2. Sur le plan pragmatique

  1. La redondance de l’information dans les énoncés suivants :
    1. « *un pétrolier se couler ».
    2. « le pétrolier a coulé dans l’eau ».
    3. « une catastrophe écologique menace le Nord de la Bretagne ».
    4. « 20000 tonnes de pétrole…menacent le Nord de la Bretagne».
    5. « *le pétrole a coulé et flotté sur la surface du mer en transformant le couleur du bleu au noir ».
    6. « *toute l’eau de la mer était polué ».
    7. « *pollution mort et souffrance ».
  1. La contradiction énonciative due à l’utilisation des manchettes sans aucune adaptation au sein du récit.
  2. La contradiction inférentielle qui se trouve dans les énoncés :
    1. « *Dimanche le 18 Janvier 1986. un pétrolier se couler ».
    2. « *Dimanche passé s’etait éloigné du port un pétrolier ver le Nord de l’affrique mais il n’a jamais arrivé » et « *jusqu’à aujourd’hui la côte Bretagne souffre de cette catastrophe » où l’on ne saisit plus le moment de l’énonciation par rapport à la catastrophe.
  1. La difficulté d’interpréter le mot « *toxidé » qu’il faudrait traduire par : ont été intoxiqués dans l’énoncé : « *…les poissons et les fruits de mer sont toxidés » où l’emploi du verbe être au présent occasionne une contradiction énonciative puisqu’il s’agit d’un récit au passé. Cet emploi serait dû à une confusion entre le passif et le passé composé du verbe intoxiquer.