3. Protéger son territoire et chasser les indésirables.

Si la communauté des voisins cherche à censurer l'inconduite et les mésalliances conjugales, elle désire aussi soumettre à son contrôle l'espace où elle réside. De sorte que la collectivité sait faire bloc lorsqu'elle se sent menacée par un intrus ou par un individu qui n'a pas reçu son agrément. Ainsi s’explique parfois le combat sans merci qui oppose deux commerçants installés à proximité et auquel participent les habitants du quartier. Le désir farouche de défendre « son territoire » procède d'un sentiment de solidarité entre membres d'un même immeuble ou d'un même quartier. Il s’efforce de protéger les biens de chacun et s’oppose à certaines pratiques comme celles des huissiers, par exemple, jugés trop brutales

Pour protéger l'espace habité, les habitants disposent d'un sens aigu de l'observation ( 925 ). Leur perspicacité est rarement pris en défaut et repère aussitôt les indésirables, les vagabonds notamment, toujours suspectés de vouloir s'introduire dans les maisons pour cambrioler les locataires. C'est que la peur du vol obsède tous les esprits ( 926 ). Comme l'obscurité favorise les larcins, certains voisins n'hésitent pas à monter la garde le soir, à l'exemple de Jean-Claude Brunet, un revendeur de gages, qui arpente « l'allée de l'immeuble entre dix et onze heures du soir en tenant à la main un gros bâton »( 927 ). Quand un suspect est repéré, la collectivité toute entière le prend en chasse. Les malfaiteurs les plus habiles parviennent à s'esquiver avant que la vindicte populaire ne s'abatte sur eux. « Le 29 mars dernier....les nommés André Rivet et Michel Mathon....s'introduisirent dans les domiciles des nommés Claude Charvet et Colombe Maigre....il y enlevèrent du linge....; les voisins s'étant aperçus du vol se mirent à crier au voleur, qu'alors les malfaiteurs se voyant découverts laissèrent tomber les paquets dont ils s'étaient saisis et s'enfuirent » ( 928 ). Mais il n’est pas toujours facile d’échapper à une foule en colère, désireuse de régler son sort au coupable. « Le 6 de ce mois, dépose un témoin, vers 7 heures du soir, il entendit que le sieur Turc, maitre toilier, se plaignait de ce que deux femmes venaient de lui....(voler) un coupon de mousseline; lui déposant et le sieur Turc coururent jusqu'en la rue de la Lainerie où on avait vu passer une des femmes et l'arrêtèrent....Pendant ce temps d'autres voisins....avaient arrêté l'autre femme nommée Carron qu'ils conduisirent dans une boutique » ( 929 ). D'ordinaire, ce type de scène se déroule dans un climat tendu, empreint d'une grande violence : comme le fera bientôt le peuple révolutionnaire, la foule justicière s'arroge le droit de punir et de contenir les délinquants qui opèrent sur son « territoire ». Ainsi Benoît Marmet, un maître fabricant en soie suspecté d'avoir dérobé une montre en argent dans le quartier des Terreaux. « A l'aide de plusieurs autres (hommes)....le sieur Julien a traîné le comparant dans le cabaret de la veuve Blanc; là il l'a déshabillé et fouillé....en présence de nombreuses personnes que la curiosité avait amenées. La veuve Blanc....l'a traité de coquin, de voleur....au milieu de tout le peuple qui l'insultait et le menaçait »( 930 ).

Quand l'objet chapardé est récupéré, le voleur peut être relaché et l'affaire en rester là. Le délinquant, vertement sermonné, en est quitte pour la peur, heureux d'avoir pu échapper aux tribunaux. Telle est l'aventure survenue à Claude Duret, un ramoneur originaire de Savoie, arrêté par le voisinage pour avoir dérobé 24 livres dans l'appartement d'un particulier. Saisi au corps par une foule de locataires courroucés, il est traîné de force jusqu'au pied de l'immeuble; « ....là, en présence de nombre de voisins, on lui demanda les 24 livres; il répondit avec beaucoup d'émotion et de frayeur qu'il ne les avait point pris....les assistants s'aperçurent qu'il sortait de sa poche une bourse qu'il cherchait à cacher quelque part....qu'alors on cria il cache, il cache, à cela elle répondante lui saisit le bras....on le conduisit à la rue et là elle retira les 24 livres que le ramoneur lui avait pris...Il se retira confus sans dire mot malgré que chacun dit qu'il méritait d'être rossé » ( 931 ).

