A La situation avant et après l’indépendance

En février 1885 le congrès de Berlin reconnaît la souveraineté du roi Léopold II sur la grande partie du bassin du Congo qui devient ‘Etat Indépendant du Congo’. Le Père de Scheut Emery Cambier arrive à Mikalayi au Kasaï le 7 décembre 1891 et fonde la mission de Mikalayi. La première école est organisée à la mission en février 1893 par le Père Jules Garmin comme collaborateur du Père Cambier. La mission de Merode est fondée par Jules Garmin en avril 1894, St Trudon Lusambo le 20 mars 1895, Hemptinne en février 1897, etc. La fondation d’une mission signifiait également l’ouverture d’une école.

L’enseignement est assuré par les missionnaires catholiques belges. Camille Janssens, qui fut Gouverneur Général du Congo en 1886 écrit dans un rapport de 1909 : « ‘L’ancien Etat Indépendant du Congo, constitué politiquement en 1885 seulement sous la souveraineté du Roi Léopold II, n’a, au début, guère eu le loisir de s’occuper de l’enseignement à donner aux habitants du pays. Le premier soin de l’Etat a été d’organiser toute une administration, d’occuper le pays, d’empêcher les luttes intestines et de veiller à la défense de ses droits. Il s’en est remis, pour ce qui concerne l’instruction, aux missionnaires qui ont établi de nombreuses missions sur le territoire de l’Etat’ »70. L’Etat faisait confiance aux missions catholiques pour éduquer et instruire le plus grand nombre possible d’enfants.

Dans ces premières écoles, en général ‘« on y donnait des leçons de religion, de lecture et d’écriture, de calcul, d’hygiène élémentaire, de politesse et même un peu de géographie. On tendait à donner 3 heures de cours par jour ; le reste du temps était occupé au travail manuel’ »71. Jusqu’en 1906 toutes ces écoles n’avaient pas de programmes bien définis et leur organisation était laissée à l’initiative du missionnaire qui s’en occupait.

Le 26 mai 1906 une Convention est signée à Bruxelles entre l’Etat Indépendant du Congo et le Saint-Siège. Dans cette Convention on demande à chaque établissement de mission de s’engager, « ‘dans la mesure de ses ressources, à créer une école où les indigènes recevront l’instruction. Le programme comportera notamment un enseignement agricole et d’agronomie forestière et un enseignement pratique des métiers manuels’ »72. Par cette Convention l’Etat Indépendant du Congo s’assurait de la collaboration permanente des missions catholiques en matière d’éducation et d’instruction. L’Etat se jugeait incapable par lui-même de s’occuper de cette éducation des habitants. Mais il se réservait la haute direction de tout l’enseignement et un droit de regard sur toutes les écoles. C’est lui qui agréait le programme d’études et recevait des rapports périodiquement.

Le 15 novembre 1908 le roi Léopold II cède à la Belgique l’administration et le Gouvernement du Congo qui devient ainsi une colonie belge. Le pays est désormais appelé Congo Belge. La Belgique reconduit toutes les obligations contractées par l’Etat Indépendant du Congo, comme par exemple la Convention avec le Saint-Siège de 1906. Le gouvernement belge n’avait pas l’intention d’organiser à grande échelle un réseau d’écoles officielles entièrement à charge de l’Etat. Le gouvernement de la Colonie maintint la collaboration des missions pour l’organisation des écoles.

L’accent continue à être mis sur l’organisation et l’expansion des écoles primaires. ‘« Toutes ces écoles primaires, écrit Keerberghen, sont conçues en premier lieu comme moyen d’évangélisation et comme la voie normale pour faire arriver les élèves au baptême. Il s’en suit que l’enseignement du catéchisme et de l’histoire sainte occupe la première place.’

‘« L’organisation de cet enseignement est orientée vers un enseignement de masse : les écoles primaires ont une fin en soi et ne poursuivent pas d’être une préparation à un enseignement post-primaire’ »73. Le niveau de ces écoles était encore trop bas compte tenu de la nouveauté de l’enseignement et du manque d’enseignants bien formés.

