2. Sur le plan pragmatique

  1. Les paramètres de la situation : Qui ? Quoi ? Où ? Comment ? Quand ? et le premier soupçonné.
  2. Le deuxième soupçonné.
  3. Accusation de Norbert.
  4. La redondance de l’information dans les énoncés : «* Fabrice Beaulieu était assassiné », « et il est mort », « *ils ont interrogé après la mort. » « Berthier l’a interrogé dans son château après l’assassinat. »
  5. Le contre sens dû au déficit lexical dans les énoncés :
    1. «* rien de concret pour le rendre assassin » qu’il faudrait traduire par : rien de concret pour l’inculper.
    2. « …et d’autre chose qui lui rend l’assassin » qu’il faudrait traduirepar : et d’autres preuves qui l’inculpaient.
  1. L’équivoque due à l’emploi du générique « mort » au lieu du spécifique l’assassinat dans l’énoncé : « *Frémont qui était chez lui quand ils l’ont interrogé après la mort… » où la mort pourrait être attribuée à Frémont. Mais le savoir encyclopédique du récepteur, qui sait qu’on n’interroge une personne après sa mort, lui permet de bien interpréter l’énoncé.