a) Les rythmes et formes du renouvellement de l’information : la question de l’actualité

Dans les médias de masse traditionnels, des réunions de rédactions valident la forme, la construction de chaque numéro d’édition, de chaque bulletin d’information, pour que chaque jour, le journal, qu’il soit imprimé ou diffusé sur les ondes, soit configuré pour « refléter » l’actualité ou plutôt pour en proposer une représentation conforme aux valeurs de l’instance émettrice et à ce qu’elle imagine être les attentes de son public. Sans considérer que tout journal d’information est un produit fait sur mesure (on sait les contraintes dispositives de tous les médias), et par-delà une certaine stabilité du cadre énonciatif, il est évident que le journal (papier ou télédiffusé) change partiellement de forme au gré de l’actualité au point que certaines Unes constituent des objets de collections par exemple.

Ainsi, dans le cadre de ce nouveau travail d’observation de notre corpus, nous avons voulu vérifier si, par-delà la stabilité de la construction formelle de la page d’accueil, le renouvellement des images et des liens hypertextes manifeste la dynamique d’une information perpétuellement actualisée. Tout simplement, la question peut être formulée ainsi : qu’est-ce qui change, d’un jour à l’autre, à la surface de la page d’accueil d’un site de presse quotidienne ?

Pour y répondre, nous avons procédé à la vérification des changements survenus sur la page d’accueil entre un jour J (le 10 avril 2000) et le lendemain (J + 1, soit le 11 avril 2000). Nous avons procédé au décompte du nombre total d’images et liens actifs sur ces deux jours. Notre choix de repérer les liens actifs s’explique par l’absence d’informations intégralement traitée en page d’accueil. Toute nouvelle information dispose d’un espace en « pages intérieures » ; elle est souvent signalée par un lien hypertexte en page d’accueil. Ce sont donc les indices du renouvellement de l’information que nous avons donc comptés. Par ailleurs, nous considérons qu’une nouvelle image même si elle n’est pas activable constitue en soi, une nouvelle information et participe tout particulièrement au changement d’apparence de la page.

Dans chacun des espaces que nous avons distingués dans notre étude de l’architecture de la page d’accueil, nous avons repéré le renouvellement de ces items le deuxième jour (images ou liens supplémentaires, disparus, remplacés). Plus précisément encore, nous avons distingué diverses catégories d’items : les publicités, les images, les liens hypertextes avec et sans commentaires. Précisons que les images publicitaires sont envisagées avant tout comme des publicités (texte et image ne sont pas dissociés) ; par conséquent, elles ne sont pas comptabilisées une deuxième fois en tant qu’image.

Une fois encore, cette étude méthodique a nécessité de prendre quelques décisions pour garantir la rigueur du travail entrepris. Ainsi, nous avons considéré que :

  • Sur les deux jours (J et J+1), quand un lien est formulé de façon identique et situé au même endroit, il ne sera pas considéré comme un lien nouveau, même s’il s’agit d’une rubrique dont on sait qu’elle renvoie à un contenu actualisé chaque jour.

  • Si un lien est formulé de façon identique les deux jours et positionné au même endroit, mais associé à un texte différent, il sera compté comme nouveau. Cela concerne par exemple, les mentions « cliquez ici », « lire la suite », « full story », « more news », etc.

  • Si un lien est formulé de façon identique les deux jours et situé au même endroit, mais associé à une image différente, il sera considéré comme nouveau. Par exemple, le lien pour obtenir des informations météorologiques, associé à un dessin de pluie, soleil, etc. constitue un ensemble qui manifeste une information actualisée (voir par exemple la page d’accueil du Miami Herald en date du 10 avril 2000).

  • Si enfin, un lien est formulé de façon identique mais situé ailleurs dans la page, dans un espace différent, passant par exemple d’un encart où s’affichent des brèves à une liste d’articles ou bien encore au sommaire d’un dossier thématique, il sera comptabilisé comme un nouvel item parce qu’en changeant de place, l’information change de statut.