A partir de 1914 on commence à fonder des Ecoles Normales pour la formation des catéchistes et des commis pour l’Etat. Le programme de l’instruction des Ecoles normales est à peu près le même que celui des écoles primaires centrales. On estimait que les futurs instituteurs devaient uniquement bien connaître ce qu’ils auront à enseigner et qu’il n’était point nécessaire qu’ils en connaissent beaucoup plus. Cette façon de concevoir les choses n’évoluera pas de sitôt. Pour preuve, dans un rapport présenté à la Conférence des Chefs Ecclésiastiques à Léopoldville en octobre 1932 Monseigneur De Clercq, premier évêque du Kasaï, déclarait : « ‘Point n’est besoin de surcharger le programme de l’école normale et d’y enseigner beaucoup de matières nouvelles. Les élèves y approfondiront et tâcheront de mieux comprendre les matières que comporte le programme des écoles primaires.’

‘« On consacrera le moins de temps possible à l’enseignement de la langue française. La connaissance de cette langue leur serait de peu d’utilité ; le plus souvent elle ne sera qu’un aliment à leur vanité, ou faussera leur idéal en les poussant vers des emplois où le français peut leur servir... Il ne faut pas que l’école normale dégénère en école de clercs ou de commis.’

‘« Le travail manuel doit rester en honneur à l’école normale. Les catéchistes-instituteurs doivent être des exemples d’activité et de travail pour les autres’ »74. On estimait que développer le français à l’école primaire et l’école normale inciterait la jeunesse à l’exode rurale.

Le peu d’écoles secondaires organisées à cette époque recherchent la formation d’auxiliaires autochtones qui doivent aider les Blancs de l’Etat, de l’Eglise, des sociétés industrielles ou commerciales dans leurs multiples occupations. L’objectif est de former des agents subalternes efficaces et dévoués. Dans un Rapport du Congrès Colonial National de 1920 on lit : « ‘On objecterait à tort, semble-t-il, que développer le personnel indigène serait se mettre à sa merci et préparer l’insurrection’ »75.

En 1925 le Gouvernement du Congo belge signe une autre convention avec les missions catholiques du Congo. Selon cette convention, l’école doit être adaptée aux réalités du milieu africain. L’éducation doit prédominer sur l’instruction. La convention insiste sur l’importance des langues congolaises dans la première formation et le développement des écoles normales pour accroître le nombre d’enseignants congolais. Le Gouvernement continue à ne pas souhaiter donner une grande extension au réseau des écoles officielles. Il s’assure encore une plus grande collaboration avec les missions, mais seulement avec les missions catholiques d’origine belge76.

Cette Convention impose des programmes scolaires unifiés. Elle est à la base d’une très large extension de l’enseignement à travers le pays et le Kasaï. Elle n’introduit pas d’autres types d’enseignement, mais sanctionne les types qui existaient déjà. Pour l’ enseignement secondaire, on a les écoles de candidats-commis, les écoles normales et les écoles professionnelles. L’enseignement professionnel dispensé était jugé le seul qui réponde le mieux aux aptitudes des noirs. Cela ressort clairement du rapport du Comité Permanent du Congrès National Belge de 1922 que Butugutsala Gandayi cite : « ‘La rude vie que le Noir mène chez lui constitue un excellent apprentissage aux métiers manuels, elle le rend adroit, résistant à la fatigue, ingénieux, mais elle ne prépare nullement aux travaux de l’esprit’ »77.

Pour l’école primaire on continue à mettre l’accent sur une formation qui vaut par elle-même et qui prépare des hommes utiles à leur milieu. Cette école primaire comptait à certains endroits 3 années d’études, à d’autres endroits 4 années, et à d’autres encore 5 années après 1920. La classe de 6ème primaire restera une exception. Ce n’est qu’à partir de 1948 qu’elle sera généralisée. L’enseignement primaire demeure un enseignement de masse. Une grande place est toujours accordée aux travaux pratiques, surtout agricoles au Kasaï. La Convention de 1925 préconisait que « ‘le rôle des écoles primaires était d’apporter dans les régions rurales la civilisation aux enfants, sans détruire ce que la société locale avait de bon, sans détourner surtout les enfants de leur milieu familial : la formation paysanne qu’on leur donnerait susciterait en eux la conviction que développement et vie rurale étaient essentiellement compatibles’ »78.

