7211. Bilocalisés entre ville et campagne

Les sept personnes ou ménages (couples avec ou sans enfants) ici concernés sont d’origine sociale assez élevée. Elles ne se considèrent pas vraiment comme ’résidents secondaires’ sur le site où nous les avons rencontrées, mais plutôt comme ’résidents temporaires’. Leur vie s’organise autour de deux points d’ancrage : deux résidences complémentaires, dont aucune n’est considérée comme principale ou secondaire. L’une est située dans une grande ville, l’autre, dans le Diois (petit bourg ou village reculé). Le pôle d’ancrage urbain est associé à la profession, sans être le lieu unique d’emploi. Il est avant tout le lieu d’une reconnaissance professionnelle, le ’quartier général’ où l’on vient rendre compte de ses activités. On peut évoquer le cas de ce photographe, qui se rend régulièrement dans la capitale (où il possède un petit appartement) pour vendre ses reportages, organiser des expositions, trouver des éditeurs. Le pôle d’ancrage diois est associé aux loisirs, à la détente, à la sociabilité entre amis.

Les deux pôles sont également des points de rayonnement sur une aire étendue : on voyage à travers la France et parfois le monde pour motifs professionnels, on rend visite à des amis. L’espace vécu est bi-polaire et réticulaire. Ces deux pôles constitue les deux points d’ancrage stable, dans un univers et une vie où tous les autres ’points’ (lieux et liens) sont substitués et restent substituables.

Il n’y a pas de ’frontière’, hormis celle du temps : temps pour se rendre d’une résidence à l’autre, temps de travail et de loisirs, temps où l’on voyage et temps où l’on ’se pose’. Dans cet univers mobile et labile, les deux points d’ancrage constituent des ’piliers’ permettant d’introduire une certaine régularité circulaire dans leur vie quotidienne.

On se sent de partout et de nulle part. La question de ’l’identité par rapport à un lieu’ prend les personnes au dépourvu, à moins que cette question n’ait déjà été réglée par un ’non-lieu’ par la formule ’citoyen du monde’.

  • Madame Cotillon – épouse d’un cadre supérieur, occupant son temps à des activités bénévoles et le partageant entre Grenoble et un bourg diois, répond ainsi :

  • Relance : Vous vous sentez attachée à un lieu ?

  • ’Heu ...ben ici, enfin la région, ben le Diois ouais...’.

  • Relance : C’est-à-dire ?

  • ’Je sais pas, c’est pas un lieu en particulier’.

  • Relance : Quand vous êtes à Grenoble et que vous venez ici, qu’est-ce que vous dites à vos amis par exemple

  • ’Moi, je ne dis jamais ’le Diois’, je dis : ’on va dans la Drôme’, parce que le Diois je m’en fiche, pour moi ça représente rien de spécial le Diois, c’est la Drôme ou C. [bourg où elle a sa résidence]’.

  • Relance : Et votre identité reste quand même urbaine ?

  • ’Non’.

  • Relance : Comment vous définissez votre identité ?

  • ’Par rapport aux gens ’?

  • Relance : Comme vous l’entendez.

  • ’Ben, on est plus petite ville ou campagne, que ville : Paris, on y a habité parce qu’il fallait y habiter. Grenoble, c’est pareil, c’est une ville où on est bien mais c’est aussi parce qu’on a ici. C’est vrai c’est pas évident : j’aimerais pas vivre tout le temps en ville, et ici... pour l’instant on a trouvé le bon compromis : les mois d’hiver à Grenoble, c’est une ville sympa, y’a le ski, et plein de trucs, et aux beaux jours la campagne’.

