II. F. La violence

Enfin, Cécile évoque la violence entre enfants en classe ou en récréation en prenant l’exemple du coup de pied. Elle préfère le dialogue et l’explication à la sanction arbitraire dans les conflits entre enfants, parfois avec seulement les protagonistes, d’autres fois avec la classe entière. Elle constate alors que “ dans la plupart des cas, ça marche ” et, tout au moins partiellement, il lui semble que des violences ultérieures dues à un déficit d’explication sont désamorcées. De même, elle ne sanctionne pas immédiatement, elle préfère avertir les élèves et considérer leurs actions de violence entre eux comme révélatrices de problèmes dont il faut parler avec les parents, ce qui paraît accepté par tous.