Toujours dans le souci de mettre l’accent sur les travaux manuels, une circulaire du 31 mars 1933 du Gouverneur Général à l’intention des écoles stipulait : ‘« Il est nécessaire de ne pas arracher les ruraux à la terre et il faut leur préparer un avenir meilleur. Les éducateurs devront donc montrer... que l’agriculture peut, en se perfectionnant, donner l’aisance aux paysans sans les détacher du sol natal.’

‘« Des mesures de rigueur seront prises envers les écoles qui resteront en défaut ; elles pourraient même être privées de tout subside’ »79.

Il ne faut pas se leurrer. Quand dans la Convention les missionnaires s’engagent à ne pas détruire ce que la société locale a de bon, il s’agit avant tout des métiers manuels d’autant plus qu’ils se méfiaient énormément des cultures des autochtones qui, à leurs yeux, étaient sulfureuses. Ils travaillent à ce que les enfants apprennent et apprécient les métiers de leurs conditions d’existence. Mais comment cela pourrait-il être possible ? Seuls les Noirs sont astreints aux travaux manuels durs. Les Blancs sont là uniquement pour contrôler et commander. De plus, quand les apprenants commettaient des indisciplines ou ne savaient pas leurs leçons, pour les redresser et les corriger, ils étaient astreints à travailler manuellement. On peut bien imaginer les représentations qu’ils pouvaient avoir du travail manuel.

Les missionnaires diabolisaient les cultures du Congo et du Kasaï qu’ils ne comprenaient pas. L’école était pour eux un moyen d’aider les Noirs à se défaire de leur culture, à passer de la sauvagerie à la civilisation, de l’ignorance à la connaissance, de la nuit à la lumière. Ils visaient la transformation des êtres humains et l’établissement d’un nouvel ordre et de nouvelles valeurs. C’est l’une des raisons pour lesquelles les missionnaires mettaient en place des internats. Il s’agit comme note Vandernlinden, « ‘d’une part, de maintenir les élèves dans un climat à même de les couper de leurs milieux d’origine et des habitudes ‘sauvages’ ; d’autre part, en une atmosphère ‘pure et protégée’, de les éduquer selon des normes rigides, réglant scrupuleusement l’espace de leur circulation et l’emploi de leur temps’ »80. Dans ces pensionnats, ils essayaient d’instaurer un modèle monastique d’un emploi du temps qui fait des parts utiles et équivalentes au travail manuel, à l’étude, à la formation spirituelle et à la prière.

Tout bien considéré, durant la période coloniale, l’enseignement était à dessein très réduit. Le niveau de l’enseignement à comparer à celui de la métropole était bas. La Belgique, puissance colonisatrice, n’envisageait pas la formation d’une élite qui accéderait à des postes de responsabilité. Ce n’est qu’à partir de 1948, qu’on admit, avec beaucoup de précautions, la nécessité de former une élite capable d’encadrer le peuple Congolais et de préparer quelques élèves à recevoir une formation universitaire.

Jusqu’en 1948, il n’existait au sein du Vicariat Apostolique du Haut Kasaï qu’un établissement secondaire complet : c’était le petit séminaire fondé en 1916. C’est la nouvelle Convention scolaire de 1948 qui a prévu de nouvelles sections d’enseignement secondaire, comme par exemple des humanités latines et des humanités modernes dont les programmes s’inspiraient de ceux des humanités belges. Le premier vrai collège a commencé à Kamponde en 1948.

La réforme de 1948 a le souci de prendre en compte les réalités du Congo. A ce propos Busugutsala écrit : « ‘A tous les niveaux de l’enseignement, les nouveaux programmes et manuels scolaires marquèrent un vif souci d’adaptation aux contingences africaines et répudièrent toute assimilation outrancière. La réglementation de 1948 considérait, en effet, que la culture européenne devait être, depuis lors, un moyen, la culture nationale un but’ »81. Le souci était double, d’abord d’apprêter chacun à assumer un rôle utile dans son milieu traditionnel et ensuite d’assurer à des niveaux différents, la formation d’une élite.

Mais si l’enseignement est demeuré déconnecté des conditions d’existence des élèves c’est dû aussi à la volonté des Congolais eux-mêmes. A ce sujet Erny note : « ‘L’opinion africaine s’élevait régulièrement contre les essais d’adaptation, y voyant, à juste titre bien souvent, une manoeuvre pour maintenir l’instruction à un niveau inférieur par rapport à celle dispensée dans les métropoles, et pour refuser aux populations cet accès rapide à une civilisation moderne auquel leurs représentants les plus ‘évolués’ aspiraient. Pour mieux parvenir à l’égalité, on revendiquait l’identité des enseignements’ »82.