Cet extrait d’entretien permet de comprendre le sens de l’expression ’l’ici prend sens ailleurs – et l’ailleurs prend sens ici’. L’appartenance extérieure se construit dans la ’complémentarité’ rurale-urbaine, dans cet aller-retour incessant entre deux pôles. Cette complémentarité est le gage de l’épanouissement personnel et de la liberté individuelle. Naviguant entre deux ’ici’, ils n’appartiennent à aucun des deux, et ne se laissent envahir par aucun engagement durable. Ils échappent ainsi à tout contrôle social du milieu environnant. La ruralité est une ’soupape’ vers laquelle on file dès que la ville et le milieu professionnel commencent à enserrer ou étouffer. Mais la campagne est un lieu où l’on ne pourrait vivre à l’année car comme l’exprime bien Monsieur Malhéserbe, enseignant à Paris et résident secondaire à G. 300 ’‘Ici quand il reste que 5 personnes l’hiver t’es condamné à ne pas te fâcher avec eux, t’es condamné à t’entendre, ce qui est pas évident, et puis les relations sociales c’est quand même plus riche dans les zones où il y a plus de gens que dans les zones où y’en a pas’ ’.

Les lieux ont été multiples au cours de la vie, certains ont déménagé souvent durant leur enfance, et aucun n’est resté attaché à son lieu d’enfance. Qu’ils soient d’origine rurale ou urbaine, tous ont connu la ’grande ville’, plusieurs parfois, mais toutes les villes se ressemblent. Lieu d’études, lieu où l’on trouve une situation et un allié, lieu où l’on cultive des ’relations’, elle est un passage obligé. Mais elle est appréciée car on peut la ’mettre à distance’ dans le pôle rural qui lui est complémentaire. L’un ne serait pas supportable sans l’autre. L’ici prend son sens ailleurs. Plus précisément, l’ici et l’ailleurs changent de sens alternativement. Il n’y a pas d’ici unique, mais deux ’ici’ qui attirent et repoussent sans cesse. A l’image de l’espace vécu de certains immigrés décrit par F. Péron (1998, pp. 203-204) : ’ ‘Si dans un premier temps, le pôle rêvé est la destination d’arrivée, dans un second temps le pôle de départ récupère la valeur mythique du premier car, au fur et à mesure que s’accumulent les difficultés de l’intégration, une revalorisation du pays d’origine s’opère.’ A la seule différence qu’ici, le rapport au temps et à l’espace sont étroitement maîtrisés. La faible intégration n’est pas vécue comme un échec mais au contraire recherchée, car elle permet le maintien d’une liberté individuelle, qui reste la valeur essentielle.

La segmentation des espaces de vie, règle commune à l’ensemble des interviewés, permet de tenir à distance le contrôle social. Elle permet également de préserver la tranquillité et l’intimité du couple ou de la personne (certaine étant séparée). Chaque pôle est associé à une temporalité et à un type de sociabilité. Dans le pôle primaire, le temps est consacré au travail ; le logement, généralement exigu, n’est qu’un lieu de transit entre deux sorties (culturelle, associative), et une sphère réservée à l’intimité conjugale. Dans le pôle secondaire, le temps est consacré aux loisirs de plein air, à la sociabilité entre amis, que la propriété d’assez grande taille et bien aménagée permet d’accueillir. On y reçoit éventuellement les enfants mais pas le restant de la famille, que l’on voit deux ou trois fois par an tout au plus. Ce lieu est la sphère par excellence du ’temps des loisirs et des vacances’, des relations choisies. L’environnement local diois est d’une certaine manière tenu à distance. On s’y investit parfois, mais on reste ’entre soi’, c’est-à-dire entre gens non permanents du lieu. L’investissement peut prendre deux formes : une activité de loisirs orientée vers l’animation festive et culturelle, un investissement politique (conseil municipal) pour défendre son ’pré-carré’. En voici deux exemples, proches à certains égards, des nouvelles formes d’engagement décrites par J. Ion (1997).

Madame Cotillon, épouse d’un cadre supérieur, a toujours occupé son temps par des activités bénévoles lui permettant d’échapper à la vie de ’femme au foyer’.

  • ’ Je me suis toujours occupée d’associations, même quand les enfants étaient bébés, je les fichais à la crèche, je ne peux pas rester au milieu de mes casseroles’.

