A. Dédeyan (1998, p. 31) souligne que «pour établir des contacts avec les ressortissants d'Arménie, les suivre dans leur culture, leur mental et leur psychologie, et répondre pleinement à leur attente de la diaspora, il fallait se rendre à l'évidence de leur altérité – y compris leur langue – en passant impérativement par une phase de connaissance, voire de reconnaissance !».
Nous proposons donc leur répartition en deux catégories distinctes :
– les personnes de nationalité française,
– les demandeurs d'asile.