3. Conclusions

Les deux observateurs ont réalisé des d’ supérieurs à zéro et des cosinus élevés. Les prototypes détectés par les observateurs sont très similaires aux prototypes qui leur ont été attribués. Ce résultat est impressionnant si l’on considère qu’il provient de 224 essais seulement. Ainsi, nous concluons qu’il est possible de classer un stimulus temporel aléatoire en étant guidé par un feed-back sonore.

L’expérience suivante sera réalisée par des observateurs naïfs et ignorant totalement le prototype qui leur a été attribué. Le but étant de savoir si un feed-back sonore est suffisant pour acquérir un prototype nouveau et inconnu de l’observateur.