I. F. L’échec au CAPES

Pierre paraît donc avoir un tempérament qui lui permet de saisir toutes les occasions d’ouverture sur le monde et les autres, de savoir se réjouir des situations et des rencontres, ce qui ne lui évite pas la confrontation à des situations d’échec difficiles à vivre. Il échoue au CAPES à quatre reprises : “ ‘Ça, c’est un grand échec pour moi, c’est quelque chose qui a été très dur, très dur à vivre ... un moment très difficile parce que c’était un échec professionnel ’”. Il semble que ce concours n’était pas très ouvert aux candidats si, comme il l’affirme : “ sur les 200 que nous étions, y en a eu quatre qui l’ont eu ”.