En 1948, eut lieu la reconnaissance officielle de l’enseignement des missions protestantes anglaises et américaines. Jusqu’à présent elles travaillaient sans être reconnues pour le Gouvernement colonial belge. A partir de 1950, des voix de plus en plus nombreuses de Congolais se font entendre pour critiquer l’enseignement assuré par les missions catholiques et réclamer l’enseignement officiel laïque. En effet l’Etat n’avait jusqu’alors que quelques écoles appelées écoles officielles congréganistes vu que la gestion était confiée aux congrégations religieuses. On pourrait citer en guise d’exemple les écoles professionnelles des Frères de Charité de Lusambo et Kabinda fondées en 1910. On reprochait aux missions entre autres d’être opposés au relèvement des programmes scolaires, d’empêcher l’émancipation des Noirs et de s’opposer à la généralisation de la langue française. En 1954, le ministre libéral belge Buisseret préconise l’ouverture des écoles laïques au Congo et le Gouverneur Général Pétillon déclare que l’école laïque au Congo devient une nécessité. La même année en septembre les collèges et les lycées s’ouvrent au Congo et au Kasaï à Luluabourg, aujourd’hui Kananga. Ce sont des reproductions fidèles des athénées royaux belges. « ‘Le français y était enseigné comme première langue dès la première année primaire et était la langue d’enseignement exclusive dans les autres classes du primaire et à l’école de moniteurs ’»83. En recherchant l’enseignement officiel, les Congolais visaient avoir les mêmes titres que les Blancs.

Après l’indépendance le 30 juin 1960, le gouvernement du Congo a porté ses efforts sur l’expansion des effectifs scolaires. Cette attitude se justifiait par la carence de cadres moyens et supérieurs légués par le régime colonial. Qu’on se rappelle qu’en 1960 le pays n’avait que vingt diplômés de l’université de Lovanium fondée en 1954 dont douze en sciences économiques et sociales, sept en psycho-pédagogie, et un en agronomie84. Fondée en 1956, la deuxième université du Congo, celle d’Elisabethville (actuellement Lubumbashi), n’aura ses premiers diplômés qu’en 1962-1963. L’université libre de Stanleyville (actuellement Kisangani) n’accueillera ses premiers étudiants qu’en 1963-1964.

Nombre d’écoles, tant primaires que secondaires, furent alors agréées à travers tout le pays, et le Kasaï n’a pas été oublié. Le souci primordial est d’avoir des cadres qui puissent remplacer les Blancs85. Les postes de commis, clerc, enseignant, bureaucrate, politicien sont en vue. D’où l’intérêt accordé aux enseignements généraux longs au détriment des enseignements techniques longs et courts. La réforme de 1961, reprise et accentuée en 1966, établit, pour finalité du primaire, le passage au secondaire, et pour objectif du secondaire, l’accès aux études supérieures et universitaires86. L’enseignement post-primaire constitué d’écoles de métiers tend à disparaître à l’avantage de l’aspiration vers l’université. Qu’on ne perde pas de vue le fait que dans l’esprit de nombre de Congolais à l’époque l’indépendance signifiait aussi la libération des travaux manuels.

Concernant les programmes et contenus de l’enseignement, l’effort n’a pas été fait pour la prise en compte de l’environnement de l’enfant. Témoin, les réformes scolaires de 1961/1962. « ‘La réforme de l’enseignement secondaire adopte un plan d’études français et celle de l’enseignement primaire, le plan belge, de 1958’ »87. Les réformes successives de 1966, 1973, 1978 n’y changeront pas grand-chose. On s’en rendra compte quand seront analysés les programmes en vigueur actuellement.

Aujourd’hui au Kasaï, 80% des filières organisées sont des filières générales longues et 20% seulement des filières techniques. On trouve même dans les villages les plus reculés, les filières comme latin-philo, mathématiques-physique, biologie, chimie... Les filières techniques sont présentées comme l’apanage des inintelligents. Et pourtant, la terre kasaïenne, parsemée de petites forêts, est fertile. La pluviosité est bonne, la végétation luxuriante. La saison de pluie comprend 9 mois, du 15 août au 15 mai, et la saison sèche 3 mois. Beaucoup de ruisseaux, rivières et petits lacs poissonneux arrosent et humectent la terre. Nous passons sous silence son sous-sol riche en diamants industriels.

