B/ Analyse planche par planche

Planche I

L’appréhension globale de la planche est marquée par une tonalité émotionnelle dysphorique. La planche met à l’épreuve une conduite socialisée liée ici à des aspects de menace, d’insécurité (Fclob). Le caractère très affectif du clob qui se profile dans l’ensemble des réponses implique un émoi global et envahissant combattu dans une certaine mesure, la formalisation venant contrôler les impressions d’hostilité. Les quatre réponses (y comprise la réponse additionnelle) sont traversées par une angoisse perturbatrice pouvant à chaque instant submerger voire paralyser les capacités d’adaptation. Les impressions de menace sont rapidement ramenées au danger de la relation comprenant à un niveau plus régressif, l’expression du touché : « quelque chose de repoussant, qu’on n’a pas envie de caresser ». L’anxiété est associée, avec beaucoup trop d’acuité, à des affects douloureux trahissant la non intégration d’expériences sensorielles (non génitales).

La seconde réponse met à l’oeuvre un procédé de dénégation : « mais pas un papillon » qui implique à l’enquête un sentiment d’anxiété diffuse portée par un C’ » c’est trop sombre et le gris c’est pas rassurant ». Les thèmes d’angoisse mettent en avant le surinvestissement des sensations qui portent violemment atteinte au narcissisme du sujet. La position dépressive (insupportable) fait appel au vécu d’impuissance. La dernière réponse de la planche illustre la crainte gigantesque de la relation dans laquelle l’objet perçu est immédiatement associé à une excitation traumatique. La tendance à l’extinction de la pulsion (traduite par l’apparition d’un « flash ») met en scène, dans le passage à l’acte (passage par l’acte devrions-nous dire), l’effacement de l’objet qui jusque-là aveuglait le sujet (retournement passif/actif). Dans ce cadre précis, l’emprise sur l’objet est en lien avec le souvenir traumatique d’emblée abordé à la Planche I. Nous voyons combien les capacités de réassurance interne (résultat d’une introjection suffisamment réussie de la fonction α maternelle) sont mises à mal : « qui ferait presque peur » (réponse 1), « mais ça ne me fait pas peur » (réponse 3). La manipulation de la planche, pondérée par un « il doit y avoir un sens à tout cela » implique aussi l’effort démesuré du sujet pour neutraliser, refroidir la poussée pulsionnelle qui apparaît comme une menace de vie. Le cafard (réponse fournie à l’enquête) reprend l’axe dépressif sous une forme métaphorique renouvelant le besoin de distance, de maîtrise vis à vis de l’objet « c’est bien de circonstance ». L’effacement d’une partie de la perception (coté par un G amputé) traduit de façon répétée la mise à l’écart de l’objet insuffisamment satisfaisant. De manière globale, les réponses intègrent et articulent des impressions perturbatrices assez profondes impliquant le passage entre des aspects lumineux, aveuglant (flash) de la dépendance à l’autre autant recherchée que déniée (comprenant le caractère clair-obscur), est basée pour une part sur la sensation du contact corporel et donc du manque de distance. La dénégation marquerait la répression des besoins affectifs correspondant à des expériences précoces marquées par l’insécurité et le rejet (« qu’on n’a pas envie de caresser »).

