3. La lecture des ratures et des ajouts

  1. « *je n’ai n’avais qu’un an pour avoir ma lycance » où la rature marque une hésitation entre l’emploi du présent lié au moment de l’énonciation et l’imparfait. L’adoption de l’imparfait serait due au raisonnement suivant : le moment de l’énonciation est antérieur au moment de l’obtention de la licence.
  2. « *j’espère beaucoup que vous accepter acceptezma demande… » qui montre l’assimilation de l’accord sujet / verbe.
  3. « *l’entosiasme » corrigé en l’enthousiasme.
  4. « *beauqcoup » corrigé en beaucoup.