Tous les voleurs, cependant, ne s'en tirent pas à si bon compte. Parfois, les coupables sont remis entre les mains de la police de manière à ce que les victimes qui le souhaitent puissent intenter contre eux une action en justice. Rarement, toutefois, les personnes arrêtées sont livrées aux gardiens de l'ordre séance tenante. Auparavant, les voisins procèdent à une fouille méticuleuse à laquelle le suspect ne doit pas s'opposer s'il veut éviter un passage à tabac. Puis, selon la gravité du délit, les voeux de la foule et de la victime, l'accusé est emmené - ou non - au poste de garde. Si les femmes et les habitants domiciliés dans le quartier peuvent espérer bénéficier d'une certaine indulgence de la part du voisinage, les récidivistes et les vagabonds sont traités beaucoup plus durement. C’est qu’à l'heure où le paupérisme devient un problème d'ordre public, les mendiants valides venus d'ailleurs sont l'objet d'un rejet général ( 932 ). Les plus mal lotis restent incontestablement les étrangers nés en dehors des frontières du royaume. Leur « étrangeté » inquiète et suscite une certaine méfiance teintée de xénophobie. Judas Aaron, un colporteur juif venu d’Allemagne, en fait l'amère expérience : soupçonné de vol, ils est aussitôt arrêté par les locataires d'un immeuble qui reconnaissent en lui « une espèce de canaille, de juif, de fripon ». Dépouillé de ses vêtements, fouillé, insulté, il est traîné au corps de garde. Quelques semaines plus tard, les juges le condamneront à cinq ans de galères ( 933 ). Dans cette affaire comme dans beaucoup d'autres, la communauté pèse de tout son poids dans le règlement du conflit. Elle intercepte et visite, de son propre chef, celui qui a violé son espace avant de le livrer à la justice. S'esquisse de la sorte un système judiciaire dual - collectif et spontané d'un côté, officiel et réglementé de l'autre - qui interdit de connaître la réalité criminelle de la société d'Ancien Régime ( 934 ). En effet, combien de coupables ont été relachés avant que les autorités aient eu vent de l’affaire ? Le voisinage opère un tri entre ce qui est porté à la connaissance des tribunaux et ce qui reste un événement interne à la communauté. Dans tous les cas, il joue un rôle actif pour assurer la sauvegarde de l’ordre collectif.

Le contrôle et la défense de l'espace habité passent aussi par la défiance, voire par la franche hostilité de la collectivité à l'égard des professionnels de l'ordre en charge de faire respecter le loi. L'impopularité des maîtres gardes –dont la mission est de veiller au bon respect des règlements corporatifs - sera évoquée plus loin ( 935 ). Elle se traduit par des véritables rébellions au cours desquelles se manifeste une très forte solidarité entre hommes d'un même métier. L'hostilité à l'encontre des huissiers et de ses subalternes se présente sous un jour différent : plutôt qu'un esprit de corps, elle est l'expression d'une solidarité globale, réunissant dans un même ressentiment le voisinage tout entier. Ainsi l'atteste l'identité des accusés, jugés pour s'être opposés à l'action des huissiers et de leurs associés.

Tableau 31. Le profil des opposants, récalcitrants à l'action des huissiers. Nombre de cas : 47

Catégories professionnelles

Nombre de cas

Travailleurs sans qualification

5

Artisans

19

Professions libérales

7

Négociants-Marchands

11

Bourgeois

2

Professions féminines

3

Si les huissiers sont l'objet d'une telle rancoeur, c'est d'abord en raison du métier qu'ils exercent. De fait, leur fonction veut qu’ils mettent à exécution les décisions de justice : ils signifient les arrêtés des tribunaux, organisent les perquisistions, conduisent les saisies et participent aux prises de corps. L’intervention des huissiers est d’autant plus mal perçue qu’elle est vécue comme une véritable intrusion dans la vie des individus. Dans les classes modestes, elle reste synonyme de ruine et d’extorsion d’argent. C’est pourquoi, on s’y oppose souvent, de manière à assurer la survie économique de son foyer.