Planche II

La mort réapparaît à un niveau primaire dans une représentation explosive, en référence à l’intérieur du corps alors disloqué, vidé de son sang. La kinesthésie est plus envisagée sous un mode sensoriel. La réaction à la couleur ne pouvant être tempérée marque la fragilité dans la délimitation du dedans et du dehors. L’envahissement de l’affectivité et l’impossibilité de distanciation par rapport au stimulus témoignent de la charge affective liée à un vécu douloureux en lien à des carences narcissiques et relationnelles précoces. L’aspiration par le blanc (en remarque, puis intégré à la représentation) met en évidence l’empiétement du monde extérieur sur le monde interne. La sensibilité marque un manque fondamental dans les premières relations. Cette lacune blanche, en position centrale, porterait la trace, telle une empreinte, de l’insatisfaction. En réponse, la kinesthésie explosive, traduit la rage narcissique face au vécu d’incomplétude. La réactivation de l’accrochage à l’objet dans le cadre d’une relation symbiotique passe par la projection au dehors et l’élection d’un objet sadique : « mais vous me torturez là ». La dépendance, soulignant le vécu d’impuissance, met à nu des frustrations qui ne peuvent être appréhendées. La difficulté d’être confronté à la blessure met à l’oeuvre, ici et maintenant, un déplacement de l’objet sadique associé à Paule puis au psychologue. L’utilisation d’un tel mécanisme dans son essence défensive empêche l’apparition d’angoisse d’annihilation s’étayant sur l’image d’un corps peu solide et peu contenant. Dans ce sens, la planche réactive fortement le défaut dans le holding et le handling (D.-W. Winnicott). Les représentations de la relation entraînent rapidement la perte d’équilibre interne ; l’objet, pris comme extension du sujet, est investi pour combler ce vide, ce manque douloureux palliant les frustrations précoces.

Planche III

La planche est ressentie de manière beaucoup moins angoissante. Les deux réponses renvoient à une bonne adaptation à la réalité. Le contrôle du stimulus maintient des représentations souvent exprimées par la norme (Ban). La vie pulsionnelle (K) n’est pas mise à l’écart et associée à des contenus humains. Si nous analysons plus précisément la construction des représentations, nous observons, que les aspects de la relation (aspect spéculaire constitué par un face à face) sont marqués par un conflit révélant une certaine angoisse : « ils ont peur l’un de l’autre, ils se protègent ». La confrontation à l’autre serait marquée par l’absence de choix identificatoire (en termes sexués). Si l’identification masculine est appelée (« pourquoi y a pas un homme en face, j’aimerai bien mais je ne vois que deux femmes ») elle demeure inaccessible. L’identification masculine, qui recouvre l’image paternelle, est ensuite reprise (réponse 6) dans l’édification d’un objet séparateur (tentative de tiercéïté) mais non intégré à un contenu humain (objet partiel). Si la signification de la Planche III renvoie à la représentation du couple parental (D. Anzieu), la tendance à éliminer tout contenu masculin prime afin d’éviter la confrontation à une scène originaire interprétée comme un acte générateur d’angoisse et de violence. La mise à l’écart du fantasme permet de ne pas aborder la problématique de la castration (« ils essaient de tirer chacun quelque chose de leur côté »). La scissure masculin/féminin est maintenue entre la passation (ils) et l’enquête (elles).

A un autre niveau, nous notons l’investissement des représentations humaines renvoyant aux contours, à l’enveloppe. La notion d’équilibre (camouflant la chute potentielle) pourrait traduire des expériences frontières entre le sujet et l’objet. La reprise du déterminant sensoriel interprété à l’enquête comme le résultat d’une auto-destruction condense : les failles considérables de l’enveloppe primitive qui ne joue un rôle de protection, la haine déversée contre l’objet tout-puissant, et des fantasmes renvoyant à une problématique symbiotique destructrice.

