Nous postulons que de telles situations traumatiques sont recherchées par les sujets 132 , au travers de leurs venues dans ces secteurs d’activités. Ces rencontres sont imaginarisées comme autorisant un changement identitaire, comme signant l’entrée dans le groupe des professionnels, équivalent à une inclusion rituelle dans les groupes sociaux des adultes (hommes ou femmes), donnant de ce fait accès à un «réel» supposé fréquenté par l’autre, dans le creuset de sa profession.
L’hypothèse du lien entre le traumatismenotion traumatisme notion traumatisme notion traumatisme notion traumatisme notion traumatisme notion traumatisme notion traumatisme notion traumatisme et les précipités identificatoires, est interrogée, entre autres, par Jean Guillaumin (1985), «Besoin du traumatisme et adolescencenotion adolescence notion adolescence notion adolescence notion adolescence notion adolescence notion adolescence notion adolescence notion adolescence «, et René Kaës (1991), «L’affinité du groupe du traumatisme psychique et de la crise»; et sur un versant plus anthropologique par T. Nathan (1987), M. Stassart (1995), «Anthropologie de l’adolescence», et de Joël Gendreau (1999), «L’adolescence et se «rites» de passage». Nous considérerons l’ensemble de ces travaux au chapitre «Traumatisme, identification et appropriation subjectivante» B.4.2.