I. F. Conclusion

Les images des parents de Cécile ne semblent pas très prégnantes, mais laissent un sentiment positif de présence mais non d’envahissement. Le grand-père paternel est lui aussi très présent au niveau affectif et ses dernières paroles révèlent une acceptation totale de la vie, une certaine sérénité réconfortante même dans des moments qui, pourraient apparaître à d’autres comme insupportables : il ne subit pas sa mort, il l’accepte. La grand-mère maternelle laisse le souvenir d’une présence chaleureuse. De l’école se dégage aussi une ambiance détendue, calme, et le professeur de philosophie à l’écoute des élèves dans leur vie adolescente révèle des attitudes d’éducateur qui paraissent avoir aidé Cécile à se situer “ en douceur ” face à l’éducation reçue : si elle ne l’évoque pas très précisément, elle semble avoir gardé, dans ce qu’on lui a transmis au niveau philosophique et/ou religieux ce qui lui correspondait, ce qu’elle ressentait de juste pour elle, en abandonnant le reste sans drame. Cependant, la grand-mère paternelle et le professeur laissent des cicatrices encore sensibles.