Je tiens à remercier :
Jean RUFFIER et Marcos SUPERVIELLE, sans lesquels cette thèse n’aurait pas vu le jour.
Dietrich HOSS, qui a encadré cette étude, pour les discussions et sa contribution à l’approche théorique du sujet.
Les professeurs, chercheurs et tout le personnel du GLYSI et de l Université Lumière Lyon II, qui ont construit le contexte institutionnel nécessarie pour la réussite du travail.
Les professeurs et les chercheurs du Département de Sociologie et de l’Institut de Sociologie Juridique de Montevideo, pour leur appui permanent du point de vue personnel et institutionnel.
Rodolfo LEVIN, qui a coordoné le travail de terrain à « L’Hospital de Clínicas »
de Montevideo.
Corinne TANGUY, qui a patiemment corrigé une partie des notes de cette étude.
Mme. DOBINSKY et Mme. HENRY, qui m’ont aidé à faire la traduction d’une partie de la thèse.
L’Université de l’Uruguay et le Gouvernement Français, qui ont financé mes séjours en France et mon travail de recherche en Uruguay.
Toutes les personnes que nous avons interviewés, pour leur précieuse collaboration et leurs renseignements concernant les études de cas.