Points à surveiller 334

  1. La définition des rôles et missions de chacun ne prend en compte que l’aspect opérationnel et laisse donc de côté tout ce qui concerne le managementdes hommes et des équipes et principalement la fonction de cadre. Il reste un effort important à faire sur la compréhension du rôle d’encadrant et sur la transposition dans les faits de ce rôle.
  2. Les interfaces ne sont pas encore assez synchronisées. Les différents services travaillent sans véritable liaison et il n’existe que peu de dispositifs permettant d’assurer une véritable synergie interne.
  3. La cohérence et les liaisons entre les différentes actions menées au sein de l’entreprise restent encore limitées. Si le système d’informations commence à se structurer, il est nécessaire de rester vigilant non seulement sur les flux d’informations mais aussi et surtout sur la qualité des informations transmises.
  4. Si une intensité plus grande au niveau du pilotage de la production se fait sentir, il n’en va pas de même pour le suivi et le portage d’activités moins opérationnelles. Une implication des cadres plus forte semble encore nécessaire dans le portage des politiques et des actions .
  5. La méthodologiede gestion et de pilotage de projet n’est pas encore maîtrisée. Il reste de nombreuses zones d’ombres qui traduisent un manque de méthodes de travail communes et une difficulté à écrire des propositions concrètes sur le papier.
  6. Les éléments porteurs de changement et d’innovation restent encore trop souvent isolés et ne sont pas toujours pris au sérieux par le reste de l’entreprise.
  7. La pérennité des méthodes et des outils de travail reste l’un des problèmes majeurs. Peut-on réellement et objectivement choisir entre des méthodes communes efficaces et des dérèglements naturels, mangeurs de valeur ajoutée ?

Notes
334.

Voir la liste des actions restant à mener sur les dysfonctionnements.