A l’école primaire, l’initiation aux travaux d’agriculture et d’élevage comme à l’époque coloniale n’existe plus. Les travaux manuels exécutés par les enfants, particulièrement les travaux de champs n’ont rien de formatif, ils sont purement lucratifs pour le fonctionnement des écoles et pour subvenir aux besoins des enseignants mal rémunérés. Le cours de ‘l’étude du milieu’ est sans incidence sur les représentations des écoliers par rapport à leur milieu. En principe cette discipline a pour but de faire connaître aux enfants leurs cultures, leur milieu ambiant, les métiers qui y sont exercés, etc. Mais malheureusement les enseignants ne lui accordent pas l’importance escomptée. Comment pourrait-il en être autrement : ils ont eux-mêmes du mépris vis-à-vis de leur milieu, de leurs cultures et des métiers manuels ? Beaucoup de ceux qui sont au village souhaitent vivre en ville, ceux qui sont en ville veulent habiter Kinshasa, la capitale du pays, et ceux qui sont à Kinshasa préfèrent émigrer en Europe et en Amérique.

Les enseignants en cours établissent constamment dans leurs propos et attitudes la hiérarchie entre le travail manuel et le travail intellectuel, bureaucratique. Les métiers manuels sont appelés ‘métiers de saleté’. La chasse, la pêche, la forge, l’agriculture, la mécanique, la maçonnerie, la menuiserie... sont à leurs yeux des galères propres aux bourriques. Ainsi on peut affirmer avec Ki-zerbo, qu’on a eu après l’indépendance des écoles très allergiques au travail manuel productif, des écoles qui par les matières enseignées désapprennent à produire, des méthodes d’enseignement qui désapprouvent l’esprit créatif et entreprenant et privilégient les facultés de mémorisation et de répétition, les écoles qui éloignent les apprenants de leurs conditions d’existence 88 .

Et quels en sont les résultats et les conséquences ? Ils sont à tout le moins médiocres. C’est sur eux que nous allons essayer de nous appesantir aux volets B et C qui suivent.

Notes
70.

In KEERBERGHEN (Joseph Van), Histoire de l’Enseignement catholique au Kasayi 1891-1947, Kananga, 1985, p. 15.

71.

KEERBERGHEN (Joseph Van), op. cit., p.18.

72.

idem, p.22.

73.

KEERBERGHEN (Joseph Van), op. cit., p. 78.

74.

Idem, pp. 201-202.

75.

MUKADI LUABA (L.), “Aperçu historique de l’enseignement au Zaïre”, in Zaïre-Afrique, n° 134, 1979, p. 203.

76.

KEERBERGHEN (Joseph Van), op. cit., p. 82.

77.

BUSUGUTSALA (G.G.), Politiques éducatives au Congo-Zaïre. De Léopold II à Mobutu, Paris, L’Harmattan, 1997, pp. 83-84.

78.

KEERBERGHEN (Joseph Van), op. cit., p. 88.

79.

In KEERBERGHEN (Joseph Van), op. cit., p. 166.

80.

VANDERLINDEN (J.), (Sous la direction de), Du Congo au Zaïre. 1960-1980. Essai de bilan, Bruxelles, CRISP, p. 374.

81.

BUSUGUTSALA (G.G.), op. cit., p. 86.

82.

ERNY (P.), L’enfant et son milieu en Afrique noire, p. 281.

83.

BUSUGUTSALA (G.G.), op. cit., pp. 113-114.

84.

VANDERLINDEN (J.), (Sous la direction de), op. cit., p. 380.

85.

LE THANK (Khoï), L’enseignement en Afrique tropicale, Paris, P.U.F., 197, p. 21.

86.

VANDERLINDEN (J.), (Sous la direction de), op. cit., p. 386.

87.

GASIBIREGE RUGEMA (S.), “A la recherche d’une réforme scolaire adaptée”, in Zaïre-Afrique, n° 134, 1979, p. 229.

88.

KI-ZERBO (J.), op. cit., p. 70.