  • Si une image de la Une du journal imprimé est proposée chaque jour, on comptera un renouvellement d’item seulement dans le cas où le format de cette image autorise la lecture des informations présentes à la Une. Si la taille trop petite de cette image en rend les contenus indistincts, nous considérons cette dernière comme une représentation symbolique de l’édition imprimée et ce signe sera assimilé à une forme illustrée de rubrique. Dès lors, aucun renouvellement de l’information ne sera comptabilisé.

  • En dernier lieu, précisons que les images sont prises en considération uniquement si leur format est au moins égal à la moitié d’une colonne, ce qui correspond à notre catégorie F3.

Les résultats de cette étude se présentent ainsi507 :

Au niveau de l’ensemble de la page d’accueil, un premier constat saute aux yeux : elle est d’une stabilité extraordinaire.

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En tout premier lieu, la lecture du graphique révèle de façon particulièrement nette la stabilité du nombre d’items d’un jour à l’autre. Les chiffres aussi sont éloquents. De nombreuses pages d’accueil présentent un nombre de liens et d’images important et pourtant particulièrement stable. Ainsi, la page d’accueil du Chicago Tribune avec ses 233 items comptabilisés en jour J, en présente 234 en J+1, ou encore celle de l’Irish Times qui passe de 198 items en jour J à 197 en J+1. Sur l’ensemble des sites du corpus, la variation du nombre d’items entre J et J+1 n’atteint même pas les 0,45% (0,445% exactement...) !

Le seul écart réellement significatif puisque la variation avoisine les 29% avec un déficit de 30 liens en J+1 correspond en fait à ce qui semble être une erreur de la part des personnes en charge de l’actualisation du site puisqu’un menu a complètement disparu en J2 (voir le site du New York Daily News). Ce menu a réapparu depuis, mais l’anecdote témoigne de la fragilité de ces constructions si aisément modifiables.... Ce constat confirme que l’agencement des différents espaces de la page d’accueil est totalement défini et que le travail d’actualisation consiste essentiellement à remplacer un lien par un autre sans modifier la maquette.

Par-delà la stabilité numérique des items, il apparaît que la majeure partie des publicités, images et liens hypertextes n’est pas renouvelée d’un jour à l’autre (voir le graphique intitulé « renouvellement des items sur la page d’accueil en J+1 »). En effet, seuls un peu moins de 20% des items le sont (19,99% exactement). Le statut de la page d’accueil, considérée comme un menu de rubriques plus encore que comme un sommaire d’articles est particulièrement flagrant dans le cas de certains sites : ainsi le site du Guardian ne change que quatre liens ou images entre J et J+1 alors que sa page d’accueil en compte 221 ; celui du Soleil fait de même avec 84 items stables pour un seul renouvelé...

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Cette observation constitue aussi le moyen de vérifier certaines de nos conclusions concernant l’architecture des pages d’accueil et plus particulièrement la question du rôle dévolue à chacun des espaces distingués. Il apparaît nettement sur le graphique intitulé « les lieux du renouvellement des items en page d’accueil entre J et J+1 » que les espaces les plus actualisés sont l’espace central et, dans une moindre mesure, la colonne de droite. Nous avions noté que l’espace central était le lieu privilégié de l’information d’actualité ; le fait est donc confirmé. Il apparaît aussi, que les lieux de l’identification (l’en-tête), les lieux de la structuration (la colonne de gauche) et les lieux sans visibilité immédiate qui permettent tout à la fois de stabiliser, répéter l’essentiel et clore la page (fond de page et clôture) sont extrêmement stables et constituent un cadre fixe. Si la maquette de la page d’accueil peut être considérée comme un invariant, il apparaît que cette stabilité concerne aussi, partiellement, les contenus.

