UNIVERSITÉ LUMIÈRE LYON2
SCIENCES DU LANGAGE
Contribution à l’identification automatique des langues romanes.
Composition du jury :
M. HOMBERT Jean-Marie, Professeur à l’Université Lumière Lyon 2, Directeur de Thèse,
M. MADDIESON Ian, Professeur à l’Université de Berkeley (USA),
M. LIENARD Jean-Sylvain, Directeur de Recherche au CNRS,
M. CARRE René, Directeur de Recherche au CNRS,
M. PELLEGRINO François, Chargé de Recherche au CNRS.

Remerciements

J’ai enfin le plaisir de me soumettre à cet agréable rituel de remerciements qui marquent la fin de toute thèse. Je voudrais donc exprimer toute ma reconnaissance à tous ceux qui m’ont permis de mener à bonne fin ce marathon doctoral.

Mes remerciements vont tout d’abord au Professeur Jean-Marie Hombert, directeur de thèse, sans lequel ce travail n’aurait jamais été possible. Il y a maintenant quatre ans, je croyais encore que la recherche était un domaine privilégié qui, pour un tas de raisons, me resterait inaccessible. Grâce à son soutien professionnel de chaque jour, à ses encouragements et, surtout, à sa présence dans les moments de réussite ou de doute, j’ai appris que tout est possible. Je suis heureuse de pouvoir lui exprimer aujourd’hui toute ma gratitude.

Je voudrais remercier le Professeur Ian Maddieson, dont les conseils concernant notamment la partie expérimentale de cette thèse m’ont été d’une précieuse aide et à qui je dois l’initiation au domaine de l’identification perceptive des langues. Les périodes où j’ai bénéficié de sa collaboration, qu’il s’agisse de ses séjours à Lyon ou de mon stage à Berkeley, se trouvent parmi les plus fructueuses de ce travail.

Je suis honorée de compter parmi les membres du jury Messieurs René Carré et Jean-Sylvain Liénard et je les remercie d’avoir accepté cette tâche.

Je tiens également à remercier François Pellegrino qui a merveilleusement honoré son rôle de co-encadreur, avec sérieux et patience. Ses suggestions concernant les aspects statistiques de ce travail, ses corrections et ses REcorrections minutieuses m’ont été d’une aide inestimable.

Enfin, mes remerciements vont également à :

Nishio Sumikazu, pour son soutien et son intérêt constant pour les exploits en identification des sujets de toutes origines, pour ses éclaircissements statistiques et pour la correction soignée dont il m’a fait profiter ;

Sophie Kern, Pavlina Sedlackova, Brigitte Nevers et Anetta Kopecka, pour leurs lectures et leurs suggestions concernant la rédaction ;

mais également à tous ceux qui, d’une façon ou d’une autre, ont contribué à l’accomplissement de cette thèse et que j’ai probablement oublié.

Je voudrais, enfin, exprimer ma gratitude envers ceux qui, sans être directement impliqués dans ce travail, ont fait en sorte qu’il soit possible. Je pense tout d’abord au Professeur Liliana Ionescu-Ruxandoiu, qui m’a transmis la passion pour l’histoire des langues romanes. Je ne pourrais oublier Monique, depuis des années amie et confidente, et Chakib, pour son appui et sa patience durant ces derniers mois. Finalement, je pense à mes parents, très loin mais toujours proches par leur affection et leurs encouragements, et surtout à mon père, à qui je suis heureuse de dédier aujourd’hui ce travail.