Nous adressons nos sincères remerciements à Monsieur le Professeur Joseph Dichy pour avoir accepté la direction de ce travail de recherche, pour l'avoir dirigé avec une fermeté cordiale et pour nous avoir assuré, le long de notre parcours, son écoute attentionnée, ses conseils précieux et son aide indéfectible.
Nous sommes redevable également de reconnaissance envers Mme Simone Lecointre, sans l'aide de laquelle ce travail n'aurait pas tout simplement commencé dans des conditions rendues favorables par ses soins. C'est grâce à ses démarches y compris auprès de M. Dichy à qui elle a aimablement téléphoné et télécopié, à plusieurs reprises, depuis Nouakchott alors qu'il était en mission à Damas, sans ménager ni son temps, ni son argent, pour obtenir son accord pour diriger nos travaux de recherche, que nous avons pu nous inscrire à l'Université Lumière Lyon 2.
Nous avons une dette de reconnaissance envers Mmes et M les Professeurs Jacques Blanc, Danielle Boissat, Robert Bouchard, Sylvie Bruxelles, Jacques Cosnier (qui nous a accordé un entretien), Creissels, Joseph Dichy, Colette Greenvald, Cherif Ferjani, Hassan Hamzé, Harriet Jisa, Catherine Kerbrat-Orecchioni, Michel Le Guern, François Lupu, Megge, Louis Panier, Christian Plantin, Chantal Parpette, Jean Charles Pochard, André Roman, Véronique Traverso, Katia Zakaria, qui m'ont aimablement accueilli dans leurs cours de licence, maîtrise, et DEA de sciences du langage, de didactique du FLE, du DUARC, etc.
Nous remercions sincèrement notre ami Mohamed Radouaa, qui a été et est toujours pour nous, plus qu'un ami, un frère.
Nos remerciements vont à M. Mohamed Ould Khabbaz, Recteur de l'Université de Nouakchott, à M. Dillo Ibrahima Doyen de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines, à M. Ahmed Salem Ould Mohammeddou Chef du Département de la langue et de la littérature arabes, ainsi qu'à nos collègues et amis MM. Ahmed Ould Habiboullah, Mohamed Ould Bou'leyba, Mohamed Ould Baba, Sid'Ahmed Ould Ebnou, Mohamed Lemine Ould Mohamed Mahmoud, Bouh Ould Belbellah, à Mmes Aminettou Mint Mohamed Moctar (Mintata), Leila Alarda pour les aides et facilités qu'ils ont bien voulu nous accorder durant la préparation de notre thèse.
Nos remerciements vont aussi aux membres du GRIC, du GRIAF, du Département de l'arabe à la Faculté des langues de l'Université Lumière Lyon 2, à la Mission de Coopération auprès de l'Ambassade de France à Nouakchott, à la Délégation régionale de l'EGIDE de Lyon et notamment à Mmes Suzanne Vulliet et Sylvie Gbéjo.