Par-delà ces remarques d’ordre général qui s’appliquent à l’ensemble des sites du corpus, nous avons souhaité étudier cette question du renouvellement des images et des liens plus précisément. Nous avons travaillé sur chaque espace de la page d’accueil en tenant compte des catégories d’items évoquées au début de cette étude. Nous présentons ci-après les résultats de notre travail espace par espace sans reproduire chacun des graphiques réalisés à partir des données. Seuls, les plus significatifs figurent dans le texte à l’appui de certains constats. Des impressions de pages d’accueil enregistrées les 10 et 11 avril 2000 ainsi que l’ensemble des graphiques et des données qui ont permis leur réalisation ainsi sont reproduits en annexe 17.

Concernant l’en-tête :

Il n’est pas étonnant de constater que l’en-tête des pages d’accueil demeure extrêmement stable d’un jour sur l’autre. Par essence, lieu d’identification de l’émetteur, cette entrée dans la page ne peut varier sans nuire à l’image de stabilité de l’instance énonciatrice.

Comme le montre notre graphique, les bannières publicitaires constituent l’essentiel des changements de cet espace, 65% précisément.

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Le renouvellement visuel apporté par la publicité est loin d’être négligeable car la surface occupée par les bannières est au moins égale à celle du logotype du journal. Elles ont par ailleurs, la faculté d’attirer l’attention puisqu’elles sont généralement illustrées et souvent même animées. Les quelques textes ou images qui changent sont liés à des modifications dans les rares sommaires de titres intégrés à l’en-tête. C’est par exemple le cas de l’Electronic Telegraph qui présente en en-tête les thèmes de quelques articles du jour, un peu comme certaines chaînes de télévision affichent les titres des principaux sujets traités durant le journal télévisé.

Concernant la colonne de gauche :

Nous pouvons faire le même constat que précédemment : en effet, une fois encore, le nombre d’items varie très peu. Seuls quatorze items viennent s’ajouter en J+1, faisant passer le total des images et liens actifs de 1361 à 1375... La seule modification d’importance semble liée à une erreur ; l’oubli d’un menu constitué de 11 liens hypertextes le premier jour sur le site du journal belge De Standaard.

Quant au renouvellement des liens, il se fait désormais en faveur du texte : les liens hypertextes avec ou sans précisions complémentaires représentent 79% des items renouvelés dans cette partie de la page d’accueil.

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En dehors de quelques rares annonces publicitaires (au nombre de 12 précisément), le changement visuel occasionné par le renouvellement de quelques lignes de textes n’est pas véritablement remarquable d’un point de vue strictement visuel. Cette colonne essentiellement consacrée à la présentation de listes de rubriques est de toute façon peu illustrée et les seuls changements sont le fait des quelques sites qui ont choisi de proposer à cet endroit, une liste de titres d’articles du jour (voir les site de NRC Handelsblad et de Dagens Nyheter).

Concernant l’espace central :

Si la stabilité du nombre des items d’un jour sur l’autre est manifeste (1799 items le premier jour et 1805 le lendemain, soit une variation de 0,33% !) on note un renouvellement des items nettement plus important que dans les autres espaces de la page. D’une façon générale, les items de l’espace central sont renouvelés à plus de 41%. Ce ne sont ni les encarts publicitaires, ni les images qui animent cet espace de la page d’accueil ; 95% des items renouvelés sont des liens hypertextes, généralement des titres d’articles qui se succèdent parfois complétés de quelques mots (présentation résumée ou début de l’article, etc...). Certains sites font exception à la règle ainsi que nous l’avons noté dans nos remarques d’ensemble, ce sont ceux qui proposent des menus de rubriques invariables comme le Guardian Unlimited et l’Ireland.com.

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Le graphique montre bien que le renouvellement ne représente pour certains journaux en ligne qu’une fine couche superficielle de nouveauté sur une bas fixe nettement plus épaisse, surtout pour les sites qui affichent un grand nombre d’items dans l’espace central. (Le Washington Post fait figure d’exception avec 82 items renouvelés pour 46 stables en J+1).