En second lieu, la détestable réputation du métier tient aussi à la brutalité des méthodes utilisées par les agents de la profession. L’appartement de la femme Raviste est perquisitionné avec fracas vers huit heures du soir, alors qu'elle est déjà au lit ( 936 ). L’huissier Cosnier se rend chez Catherine Planet à six heures du matin. Il réveille sans scrupules la maisonnée qui s'assemble aussitôt devant la porte de la jeune femme ( 937 ). Plus graves encore que ces irruptions inopinées effectuées aux heures les plus inopinéess, sont les procédés employés au cours de ces visites domiciliaires : violences verbales, agressivité, atteinte à l'intégrité physique des personnes, menaces, intimidation, déprédations diverses constituent le catalogue ordinaire des pratiques en cours chez les huissiers et leurs comparses. Au point, parfois, d'entraîner la mort des personnes visitées, comme celle de la veuve Desmaret, décédée « d'émotion », de « chagrin » et de « frayeur » quelques jours après que son foyer ait été perquisitionné ( 938 ). Si toutes les interventions ne se soldent pas de manière aussi tragique, certains récits se font l'écho cependant de scènes particulièrement brutales et virulentes. « Ce jourd'hui 18 septembre, raconte Joseph de l'Eglise greffier à la Sénéchaussée, sur les six heures du matin....l'huissier Bertrand et un record se sont présentés à la porte du plaignant qui était encore au lit; ayant frappé à plusieurs reprises ils menaçaient d'enfoncer la porte lorsque sa femme s'éveilla et fut ouvrir; aussitôt ils la saisirent aux cheveux et....la forcèrent d'ouvrir toutes ses armoires et commodes; ils furent jusque dans la cave où ils fouillèrent encore avec autant de scandale que d'indécence....rouèrent (la femme du plaignant) de coups et la terrassèrent » ( 939 ).

