3. La lecture des ratures et des ajouts

  1. « (Mais ce qui a man) Mais, je crois qu’on a dû… », où l'étudiante allait écrire Mais ce qui a manqué, mais s’apercevant qu’il y a des choses qui ont manqué et d’autres qui n’ont pas été suffisantes, et voulant être précise, elle a raturé le verbe manquer.
  2. « pour enrichir ma(connaissance) langue » où l’effacement serait dû à une difficulté à continuer dûment l’énoncé.
  3. « et elle a réussit vraiment réussit » où l’ajout de l’adverbe vraiment voudrait souligner que l'étudiante ne fait pas cette évaluation positive par courtoisie et qu’elle est sincère dans ses propos.
  4. « qu’on discute e dans la vie quotidienne » où l’étudiante aurait d’abord voulu écrire en classe. Mais, ne voulant pas limiter les lieux de la discussion au cadre de la classe, elle a écrit dans la vie quotidienne. Ceci révèle en outre la maîtrise de l’opposition en / dans.