0112.3. Une conception erronée de la langue

Un dernier argument conteste le recours à une linguistique de l’oral. Hélène et surtout Quentin développent, dans leur écrit, une sorte de soumission totale à l’oral. Ils essaient, l’une et l’autre, d’être fidèles à l’énonciation verbale, en fait à ce qu’ils entendent. En conséquence, ils font l’impasse sur la spécificité graphique des mots. Rappelons-nous, par exemple, deux mots:

auter pour hauteur

quonstrucquesion pour construction