Planche IV

La première réponse véhicule une réaction d’angoisse qui apparaît telle une terreur nocturne : « je vais faire des cauchemars cette nuit si ça continue ». L’absence de formalisation traduit la difficulté à saisir l’éprouvé qui ne peut être associé à une image plus solide. « Le brouillard » jette un voile pour ainsi dire sur le grand inconfort et le vécu de malaise, mais ne préserve pas le sujet des dangers. En tant que contenu perméable (cotation P), il réactive l’émergence de sensations en relation avec la mort (agonie primitive). L’inconsistance de l’objet ne pouvant assurer la défense du sujet traduit l’instabilité du monde objectal liée à l’instabilité des relations précoces. La seconde réponse traduit un retrait de l’investissement (DO) offrant un repli pour le sujet contre la menace des excitations. Ce mouvement qui tend à effacer une partie du stimulus garantirait une position de survie psychique, assurant une fonction d’auto-réassurance, d’auto-restauration. Ce n’est qu’ensuite et à partir de cette mise à distance (de l’affect) que la globalité du stimulus est prise en considération. L’animal mythologique semble prendre source plus dans un registre archaïque que dans une véritable mise en lien fantasmatique. L’angoisse suscitée ici n’est pas manifestée par une représentation (ou forme) humaine omnipotente. Elle est tributaire de l’étalement du « sombre » envahissant le sujet, ce qui témoignerait d’une mauvaise qualité de l’introjection des fonctions contenantes.

Planche V

Les trois réponses fournies à la planche sont organisées avec cohérence, et maintiennent des représentations exclusivement animales très proches de la banalité. Dans cette logique, les images du bestiaire répondent, en surface, au besoin de sauvegarder les apparences. Les représentations, une fois campées, sont rapidement soulignées par la crainte d’un envahissement total de l’angoisse pouvant submerger le sujet à chaque instant. Telle cette chauve-souris (réponse 12) qui revient planer au-dessus du sujet « une chauve-souris, comme la première ». Nous avions noté l’aspect repoussant de la bête qui fait peur (« qu’on n’a pas envie de caresser ») étayé sur les sensations corporelles. La sensibilité aux nuances sombres (traduite par un C’) témoigne du non dépassement de la position dépressive (pour reprendre les termes de M. Klein) qui permet l’établissement de l’intériorisation de l’objet. Les commentaires du matériel fantasmé comme une extension du psychologue (rôle du fétiche) prennent appui sur la nécessité d’une réassurance narcissique dépendant de l’autre. L’hostilité à l’égard du clinicien perçu comme un objet sadique condenserait le besoin de rétablir un narcissisme illimité (idéalisation du thérapeute investit du « soi grandiose » (H. Kohut) s’associant au désir concomitant de mépriser, d’attaquer l’objet en maintenant l’illusion de l’indépendance. D.-W. Winnicott155 rappelait qu’à ce stade primitif, lorsque l’environnement s’adapte bien et qu’il n’est donc pas perçu, il ne peut exister de sentiment de dépendance. C’est lorsque l’environnement ne réussit pas sa tâche qui consiste à s’adapter que la relation est ressentie et enregistrée comme un empiétement. L’auteur ajoute que ce type de carence engendre obligatoirement une réadaptation du self qui se voit en quelque sorte clivé. Le self authentique reste alors camouflé, protégé par un faux-self qui parviendra à une intégrité trompeuse. C’est ainsi que l’investissement de la planche nous semble réactiver le mouvement d’enfouissement du self se mettant hors d’atteinte : « quelque chose de flou, de dos, qui fuit, qui n’est pas en face de moi ». Le bon ancrage dans la réalité se fonderait, en partie, sur le besoin d’obéir aux exigences de l’environnement (faux-self).