On peut tout naturellement déduire de ce constat, la difficulté d’appréhension du changement au premier regard. En effet, il faut se décider à lire, à examiner de près ces pages aux lignes serrées, aux typographies maigres et de petite taille pour percevoir les modifications de la page d’accueil... Le journal en ligne ne cherche décidément pas à reproduire le travail de la Une qui appelle l’attention du lecteur, qui tente de l’attirer à l’intérieur de cet objet qu’est le quotidien imprimé...

Concernant la colonne de droite :

Comme dans l’espace central, le nombre d’items varie peu mais leur renouvellement avoisine les 23% ( 22,92% exactement) et concerne en grande majorité des liens hypertextes (91%). Cette dernière donnée a de quoi surprendre parce que la colonne de droite propose un mélange des genres plus perceptible qu’ailleurs dans la page, elle est aussi plus illustrée avec les divers dessins et photographies qui accompagnent les dossiers thématiques et les encarts publicitaires souvent présents à cet endroit. Cependant, les rubriques et dossiers ainsi illustrés ont vocation à durer plusieurs jours, voire plusieurs mois et les espaces publicitaires sont loués sur des durées variables, rarement inférieures à une semaine (contrairement aux annonces publicitaires dans le journal imprimé qui ont une durée de vie égale à celle de l’édition ; dans le cas d’un quotidien, elle sera donc très courte). En l’absence de renouvellement fréquent des publicités et des illustrations des dossiers ou rubriques, la colonne de droite, malgré son taux de « rafraîchissement » plus important que l’en-tête ou la colonne de gauche ne suffit pas à insuffler un dynamisme visuel sur la page, à créer l’image d’un média d’actualité en perpétuelle modification.

Concernant le fond de page :

Rappelons que cet espace est un peu particulier en ce sens que les sites qui ont choisi ce type de segmentation en page d’accueil ne sont pas majoritaires. Ceux qui en font usage le font de deux manières : soit le fond de site est utilisé pour rappeler des rubriques, auquel cas rien d’étonnant à ce qu’aucun changement n’ait lieu d’un jour sur l’autre...(voir notamment les pages d’accueil du Soleil et du Jerusalem Post), soit c’est le lieu d’une liste de titres, ce qui explique le changement quasi intégral des liens (ce qui est le cas du site du journal Aftenposten).

Notons qu’il n’existe qu’une seule forme de lien hypertexte dans cet espace peu visible et peu mis en valeur : le lien seul, indice des contenus sous-jacents sans précision annexe, sans détail, sans explication. Le titre de rubrique ou le titre d’un article (et parfois même sa seule amorce) sont donnés comme seuls indices de ce que le lecteur est susceptible de découvrir s’il active le lien...

Concernant la clôture de page :

Beaucoup de stabilité en clôture de site, cette extrémité de la page peu visible, peu mise en valeur mais fonctionnelle (elle borne la surface du scriptible et permet le rappel de quelques données importantes : menus et informations réglementaires ou juridiques). Les seuls changements sont ceux des bannières publicitaires, souvent identiques à celles qui sont placées en en-tête de page.

Considérant maintenant les pages « intérieures » ou les pages situées aux niveaux suivants de l’arborescence, il nous faut admettre que les constats énoncés au sujet de la page d’accueil se vérifient. C’est encore plus vrai sur les pages qui présentent à nouveaux des menus (voir notamment les pages de la rubrique internationale du Monde enregistrées le 14 et 15 mars 2000 et reproduites en annexe 17, peu illustrées, composées de listes dont une partie seulement des liens hypertextes est renouvelée d’un jour à l’autre). À l’inverse, dans les pages de la rubrique « última hora » du site El País Digital, la liste des liens hypertextes est intégralement renouvelée d’un jour à l’autre. Mais en l’absence d’image et de changement d’organisation générale de la page, l’impression dominante est celle d’une grande stabilité, voire d’un certain immobilisme... Aucune distraction, aucune séduction ne s’offre au regard, seulement des listes d’informations accessibles après une succession d’opérations qui exigent des compétences et des efforts de la part de l’internaute : lire, analyser, sélectionner, agir en cliquant et souvent recommencer ce parcours sélectif la page suivante.