Pourtant, en dépit des apparences, la profession d'huissier est strictement réglementée. En cas de saisie ou de perquisition, un procès-verbal doit être dressé sur le champ qui détaille les affaires enlevées. D'autre part, l'huissier ne peut intervenir chez un particulier que sur demande expresse des autorités judiciaires ou consulaires. Il lui faut pour cela être muni d'un « ordre » ou d'une « ordonnance » et ne pas pratiquer une « inquisition tyrannique », comme le précise dans sa plainte Jacques Lassieux, un maître charpentier ( 940 ). Dans la réalité cependant, la conduite suivie prend souvent un tour très différent. Un sentiment d'arbitraire et de brutalité se dégage des témoignages d'archives qui, s'ils ne doivent pas être pris au pied de la lettre, renvoient pourtant à une réalité sombre et bien ancrée. Elle explique, pour une large part, les réactions de rejet que suscite presque toujours la visite des huissiers. Régulièrement, ces derniers sont pris à partie par des voisins en colère qui se dressent contre eux à la fois par hostilité aux agents de la loi et par solidarité avec les victimes. « Nous nous sommes transportés chez le sieur Rolland ouvrier en soie rue Saint-Georges, raconte un huissier, afin de lui faire enlever....(ses) meubles. .... Plusieurs voisins sont intervenus auxquels il s'est plaint que je le mettais dehors.... Par ses propos il a ameuté tout le voisinage qui....(m'a dit) que c'était moi qui devais sortir du domicile. Ledit Rolland....nous a donné plusieurs coups en nous conduisant hors de son domicile à l'aide de plusieurs voisins....il m'a fait huer par la populace » ( 941 ). Les rébellions les plus sévères, celles qui donnent lieu à la résistance la plus opiniâtre adviennent en cas de décret de prise de corps. C'est que l'arrestation d'un quidam qu'on arrache de son foyer choque toujours la collectivité. Les huissiers le savent bien : ils se font accompagner d'une foule d'auxiliaires qui leur prête main-forte en cas de nécessité. L'opération, cependant, reste hasardeuse et difficile à conduire. A tout instant elle peut dégénérer et déboucher sur des échauffourées impossibles à contenir. Face à une foule hostile et remontée, les représentants de la justice doivent lutter pied à pied et ont souvent bien du mal à s'emparer du prévenu, comme l'exigent les décisions judiciaires qu'ils sont chargés de faire appliquer. L'huissier Jacques Hureau voit ainsi se dresser contre lui une authentique révolte dont il rend compte dans sa plainte. Chargé d'un décret de prise de corps contre un artisan, le nommé Fresne, il se fait prudemment escorter par une dizaine de témoins. Après être parvenu à faire sortir le prévenu, il s'apprête à le conduire au poste de garde. C'est alors que se lève un véritable vent de contestation : « Parvenu au bas de l'escalier (Fresne)....a aussitôt appelé plusieurs de ses voisins lesquels sont survenus ainsi que d'autres particuliers au nombre de 200 qui nous ont assaillis, se jetant sur nous comme des furieux et essayant d'enlever de nos mains Fresne. Ils se sont armés de bâtons et nous poursuivirent en disant Vous n'emmènerez pas Fresne.... Theillard, boulanger....m'a pris au collet et m'a donné des coups de poing sur la joue gauche.... (Il) fit des efforts furieux pour libérer Fresne en lui disant Ne te laisse pas emmenez, ce sont des gens qui n'ont pas d'ordre. Pour nous débarrasser de la populace et éviter un danger évident j'ai requis M. Le capitaine du quartier de la rue Neuve à l'instant survenu au bruit d'une révolte sans fin pour nous prêter main forte » ( 942 ).

L'impopularité des huissiers rejaillit tout naturellement sur ceux qui les accompagnent. Sont particulièrement vilipendés les records. D'ordinaire, ces personnages troubles, à la réputation désavantageuse, escortent les huissiers pour leur servir de témoins ou pour les secourir en cas de besoin. Il arrive aussi qu'ils soient employés comme indicateurs ou comme « mouches », à l'instar de Clément Muriat qui « roule en différents quartiers pour arrêter les voleurs » ( 943 ). Dans tous les cas, ces individus restent des mal aimés parce que leur fonction exige d'eux dissimulation, absence de scrupules et compromission avec les autorités judiciaires. A tout prendre, il semble que les populations leur préfèrent encore les forces de police traditionnelles, la garde bourgeoise, le guet, les arquebusiers ou la compagnie du Lyonnais( 944 ). Non pas en raison d'une mansuétude qui serait propre à ces dernières mais parce que leurs pratiques répressives ne reposent ni sur la tromperie ni sur la duplicité. Est-ce-à dire pour autant que les Lyonnais se montrent plus cléments à l'égard des membres de la police ordinaire ? Assurément non. La volonté affichée par les habitants des différents quartiers d'assurer eux-mêmes le contrôle et la défense des espaces habités entraîne des tensions avec les agents de l'ordre, comme elle occasionne des rébellions avec les représentants de la loi. Peut-être, même, cette opposition redouble-t-elle au cours des dernières années de l'Ancien Régime quand, partout, l'institution policière se renforce et que l'ordre progresse ( 945 ).

