Remerciements

Au terme de cette recherche je tiens à exprimer toute ma gratitude à Philippe Meirieu, qui a accepté de diriger cette thèse quand les perspectives en étaient des plus incertaines. Sa culture, sa perspicacité, sa chaleureuse attention ont été des encouragements permanents.

Je veux dire aussi ma reconnaissance à Gérard Colonna d'Istria, qui fut au lycée un inoubliable professeur de philosophie et qui, ensuite, m'a donné libre accès à sa bibliothèque et à ses travaux ; à Michel Boulicaut et François Desgranges, qui m'ont entraîné dans le métier d'instituteur et qui furent mes maîtres en pédagogie ; à mon collègue et ami Jean-Claude Blanc, pour nos discussions informelles et toujours stimulantes, à Patrice Rötig, pour son amitié fidèle et généreuse.

Merci aussi, pour l'aide discrète que depuis des années ils m'ont apportée, à Jacqueline Mercier et Philippe Bertrand, à Eric et Sophie Mercier, à Alain Mounier.

J'ai pu bénéficier de larges périodes de retrait, dans le cadre de congés-formation qui m'ont été accordés par l'administration départementale de l'éducation nationale. Sans ces périodes de retrait de la classe, cette recherche n'aurait pu être menée.

Je dois à des propos de François Bon, concernant son expérience des ateliers d'écriture, et brièvement rapportés dans un numéro du Monde de mai 1996, de m'avoir aidé à formuler ce qui n'était alors qu' un projet de recherche.

Enfin mes pensées vont, au terme de ce long chemin, à Sandrine Mercier, ma compagne, et à Enki, notre fils.

L.B.(26 août 2002)