Le travail de symbolisation qui incombe au «Je» se joue habituellement selon les modalités d’une auto-représentation ; on rencontre toutefois des processus d’appropriation pour lesquels le traumatisme et/ou les expériences transgressives sont configurés selon une autre modalité. Lorsque le «Je» se trouve dans une demande identificatoire, l’expérience vaut alors non pour son contenu, mais pour son effet effractif. C’est l’effraction qui est configurée au sein de la psyché aux fins d’obtention d’une identification professionnelle. Nous allons donc nous centrer sur ce qu’il en est du mode d’appropriation subjectif dans lequel le clivage d’expériences traumatiques et/ou transgressives constitue un rempart contre l’envahissement de la psyché du sujet par la psyché maternelle et/ou parentale159.
Maternel et/ou parental : les deux instances parentales peuvent être l’objet d’un même «refusnotion refus notion refus notion refus notion refus notion refus notion refus notion refus notion refus « et se trouver combinées au travers de la figure «féroce et obscène» du Surmoi (selon l’expression de J. Lacan) ; ceci dans la mesure où «l’autre paternel» n’a pas réussi à faire «suffisamment» barrage à l’emprise de la psyché maternelle sur l’enfant, même si sa place n’est pas l’objet d’une forclusion. On se trouve avec la question de la transgressionnotion transgression notion transgression notion transgression notion transgression notion transgression notion transgression notion transgression notion transgression en résonancenotion résonance notion résonance notion résonance notion résonance notion résonance notion résonance notion résonance notion résonance étroite avec la question de la perversionnotion perversion notion perversion notion perversion notion perversion notion perversion notion perversion notion perversion notion perversion . Cette composante «d’agirs transgressifs» concerne toutefois l’ensemble des «positions» psychiques, même si le «trait» transgressif, constitue l’apanage de la «position» perverse.