correspondant local bien avant le déploiement.
Participation de tous les établissements aux décisions politiques et techniques.
Symbiose entre les décideurs et les techniciens.
Développer l’esprit du catalogage partagé : coopération et solidarité. Ne pas établir de système commercial clé en main.
Responsabiliser les acteurs à tous les niveaux.
Equilibre entre centralisation et autonomie.
Formuler de façon claire les objectifs de l’outil :
1. Exhaustivité du signalement des collections ?.
2. L’accès au document primaire pour les lecteurs ( les collections non empruntables ne doivent pas être signalées ?).
3. Place de la rétroconversion : donner des missions de rétroconversion aux CADIST.
Etablissement d’une convention établissement / ABES / SDBD.
Maintien d’une subvention avec des règles explicites.
Travailler à l’établissement de critères objectifs pour l’attribution annuelle (ex : nombre de notices .).
Prévoir un circuit de l’information entre les bibliothèques et l’ABES  promotion du SU.
Animation et fonctionnement du réseau Reconnaissance de la mission du coordinateur local.
Réunions des coordinateurs. locaux, des directeurs, AG
Rôle primordial du correspondant local = chef de projet, 1 ETP.
Réunions techniques régulières des correspondants locaux. Ex : 1 jour / semestre.
Multiplier les occasions de rencontre et d’échange :
- formations
- journées réseau
- parrainages
- messagerie.
Communication à la base sans contrôle hiérarchique.
Garder une structure à 3 niveaux, plus souple :
 maillage régional à adapter / à garder en province
 Garder la structure thématique du réseau parisien.
Statut des responsables CR.
Augmenter la disponibilité ou le nombre de personnels.
Définition des missions des responsables de CR : plus de prospection ; plus de localisation, moins de catalogage, allègement des tâches administratives et comptables.
Qualité des services
et des produits
Niveau des services au moins équivalent à celui d’OCLC :
Souplesse et adaptabilité des services et des produits.
Taux de création de notices très faible, recours très facile à des ressources extérieures très riches et des tarifs pas dissuasifs.
    Versement des notices de la BnF - la base SU doit être différente de celle de la BnF.
Centralisation et automatisation de la collecte des informations et de la production des notices.
Produits demandés       Création d’une cellule marketing par l’ABES pour les produits dérivés.
Catalogues monobibliothèques: soit gratuits, soit les CR peuvent les extraire gratuitement de la base.
Produits payants de meilleure qualité (illisibles pour les lecteurs).
Catalogage Importance de la qualité des notices. La définition de la richesse et de la complétude doivent faire l’objet d’une réflexion : le plus n’est pas le mieux. Maintien d’un certain contrôle bibliographique : l’ABES doit se donner les moyens de faire de la gestion scientifique pour maintenir une base cohérente.
Qualité des notices et de l’indexation
Valoriser le catalogage et les catalogueurs. Les responsabiliser.
Contrôle mutuel du catalogage.
Cohérence de la base.
Allègement du contrôle du catalogage des notices par l’ABES et par l’ISSN  renforcement du rôle des CR
Plusieurs statuts des notices selon le catalogueur
Alimentation de la base Alimentation du système central et local en une seule séquence de travail.     Cataloguer simultanément dans le système local et dans la base SU.
Formation Attention aux niveaux de langage / vocabulaire pendant les formations.
Formations sur site.
Formation initiale sur site par un formateur extérieur, en particulier pour les grands établissements, afin de viser l’efficacité.
Formation continue plutôt centralisée , par exemple à l’ABES, afin de favoriser les échanges Ex : 1 jour / semestre pour le correspondant local.
Formation par modules à l’ABES.
En particulier, prévoir un module de formation de formateur pour les coordinateurs locaux.
Qualité de la formation
Formation initiale : organiser des tournées dans les établissements à la demande, pour insuffler l’esprit réseau et rencontrer tout le monde et pas seulement le correspondant.
Système de parrainage : relecture des notices par une autre bibliothèque pendant les premiers mois.
Donner des formations de formateurs aux formateurs.
Formation sur site.
Responsables de CR : stage de normalisation des notices autorité.
Documentation Attention au vocabulaire.
Base de référence : liste des documents à jour
Documents toujours datés.
Importance de la documentation.
Documentation en français
Documentation en ligne et imprimée.
Qualité de la documentation  
Assistance Importance de l’assistance : un correspondant pour une bibliothèque. Importance de l’assistance : un numéro de téléphone unique et reroutage vers les services adéquats Importance de l’assistance (SVP et groupes de travail) Renforcer l’équipe de l’ABES.
Facturation Politique tarifaire incitative pour les créations, les corrections de notices et délocalisations. Gratuité de la consultation publique.
Aucun coût supplémentaire occasionnés par l’installation du SU.
Consultation publique gratuite.
Etablissement concerté des critères de répartition des coûts.
Développer une politique tarifaire.
Gratuité de la connexion pour le travail en ligne
(catalogage et localisation).
Baisse des coûts d’interrogation de la base.