Economie

Le secteur industriel, qui emploie un peu plus de 100 000 salariés, ne contribue que pour 18 % au PIB. Le Liban est surtout une société marchande.

Services

Le secteur tertiaire, qui fait vivre plus de la moitié de la population et fournit les deux tiers du revenu national. Le « miracle libanais » se traduit par l’élévation du niveau de vie et les constructions de prestige, comme les nouveaux centres d’affaires. Mais la guerre civile a fini par donner un coup d’arrêt à cette expansion, dont l’effondrement spectaculaire de la livre libanaise est l’une des premières conséquences : en 1975, pour échanger un franc français, il fallait l’équivalent d’environ une demi-livre libanaise ; en 1992, il en fallait 420!