Ayant elle-même connu la vie de ’femme de cadre’ transhumant d’un lieu à l’autre suivant la carrière de son conjoint, elle est devenue responsable à Grenoble, de l’association ’Accueil des villes françaises’, dont l’objet est de permettre aux couples de cadres, régulièrement mutés d’une ville à l’autre, de tisser rapidement des relations sociales et de s’intégrer à la vie associative. Dans la commune de C., elle s’est investie dans l’association organisatrice du festival, à laquelle participe aussi Madame Casatis (pièce unique du territoire, chapitre V). Cette participation lui permet de retrouver le côté festif de son activité bénévole grenobloise (où il s’agit d’organiser des fêtes, des dîners, des sorties entre cadres). Elle reste néanmoins à distance de la population locale, avec laquelle elle ne partage que les bons moments en vacances et en été ; la sociabilité ainsi tissée restant ’superficielle’.

  • ’Les diois sont durs : renfermés, pas facile à vivre. Mais bon j’en sais rien parce que je les connais pas suffisamment et deuxièmement je pense que c’est partout pareil : au fin fond de la Creuse ou n’importe où j’ai l’impression que dans toutes les campagnes c’est pareil’.

  • Relance : Vous dites : je les connais pas...

  • ’Ben oui, je suis pas là à l’année je vois quand même le côté superficiel, festif de l’été, je vois pas le Diois profond du mois de décembre. Je connais pas les vieux au mois de décembre ici, je connais pas vraiment leur vie profonde. Même les gens du festival, en hiver quand on ne se voit pas on ne s’appelle pas, on n’est pas intimes’.

Monsieur Malhéserbe, enseignant dans la banlieue parisienne, a ’choisi’ de vivre dans un petit appartement, pour pouvoir se ’payer’ le luxe d’une résidence secondaire à la campagne, où il s’échappe dès qu’il le peut. Il ne se considère pas ’en tension’ entre deux lieux, mais mener une double vie. La vie parisienne, avec ses hauts-lieux culturels et ses opportunités de rencontres, lui plaît autant que la vie ’en pleine nature’ au milieu des montagnes et des rivières.

  • ’En fait, j’ai une double vie : ici et à Paris, qui sont interpénétrées en partie. Je reçois ici des amis de Paris, et quand je suis à Paris, je pense à ici, ça fait partie de moi. Par exemple, sur la page de garde de mon ordinateur, j’ai une photo d’une vue de G., mais je n’ai pas, par contre, de photo d’ici dans mon appartement de Paris. Ce que je cherche quand je suis à Paris, c’est d’être à Paris et la condition pour que j’y survive, c’est que je me prenne pas la tête tous les jours en me disant que je serais mieux ailleurs : quand je suis quelque part, je suis pas ailleurs parce que sinon c’est invivable. En définitive j’ai le beurre et l’argent du beurre : la région parisienne me convient tout à fait : je vais au théâtre au cinéma, c’est pas à Die qu’on aurait une expo sur Monet’.

