4°) La crise de 1951-1954

  1. BEDARIDA (François), «Les intellectuels français et le Vatican en 1952-1953. Un épisode inédit, «in Mélanges offerts à M. le Doyen A. Latreille. Religion et Politique. Les deux guerres mondiales. Histoire de Lyon et du Sud-Est, Lyon, 1972, p. 233-242.
  2. COLLONGE (André, alias Bernard GARDEY), Le scandale du XXe siècle et le drame des prêtres-ouvriers, Paris, éd. O. Perrin, 1957, 138 p.
  3. FOUILLOUX (Etienne), «Recherche théologique et magistère romain en 1952, une «affaire parmi d’autres», Recherches de science religieuse, n° 71/2, avril-juin 1983, p. 269-286.
  4. FOUILLOUX (Etienne), «La Croix, Rome et le catholicisme français (1950-1954)», in : REMOND (René), POULAT (Emile) dir., Cent ans d’Histoire de la Croix, Paris, Centurion, p. 322-339.
  5. LEPRIEUR (François), Quand Rome condamne. Dominicains et prêtres-ouvriers, collection Terre Humaine, Paris, Plon/Cerf, 1989, 785 p.
  6. TRANVOUEZ (Yvon), «Résistance au pouvoir dans le catholicisme. La Quinzaine face à l’A.C.A. (1952-1954)», Archives de sciences sociales des religions, n° 56, 1983, P. 5-35.
  7. VINATIER (Jean), Les prêtres-ouvriers, le cardinal Liénart et Rome, histoire d’une crise (1944-1967), Témoignage Chrétien, éd. ouvrières, 1985, 237 p.