Ce travail n’aurait pu aboutir sans les interventions et aides de tous genres de nombreuses personnes que je ne saurais toutes citer dans cette page. Je voudrais exprimer à chacune d’elles ma profonde gratitude.
Je remercie de tout coeur Monseigneur Tharcisse Tshibangu et son Evêque Auxiliaire Monseigneur Bernard Kasanda qui ont voulu que je termine cette recherche. Je remercie également Monseigneur Albert Mbombo et l’Abbé Patrice Kasonga qui m’ont poussé à faire les Sciences de l’Education et ont fait des démarches nécessaires à cet effet. Mes remerciements s’adressent également à Mgr Jean Orchampt, ancien Evêque d’Angers, et à son chancelier Charles Guéneau qui m’ont accueilli dans le Diocèse d’Angers durant trois ans, et ont facilité mes conditions d’études à l’Université. J’exprime ma très grande reconnaissance à Monseigneur Léon Didier Marchand, ancien Evêque de Valence, et à son Vicaire général Daniel Blanc qui m’ont accueilli et m’ont inséré dans la pastorale du Diocèse, quatre années durant, pour me permettre d’achever cette recherche. Et travers eux, je remercie tout le Diocèse.
Des remerciements tout particuliers à ceux qui ont participé très activement à l’élaboration, au questionnement, à la mise en forme et à la rédaction de ce travail. Je cite le Professeur Bertrand Bergier et le Professeur Guy Le Bouëdec qui, par leurs remarques, m’ont permis de voir clair dans cette recherche. Je remercie de tout coeur le Professeur Michel Soëtard qui a dirigé tous les mémoires présentés dans ma formation universitaire : mémoire de licence, mémoire de maîtrise, mémoire de DEA, et enfin ce mémoire doctoral. Sans lui, je n’aurais pu présenter cette thèse sous cette forme. Je lui sais gré également de m’avoir soutenu dans les périodes difficiles.
Enfin, étant donné que je ne peux citer toutes les personnes qui m’ont aidé de près ou de loin, comme on dit chez-nous, kubala umue, nkudibala, que chacune et chacun trouve ici l’expression de ma grande reconnaissance et de mon attachement le plus profond.