Recommandations

  1. Il paraît opportun de développer la communication-coordination-concertation verticale par la mise en place de dispositifs de tête-à-tête entre l’encadrement et la direction de l’entité.
  2. L’encadrement a tendance à se battre sur des critères personnels, ce qui ne lui permet pas toujours de contribuer positivement au débat professionnel. Les relations clients-fournisseurs internes ainsi que la négociation sont quasi inexistantes. La capacité de négociation pourrait être développée afin d’atteindre les objectifs fixés tout en respectant les personnes.
  3. Les méthodes de planification, les plannings pourraient être nominatifs et faire apparaître la répartition du personnel sur les lignes de fabrication. La gestion des heures tend à faire oublier que la gestion des effectifs, des rythmes, des récupérations est vitale pour éviter à l’entité de se retrouver avec des périodes de pénurie de main d’oeuvre.
  4. La rentabilité des investissements matériel et immatériels est peu prise en compte dans les solutions apportées à la réduction des dysfonctionnements. Chacun pourrait développer son auto-contrôle de gestion et acquérir des réflexes, tels que l’utilisation systématique de balances économiques, pour mieux piloter sa zone de responsabilité.
  5. Un intérêt particulier doit être porté sur la mise en place effective des CAP et des PAP afin d’assurer la mobilisation et l’implication de chaque niveau hiérarchique dans le développement de l’entité.
  6. Les réunions de régulation psycho-sociologiques cesseront quand on demandera vraiment des comptes aux personnes dans leur travail quotidien.