IV. Conclusion du chapitre et tableaux récapitulatifs

Le corpus des pièces qui ne s’achèvent pas par un mariage met en valeur la force dénouante du personnage théâtral. Cela est d’autant plus net lorsqu’une parole ou un acte vient annuler ce qui avait été construit pendant toute la pièce.

L’absence de parcours amoureux mené à son terme laissse le choix entre deux fonctionnements principaux. La fin est renvoyée à un ailleurs ou à un après dans lequel peut-être se trouveront des solutions et des accomplissements. Ou bien la pièce s’achève sur un retour à son début. C’est parfois une spirale vers le mieux, comme dans Félicie. Mais c’est le plus souvent une situation pire, rendue plus pessimiste par le déroulement des événements. Se pose alors la question du statut générique de l’œuvre : de quel genre de comédie s’agit-il si la situation finale est pire que la situation initiale ?