C.8 L’angoisse d’une transmission catastrophique - »Les Terrasses»

‘«C’est à partir de ce qui est non seulement faille et manque que s’organise la transmission, mais à partir de ce qui n’est pas advenu, ce qui est absence d’inscription et de représentation, ou de ce qui, sur le mode de l’encryptage, est en stase sans être inscrit.» (R. Kaës, 1993542).’
Notes
542.

René Kaës (1993), Le sujet de l’héritagenotion héritage notion héritage notion héritage notion héritage notion héritage notion héritage notion héritage notion héritage - in Kaës R. et alii : Transmission de la vie psychique entre générations, Paris, Dunod, p. 12.

À ce texte de R Kaës fait écho cette réflexion de Jean Guillaumin, ce qui témoigne, s’il était besoin de le souligner, du processus de continuité /contiguïté de la recherche et des héritages : «(...) comme si certaines identifications n’avaient été transmises que sur le mode négatif, en quelque sorte par absence, et n’avaient repris leur travail interne que par le renfort de nouveaux apports identifiants» J. Guillaumin (1988) Le devenir des identifications et des objets internes au cours de la vie - in Études Psychothérapiques 71 / 19 année n°1, Toulouse, Privat, p. 11.