Université Lumière - Lyon 2
Faculté des Lettres, Sciences du Langage et Arts
L'appropriation simultanée de deux langues écrites (français et arménien) de la Grande Section de Maternelle au Cours Elémentaire Première Année
Thèse de doctorat en Sciences du Langage
sous la direction d’Harriet JISA
soutenue le 3 juillet 2002
Composition du jury :
Madame Marie-Madeleine de GAULMYN (Université Lumière-Lyon 2)
Monsieur Robert DERMERGUERIAN (Université de Provence, Aix-Marseille)
Madame Anaïd DONABÉDIAN (INALCO, Paris)
Monsieur Jean-Pierre JAFFRÉ (LEAPLE-CNRS, Villejuif)
Madame Harriet JISA (Université Lumière-Lyon 2, DDL-CNRS)

Remerciements

A Madame le Professeur Marie-Madeleine de GAULMYN, qui nous a fait l'honneur de diriger notre recherche.

Par vos conseils judicieux, votre confiance, votre aide efficace, chaleureuse et pour le moins dynamique, votre exigence intellectuelle, vous m'avez permis de réaliser la recherche dont il est rendu compte dans les pages qui suivent.

Je vous adresse le témoignage de ma plus vive gratitude.

A Madame le Professeur Anaïd DONABÉDIAN-DÉMOPOULOS, linguiste et responsable de la Section d'Etudes Arméniennes à l'INALCO.

Votre disponibilité, vos éclairages précieux et vos encouragements m'ont été d'une aide constante tout au long de mon cursus universitaire.

A Monsieur le Professeur Robert DERMERGUERIAN, titulaire de la Chaire d'Arménologie à l'Université de Provence, qui n'a pas ménagé son aide bibliographique et m'a fait part de son expérience concernant la langue arménienne.

Je remercie très vivement Monsieur Jean-Pierre JAFFRÉ, linguiste et chargé de recherches au CNRS, pour son accueil chaleureux, l'apport de son expérience clinique et les ouvertures qu'il a su me suggérer.

J'adresse mes sincères remerciements à Madame le Professeur Harriet JISA, enseignante à Lyon 2 et chercheur en psycholinguistique à l'UMR Dynamique du Langage pour avoir accepté de juger ce travail.

La recherche exposée ici est basée sur la coopération active des enfants de l'Ecole Arménienne Markarian-Papazian, de sa directrice Madame F. DEBAY et de leurs enseignantes de CP et CE1, Mesdames A. CADART, L. BAJAKDJIAN et A. BÉJART.

Qu'il me soit autorisé ici de vous exprimer toute ma reconnaissance pour votre accueil chaleureux, l'intérêt que vous avez manifesté à ce travail et vos encouragements constants.

A Monseigneur Norvan ZAKARIAN, sans qui mes investigations empiriques n'auraient pu voir le jour.

Je tiens à vous remercier vivement de l'intérêt que vous avez porté à toutes mes recherches et de votre affectueuse sollicitude.

A Madame Armelle JACQUET, linguiste et enseignante à l'Université Lumière-Lyon 2, qui s'est révélée un lecteur critique d'une rare disponibilité.

Qu'elle trouve ici l'expression de ma sincère reconnaissance.

Mes remerciements vont également à Mesdames Isabelle et Claude PORTOUKALIAN pour leur collaboration précieuse dans la récolte des données, ainsi que Monsieur Pascal PORTOUKALIAN qui m'a apporté son aide dans la présentation assistée par ordinateur de cette recherche.

Je tiens à exprimer ma gratitude à Monsieur et Madame Krikor et Christine KHAYIGUIAN, pour la constance de leur soutien amical et efficace, ainsi qu'à Mesdames Aïda et Anie BOUDJIKANIAN, Sossie STAMBOULIAN et Monsieur Ara TOPOUZKHANIAN, qui ont accueilli ce projet et contribué à sa réalisation.

Je remercie aussi pour leur collaboration mes responsables qui, de différentes façons, ont participé au travail entrepris ; Messieurs les Docteurs G. BOACHON et D. GÉRARD ainsi que Monsieur le Professeur R. de VILLARD.

A tous mes collègues de L'I.M.E. du Val-de-Saône, du C.H. St Joseph et St Luc et du C.M.P. du 6ème qui, par leur soutien amical, leur aide et leurs suggestions, ont su créer autour de ce travail une ambiance de recherche et de sympathie dont je conserverai toujours le souvenir.

A la mémoire de ma grand-mère, Madame Yévniké KURKDJIAN, à qui je dédie ce travail qu'elle a inspiré par sa passion pour la langue arménienne.

A mes chers parents, en témoignage de ma très grande affection.
Qu'ils veuillent bien trouver ici l'expression de ma profonde reconnaissance pour leur contribution précieuse à tous les stades d'élaboration de ce long travail de recherche.

A mon frère Benjamin et ma sœur Astrig, pour leurs encouragements constants, leur soutien si efficace et leur aide logistique.
Qu'ils en soient ici remerciés.

«Je garde intacts tous les éléments de ma première culture, et la deuxième devient un enrichissement».
Henri VERNEUIL