Mes remerciements vont au premier chef à Monsieur le Professeur Emílio Giústi pour avoir dirigé mes travaux avec toute la compétence, la disponibilité et la compréhension que chacun dans sa profession se plaît à lui reconnaître.
Je voudrais dire ensuite toute ma gratitude à Monsieur le Professeur Carlos Maciel, avec science et patience il a su m’initier au maniement des hypertextes qui se sont révélés des auxiliaires précieux pour l’élaboration du corpus.
Ma reconnaissance va également à Monsieur le Professeur André Camlong qui m’a apporté une aide décisive au cours de l’analyse du discours de la pollution. En effet, il m’a ouvert les portes de son unité de recherche et avec une infinie patience il m’a guidé dans l’emploi de sa méthode Stablex.
Pour le concours et l’assistance qu’ils m’ont apporté dans le domaine de la science, en général, et de la pollution, en particulier, j’ai une dette de reconnaissance à l’égard des Professeurs Antônio Lamberti de l’Université de São Paulo et de Michel Dupupet de l’Université Claude Bernard Lyon1.
Je ne saurai assez insister sur le soutien que m’ont apporté tout au long de cette longue entreprise, mes amis au nombre desquels se sont distingués Robert Luquet, Nicole Cessat, notamment dans le traitement du manuscrit, ainsi que Eliana Aparecida Barbosa, Nádia Déa pour leur concours fidèle, Luís Pereira pour sa collaboration technique dans la finalisation de cette thèse.
J’ai une pensée pour tous ceux, et ils sont nombreux, que je ne mentionne pas mais qui méritent d’être associés à mes remerciements pour les encouragements qu’ils ont eu l’occasion de m’apporter.
Merci du fond du coeur à mon mari Tristan et à Cyrielle, ma fille, dont l’affection ne m’a jamais fait défaut alors que souvent j’ai dû mettre leur patience à l’épreuve.