Quant aux pages qui proposent l’accès à un article, généralement présenté de façon autonome, rien d’étonnant à ce que les contenus changent... Mais là encore, les images sont rares et l’impression qui domine est celle de se trouver face à un article archivé, à un document autonome bien plus que devant une nouvelle... En l’absence de tout environnement informationnel perceptible visuellement, de tout éclairage lié à l’actualité et par conséquent unique chaque jour, en l’absence de tout regroupement perceptible des nouvelles du jour sur la même page, voire dans la même édition, l’information perd son statut d’information émergeant parmi d’autres ou à comprendre à partir des autres etc. L’assemblage mosaïque et la fragmentation qui étaient son lot devient fracture et autonomie ; l’information se transforme alors en donnée et le journal en base de données.

Avant de conclure, il faut toutefois noter que certains sites sont actualisés plusieurs fois par jour, que le changement même mineur en nombre est tout à fait perceptible dans cet espace supérieur de la page qui s’affiche à l’écran. Ainsi, la page d’accueil du site du quotidien USA Today renouvelle annonces d’articles et photographies en haut de la page plusieurs fois dans la journée. Il ne s’agit donc pas de nier les efforts faits pour apporter des changements d’ordre visuels en exploitant habilement cet espace d’affichage prioritaire. Ceci dit, il faut reconnaître l’écrasante domination numérique des liens hypertextes comme le montre le graphique qui présente de façon générale le renouvellement des catégories d’items dans les différents espaces de la page d’accueil.

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On remarque que le renouvellement en termes d’images, publicitaires ou informatives, se situe plus particulièrement dans l’en-tête et l’espace central (plus précisément en haut) ce qui signifie que l’instance éditoriale souhaite que ce changement soit perceptible et vu puisqu’affiché de façon prioritaire.

Il apparaît donc, à l’issu de cette étude que les sites du corpus revendiquent bien timidement le fait de pouvoir de dire le présent, d’opérer des prélèvements dans le continuum du réel, les mettre en relief et donner du sens. La page d’accueil apparaît comme un espace à remplir ; les données sont remplacées par d’autres plus fraîches sans que soit donné le sentiment d’une réelle nouveauté, d’une information véritablement autre. Ceci prouve que l’actualité n’existe pas en soi, qu’elle demande à être signifiée. En accord avec Roselyne Ringoot, nous considérons que l’actualité est « ce qui est rendu présent » parce que « l’actualité ne concerne pas les faits mais leur énonciation »508. On a souvent l’impression que les sites ont été conçus comme des contenants figés et que, peu importent les événements présentés sur les autres médias, le journal en ligne formate et nivelle les informations, transformées en données sans relief, sans rythme, sans risque.

Alors que de nombreuses éditions en ligne sont gérées par les personnes issues de l’univers de l’imprimé, on peut se demander comment se présente ce passage de l’actualité au document, du journal à la base de données, d’un produit perpétuellement renouvelé au recyclage d’un fonds existant et à sa gestion. Plus concrètement, nous nous sommes interrogée sur la possible hybridation des genres, sur les traces possibles liées aux héritages culturels et aux pratiques professionnelles des acteurs de la presse en ligne, bref sur les traces des compromis en oeuvre sur les pages des sites des journaux quotidiens en cette phase d’intermédialité déjà évoquée.

Notes
507.

L’ensemble des données, tableaux et graphiques sont reproduits en annexe 17.

508.

RINGOOT Roselyne, « Les constructions temporelles sur l’Internet local », Media-local.net ?, RINGOOT Roselyne, RUELLAN Denis, THIERRY Daniel, (coord. par), à paraître en avril 2002.