a. règles qualitatives

Parmi les règles qui lui sont propres, les théoriciens insistent couramment sur l’indispensable vraisemblance qui doit le caractériser, sur la préparation que l’auteur doit en faire dans les parties précédentes de l’ouvrage, sur la contravention aux règles de l’art que constituent les dénouements par machine ou ceux qui interviennent sur le simple changement de volonté d’un personnage, sans aucune motivation  98 . Il est donc prescrit que le dénouement soit nécessaire, rapide, complet  99 .

Notes
98.

Cf. d’Aubignac (1657), livre second, ch. IX, p. 204-205 ; id., livre second, ch. VIII, p. 195-196 ; Corneille (1660), Deuxième Discours… , p. 220 ; id., Troisième Discours…, p. 246 ; Rapin (1674), [livre II], ch. XXI, p. 188 ; Lamy (1678), ch. XII, p. 170 ; id., deuxième partie, ch. V, p. 204 ; “La Bruyère”, IV, ch. III, 5, p. 98-100 ; Du Bos (1733), I, 13, p. 99 ; id., I, 32, p. 273 ; Marmontel (1787), p. 356-357 ; Nougaret (1769), p. 209 [p. 64] ; Cailhava de l’Estandoux (1786), I, 54, p. 359…

99.

Cf. le rappel fondamental des règles du dénouement dans J. Scherer (1981), p. 128 et suiv. Pour élargir l’éventail, les textes que nous citons sont autres que ceux de Scherer.