Le refus de laisser la rue et les lieux d'habitation aux seuls policiers témoigne d'une forte cohésion communautaire et se traduit de façons très diverses. Le voisinage, par exemple, peut refuser de livrer aux policiers un des siens en lui offrant une cache qui soit sûre. Joseph Farge dit Cacoud, déserteur et voleur à ses heures, bénéficie du concours de nombreux locataires saisis de compassion pour ce «pauvre déserteur» ( 946 ). Marie Thérèse Judacier, une jeune fille de seize ans, est soustraite des mains de la police pendant plusieurs jours par des voisins compréhensifs : elle vient pourtant d'empoisonner sa mère et sa sœur ( 947 ). La collectivité peut aussi prendre fait et cause pour un habitant du quartier et s'opposer physiquement aux forces de l'ordre. Ainsi fait-elle pour protéger Pierre Lombard un marchand vinaigrier, locataire d'un appartement rue Port Charlet. Ce dernier, après avoir occupé les lieux pendant «de longues années» est brusquement sommé par le locataire principal de déménager. Furieux, les autres locataires, parmi lesquels « la plus acharnée était la femme du sieur Massigny et une autre femme....revendeuse de fruits», protestent vigoureusement et accueillent la garde à coups de pierres ( 948 ). Enfin, par solidarité communautaire, quand les policiers ont mis la main sur un voisin, on se préoccupe toujours de son sort. Pour le moins, on l'accompagne jusqu’au poste ou encore on vient prendre de ses nouvelles, à l'exemple de Jacques Antoine Chenaux, un commissionnaire : « il a entendu, dépose-t-il, que le plaignant était détenu au corps du Change....(il) s'y est rendu et a demandé quel était le motif....ajoutant qu'il a toujours connu l'accusé comme honnête homme » ( 949 ). Pour la communauté des voisins, la résistance aux empiétements policiers ou judiciaires passe par la défense de ses membres. En principe, cette solidarité, s'applique à tous, y compris à ceux qui se trouvent en infraction avec la loi. Le quartier sait protéger ses déviants quitte à couvrir des actions illégales. Dans les faits cependant, les déviants qu’on protège sont en priorité des hommes et des femmes qui habitent le quartier depuis longtemps. La solidarité territoriale joue donc surtout en faveur des familles installées, au détriment, donc, des forains et des « étrangers ».

Notes
925.

() Cf. deuxième partie, chapitre 1, A, 2.

926.

() Cf. troisième partie, chapitre 1, B, 1.

927.

() Arch. dép. Rhône, BP 3483, 21 décembre 1782.

928.

() Arch. dép. Rhône, BP 3535, 28 mai 1790.

929.

() Arch. dép. Rhône, BP 3466, 7 juillet 1780.

930.

() Arch. dép. Rhône, BP 3533, 8 novembre 1789.

931.

() Arch. dép. Rhône, BP 3482, 22 octobre 1782.

932.

() Seuls les pauvres Lyonnais bénéficient de mesures d’assistance mises en place par les autorités. Voir Gutton (J.-P.), La société et les pauvres, op. cit. pp. 93-121.

933.

() Arch. dép. Rhône, BP, 3517, 10 août 1787.

934.

() Garnot (B.), Crime et justice aux XVIIème et XVIIIème siècles, op. cit., pp. 131-139.

935.

() Voir troisième partie, chapitre 3, A, 2.

936.

() Arch. dép. Rhône, BP 3453, 27 janvier 1779.

937.

() Arch. dép. Rhône, BP 3510, 28 octobre 1786.

938.

() Arch. dép. Rhône, BP 3480, 19 juin 1782.

939.

() Arch. dép. du Rhône, BP 3537, 18 septembre 1790.

940.

() Arch. dép. Rhône, BP 3453, 12 janvier 1779.

941.

() Arch. dép. Rhône, BP 3524, 12 juillet 1788.

942.

() Arch. dép. Rhône, BP 3455, 29 avril 1779.

943.

() Arch. dép. Rhône, BP 3436, 10 février 1777.

944.

( ) Sur l’histoire du guet à Lyon quelques renseignements intéressants chez Vial (E.), « Le chevalier du guet et sa compagnie », Revue d’histoire de Lyon, T.IV, 1905, 748 pages, pp. 36-50 et 110-132.

945.

() Farge (A.), Vivre dans la rue, op. cit., pp. 193-207.

946.

() Arch. dép. Rhône, BP 3454, 17 février 1779.

947.

() Arch. dép. Rhône, BP 3459, 12 octobre 1779.

948.

() Arch. dép. Rhône, BP 3466, 1er juillet 1780.

949.

() Arch. dép. Rhône, BP 3459, 22 novembre 1779.