A Paris, il occupe son temps libre (réduisant au maximum ses heures de travail et son temps de trajet domicile-travail) par des responsabilités dans un parti écologiste (réunions et ’dîners’ entre amis tard le soir). Il a choisi le ’lieu secondaire’, pour son environnement naturel permettant de s’y adonner à toutes les activités inaccessibles en ville (pêche, jardinage, cueillette, randonnée). Il l’a choisi également pour sa situation géographique, qui lui permet d’en faire un pôle de départ vers d’autres lieux de ’vacances’ (il y garde ainsi tous ses équipements sportifs : skis, planches à voile...). Or, nous l’avons vu, la commune de G. où il a établi sa résidence secondaire a été investie par des ’néo-ruraux’ (se revendiquant eux-mêmes d’un certain ’écologisme’), dont les activités orientées vers le tourisme (gîtes d’accueil) lui paraissent contraires à la préservation du lieu. Il a donc intégré l’alliance des résidents secondaires, natifs et non natifs (avec Monsieur Gaspard) qui a permis de reprendre la mairie, aux mains des ’néo’. Retraçant, à sa manière, l’histoire des vagues d’exode et de retour marquant la commune, il justifie ainsi de son ’appartenance’ extérieure et de la légitimité de son investissement politique. ’L’exode rural a libéré dans le Diois toute une série d’espaces et les gens sont venus comme les renards occuper un terrier vacant. Mais dans les familles en général, ceux qui partent sont ceux qui sont les plus débrouillards : les autres restent ici, et ceux qui sont plus débrouillards vont faire carrière [exemple du maire]. Pendant ce temps, les gens qui arrivent prennent possession de la commune y compris de la municipalité, les autres reviennent une fois en retraite, ils ne sont plus chez eux, donc ils reprennent le pouvoir. En plus, les gens qui sont allés voir ailleurs ou les résidents secondaires venus d’ailleurs, ils sont mieux placés que les gens d’ici pour s’impliquer localement. Ils ont vu autre chose. Bon, ici en plus, ici c’est un lieu de non droit comme dans certains quartiers parisiens : tout se fait par la tradition orale et non écrite, pour l’usage du sol. Alors avec le contexte local, ça a posé problème. Ça a été une zone abandonnée puis les gens qui se sont empressés d’occuper l’espace vide. Ils ont été habitués à vivre seuls ici, donc ils continuent à s’approprier l’espace donc il faut à un moment donné défendre son bout de terrain. En plus, ils ont monté des gîtes et sont devenus des vendeurs de prestations de services. Alors, ça pose des problèmes qui sont liés à la contradiction entre le peu d’espace qu’on a ici, et la pression liée aux gîtes. Par exemple, tous les propriétaires de gîtes ont des champs partout : ils pourraient en faire des parkings pour libérer les places du village : on pourrait jouer aux boules’.

Le choix du lieu de la résidence ’de campagne’ a été ’stratégique’ et rationalisé. Le cas de Monsieur Distour (photographe indépendant) en est l’illustration parfaite. Il a connu la vallée (dont il ignorait l’existence) en se rendant sur le lieu d’un reportage (dans le sud) en passant ’en train’. Ce premier ’coup de coeur’ fut néanmoins mûrement réfléchi avant de passer à l’acte d’achat. La région fut choisie pour le climat et le paysage mais aussi parce qu’elle restait financièrement abordable (en comparaison avec d’autres ’arrière-pays’ déjà trop prisés) et qu’elle était ’stratégiquement bien placée’ pour se déployer à partir de là sur l’aire potentielle de ses reportages (sud de la France, Italie...). En outre, la vie d’artiste indépendant ayant ses aléas, elle constitue une zone de repli potentiel en cas de difficultés financières, le coût de la vie y étant beaucoup moins élevé que dans la capitale.

Dans un seul cas, celui de madame Cotillon, il y a un lien ’familial’ avec la région. Mais même ici, le ’choix’ du lieu a été ’rationalisé’. On est fort éloigné de l’attachement au lieu d’origine des protestants exilés.

Son histoire montre que l’ancrage en un lieu, même lorsqu’il est associé à une ’mémoire familiale’, n’implique pas d’attachement ni d’engagement. Issue d’une famille de la petite bourgeoisie (grand-père colonel d’aviation et père pharmacien) elle entame des études à Grenoble (secrétariat de direction, langues) sans les achever. Ayant rencontré son futur époux, responsable commercial d’une entreprise pétrolière, elle se marie et le suit à Paris où il est muté et où ils resteront 25 ans avant de déménager à Grenoble. Entre temps, le décès précoce de ses parents précipite leur devenir et la met en possession d’une petite fortune, qu’elle doit partager avec son frère. Dans cet héritage, il y a la maison secondaire dioise, héritée du grand-père (lui-même résident secondaire). Cette vieille ferme dans un village reculé, où elle a passé une grande partie de ses vacances d’enfance, ne l’attire pas pour autant. Elle préfère la laisser à son frère, et acheter avec l’argent disponible une belle demeure bourgeoise dans le bourg voisin.