Planche VI

Les deux premières réponses véhiculent l’investissement des limites de l’objet apparaissant soit dans la transparence (réponse 13) soit dans l’effilochement des contours (« un nuage », réponse 14). Dans la mesure où l’établissement de barrières de protection suffisamment stables entre le dedans et le dehors ne peuvent assurer un rôle de protection (ce qui évite la confusion), l’angoisse vespérale constamment combattue apparaît inévitablement : « les nuages que je regarde chaque soir, c’est sombre aussi ». C’est dans cette dynamique que nous avons pris en compte le clair-obscur comme une tendance et non comme une voix d’expression directe de l’angoisse. L’accrochage à l’axe symétrique (« des deux côtés, c’est vraiment similaire, les mêmes contours ») remplit les conditions d’une mise en lien globale visant la domination du stimulus. Le surinvestissement de la symétrie s’inscrivant dans un rassemblement spéculaire prend une signification défensive dans la mesure où le processus associatif souffre d’une abrasion fantasmatique et pulsionnelle. La dernière construction précise la force défensive du détail oligophrénique. Il apparaît lié à la répression de la problématique sexuelle : « Des plumes de chaque côté » où la localisation se juxtapose de façon contiguë à ce qui peut être admis comme un pénis en érection (D2). L’épée qui transperce (réponse 13) peut aussi être ramenée dans le contexte d’une castration non exprimable. Le choix de la planche correspondant à une image paternelle corrobore l’idée d’une inhibition affective portant sur la représentation d’un contenu menaçant immédiatement réprimé. Notons que le DO consiste en une limitation perceptive portant sur la découpe et le contenu de la représentation. Nous ne sommes donc pas loin du déni perceptif que S. Freud (1925 et 1927) articulait au fétichisme. La fragmentation de la réponse indique une approche psychique ne pouvant appréhender ce qui chez l’objet se constitue comme un manque. La prise en compte d’une partie venant signifier le tout empêche donc l’intrusion de l’affect perturbateur.

Planche VII

Un temps de latence très long est immédiatement relié à la charge affective mobilisée par la lacune centrale portant l’expression du vide. En miroir le sujet reste envahit par un vide psychique intense bloquant le système associatif. Le recours à l’acte (manipulation et renversement des planches) traduit le besoin d’une mise en sens ainsi qu’une volonté de maîtrise.

Une première réponse permet d’apprécier le blanc vécu comme un agent séparateur. Une satisfaction narcissique pondère la réponse. L’attention portée sur le C’ produit par un renversement figure/fond, lié à une localisation faisant intervenir le blanc qui caractérise la sensibilité à l’égard du vide, du manque rencontré dans les premières relations affectives. L’image du souffle est une interprétation qui fait davantage appel à des impressions, des sensations, qu’à une représentation signifiante. On y découvre les traces laissées par l’objet. Une seconde réponse reprend l’aspect vaporeux des enveloppes de l’objet associé à un vécu dépressif (tendance C’). L’absence de consistance rend compte de la friabilité des assises narcissiques, de la fragilité du Moi n’ayant pu s’étayer à partir des expériences sensorielles. La stimulation sensorielle a trait aux affects dépressifs teintés d’anxiété diffuse et de dévalorisation narcissique (C’ et E). Une dernière association correspond à une tentative forcée pour traiter l’ensemble du stimulus construit toujours autour du blanc (G confabulé). Les organes sexuels sont moins sous-tendus par une problématique sexuelle génitale que par une réceptivité sensorielle primaire. En effet, nous y découvrons en transparence l’utérus, organe éminemment associé au vécu de plénitude, balayant l’émergence de la séparation et du manque. L’investissement des zones érogènes, dans leur polarité régressive, implique l’investissement des premières surfaces de contact intervenant dans la réceptivité sensorielle.

Planche VIII

La sensibilité aux couleurs se traduit immédiatement en terme de plaisir, bien que la première réponse n’intègre pas le déterminant sensoriel. Si la réponse 19 est adaptée à la réalité, les animaux se trouvent comme englués au reste du stimulus « ils sont collés à quelque chose ». La description met à l’écart toute traduction pulsionnelle. Les rats sont pour ainsi dire figés en l’état. La souplesse fantasmatique n’est donc pas osée. Nous noterons que le choix d’un animal vivant sous la terre (comme manifestation de l’invisible) renvoie à l’univers carcéral souvent décrit par les détenus comme une « rate ». Le lien au rat (raz au sol ) qui fait écho au monde carcéral, réactive probablement le poids des premières relations de dépendance et d’empiétement que nous avons précédemment soulignées. Réponse que nous pouvons aussi associer à celle obtenue à la Planche IV (réponse 8) dans un besoin constant d’étayage.

