2.2.1.6. Les connecteurs

2.2.1.7. Les modalisateurs

2.2.1.8. La pertinence

‘« a. Toutes choses étant égales par ailleurs, plus un énoncé produit d’effets contextuels, plus cet énoncé est pertinent.
b. Toutes choses étant égales par ailleurs, moins un énoncé demande d’efforts de traitement, plus cet énoncé est pertinent 91  ».’
  1. Les implications contextuelles i.e. les conclusions nouvelles que l’on obtient à partir de l’énoncé et du contexte conjointement.
  2. La réévaluation des informations dont on dispose déjà : on peut changer la conviction avec laquelle une proposition est entretenue.
  3. L’éradication de la proposition la plus faiblement entretenue en cas de contradiction entre une proposition déjà en mémoire et une implication contextuelle.
  4. La syntaxe de l’article (les reprises cotextuelles et contextuelles).
  5. La syntaxe de l’adjectif.
  6. La syntaxe de l’adverbe.
  7. La syntaxe du verbe (temps et constructions verbales).
  8. La syntaxe de la jonction (les prépositions, les joncteurs relatifs, les conjonctions).
  9. La ponctuation.
  10. Tout énoncé exigeant un grand effort de traitement.
  11. L’absence de permanence thématique.
  12. Le manque d’information nécessaire.
  13. La contradiction énonciative et inférentielle.
  14. L’absence d’un apport informationnel continu.
  15. La présence d’énoncés qui expriment le contraire de ce que voulait dire l’énonciateur (le contre sens).
Notes
91.

Anne Reboul.- Dictionnaire encyclopédique de pragmatique. Op. Cit. p. 143.