  • Madame Cotillon

  • ’J’y ai passé mon enfance pendant les vacances, mais c’était une maison pas très grande, pas très fonctionnelle. Mes parents la retapaient au fur et à mesure qu’ils avaient des sous. Bon lors du décès, pour le partage, j’ai cédé d’autant plus facilement à mon frère que la maison n’était pas jolie. Ça aurait été un château, ça aurait été plus difficile, mais c’était pas une belle maison. Mes filles c’est pareil ça les gène pas d’être ici, alors que leur enfance elles l’ont passée dans la maison familiale, mais en fait c’est le même lieu, c’est à 3 km, c’est pareil. Et puis ici c’est à C., c’est bien situé, on a tous les commerces, les services. Alors que mon frère ’Au P.’ [lieu dit], il n’a rien’.

Les liens familiaux sont distendus. Séparation, divorce, mésentente avec les parents, rupture avec le modèle familial, marquent l’ensemble de ces figures. Même au sein de la famille nucléaire (enfants lorsqu’il y en a) autour de laquelle s’organise la vie, on cultive une forte autonomie, une certaine indépendance. Les grandes retrouvailles familiales sont rares, même dans le cas de Madame Cotillon, dont la résidence rurale se trouve à 3km de celle de son frère, ’c’est chacun pour soi’, et avec ses propres amis. Le maître mot est l’épanouissement personnel. C’est ainsi la conception que madame Cotillon développe et transmet auprès de ses deux filles.

  • Madame Cotillon

  • ’Moi je suis contre la tendance des parents âgés qui se fixent près de leurs enfants : les enfants ils ont leur vie. Ma belle-soeur par exemple, sa mère à sa retraite, elle est venue habiter à côté de chez elle. Résultat : elle doit toujours s’en occuper.  Moi je préfère qu’on soit un peu éparpillés partout. Au moins, les relations elles sont choisies et non imposées. Mes parents se sont jamais occupés de ma vie. Mon mari m’a dit que la plus belle chose qu’il ait eu dans sa vie, c’est quand il a pris son envol pour partir à l’armée, et quitté ses parents. Moi, par exemple, quand on a déménagé sur Grenoble [depuis Paris], mes filles nous ont suivis, mais je leur avais laissé le choix. Bon, elles ont pris leur propre appartement, assez rapidement, et c’est préférable. Maintenant, on est indépendant,  chacune on vit notre vie et c’est mieux’.

Enfin, le rapport au développement local est plutôt orienté vers la préservation, de la nature ou de la campagne, dans laquelle on vient se ressourcer en fin de semaine en quittant la ville. Conservation de l’espace secondaire approprié à la faveur de l’exode rural, et en concurrence avec les ’néo-ruraux’. Les acteurs du district font figures ici d’agents de repeuplement tous azimuts, encore accrochés au modèle urbain de développement.

Monsieur Malhéserbe

  • ’Selon moi, il y a un lien entre l’arrivée des néo-ruraux et la politique de peuplement de l’ensemble des communes du Diois. Ici la politique de peuplement, c’est par rapport au maintien de l’école : on fait venir une famille réunionnaise, qui a fait souche, avec la deuxième génération. Il y a eu des annonces dans la presse catho, pour faire venir des enfants de la DDASS. Pour moi, l’accueil de population en difficulté, c’est une forme d’utilitarisme pour maintenir les services sans risque par rapport à la conservation du pouvoir. Si bien que les écoles du Diois sont des écoles de ZEP de première ! Et, les banderoles à Die ’sauver les services’ c’est en lien avec le conservatisme des communistes par rapport à l’acquis. Ils n’ont pas pris les virages qu’ils auraient du prendre. Ils s’inscrivent dans la logique économique actuelle et ils ne sont pas innovants’.

Notes
300.

(commune où nous avons évoqué avec Monsieur Gaspard, chapitre V, l’alliance entre les résidents secondaires et les originaires du pays, contre les néo-ruraux )