Il dessine une volaille, et un personnage dont le visage est entouré de lumière, enfin, il écrit en arabe : le pigeon de la paix. Il dit qu’il a dessiné le pigeon de la paix et un ange.
Les deux objets du dessin ont en commun, le bec et les nombreuses ailes. Un grand pigeon et un ange, pas comme les autres. Représenteraient-ils la toute puissance et le besoin d’identification ?
D’autre part, la tête de l’ange est entourée de lumière et d’une couronne fleurie de cônes pointus, le bec du pigeon est très exagéré, la bouche de l’ange se transforme en bec, de même. Cela est-il signe du phallus cherché ?
- Voir annexe p. 281