Une seconde réponse mobilise fortement le maniement de la couleur. La réponse sensorielle CF+ manifeste un émoi ne suscitant pas d’angoisse. La réactivité sensorielle renvoie à une certaine réceptivité (labilité) traduisant un mode de fonctionnement privilégiant la sensorialité.

Planche IX

Une seule réponse met en rapport, dans une représentation faisant intervenir la totalité du stimulus, les couleurs et les émotions vécues positivement. L’influence de la couleur n’est pas tempérée et pourrait témoigner (dans le prolongement de la Planche VIII) d’un contrôle plus ou moins efficace des émotions et affects. Dans la mesure où le sujet se laisse aller dans un vécu sensoriel plutôt agréable, nous pensons que la dynamique associative tend vers une chaleur affective venant donner sens à une expérience ressentie comme satisfaisante. Notons que la planche étaye une représentation paternelle (cf. épreuve des choix) : « un jardinier, c’est plus le travail d’un homme ». Or, Nina Raush de Traubenberg insiste sur la sollicitation symbolique de la planche renvoyant toujours au monde maternel prégénital. Nous pouvons analyser l’appel à une figure paternelle selon deux possibilités. Une première hypothèse est de situer la fonction paternelle comme élément séparateur empêchant la confusion et donc générateur de vie. C’est dans cette optique que nous avions interprété le matériel fourni à la Planche III. Une seconde hypothèse privilégierait les différentes facettes de la relation à une imago maternelle autant bonne que mauvaise. Mauvaise parce qu’intégrée à une situation de dépendance absolue, bonne car associée au réchauffement de la vie affective dont dépendant le sujet. C’est dans ce paradoxe que nous pouvons aussi entendre le lien à l’objet addictif.

Planche X

Nous constatons que quatre réponses sur sept sont de mauvaise qualité formelle (F-) et que les couleurs, précédemment associées à des représentations positives, ne sont pas investies comme un support signifiant. Nous pensons que si la couleur n’est pas intégrée, c’est bien parce que prioritairement cette dernière planche est ressentie comme une blessure marquant la rupture de la relation. La mauvaise qualité des réponses apparaît dans la mesure où le maintient de la qualité du rapport au réel se voit entamé par l’émergence brutale de la séparation. Les F- rendent compte de l’incapacité du sujet à figurer un objet stable et intact ayant pu traverser la situation de rupture.

La vie associative se trouve réduite aux différentes expressions de l’emprise. Des araignées qui envahissent toute la planche, des crabes, des souris prisonniers, des poissons accrochés à l’hameçon, des yeux, pour finalement aboutir à l’image d’un viol. Rappelons que la représentation de l’araignée, du sexe féminin et de la souris sont déjà proposées, respectivement Planche I, VII et VIII. Le recours à l’emprise s’il suppose le besoin de contrôler l’objet, traduit l’effort de se dégager de l’objet perçu dans sa toute-puissance. Ce mécanisme est souvent associé à la relation maternelle primitive. La Planche X est d’ailleurs choisie spontanément comme support de l’image maternelle. Le rapport au sexe féminin (exprimé aussi à la Planche VII), met en scène la volonté de contrôler l’intérieur de l’objet. La projection de la violence que l’on pourrait qualifier d’intrusion sadique obéit à des fantasmes d’identification projective dont l’usage trahit l’angoisse d’être emprisonné et persécuté à l’intérieur du corps de la mère. Si la Planche X est fortement traversée par ce type de fantasme, c’est parce qu’elle est fondamentalement associée au danger de la séparation. La scène du viol ressentie comme un déchirement intérieur peut s’entendre comme un appel des capacités d’introjection du psychologue clinicien auquel le Moi du sujet pourrait s’identifier. Cette demande d’introjection dans l’urgence soulève la question du passage à l’acte où l’autre est assimilé au sujet.

Notes
155.

D.-W. Winnicott, 1958, De la pédiatrie à la psychanalyse, Paris, Payot, 1969, p. 281.