Sixième production : Une lettre adressée à un responsable

1. Sur le plan syntaxique

  1. Le remplacement du de de rattachement par du dans l’énoncé: « *Je suis le maire du Annout ».
  2. La non sensibilisation à l’opposition entre à et a, l’emploi de « *beaucoup des» devant l’adjectif, l’omission de l’anaphorique cotextuel y et le remplacement de la préposition à par pour qui est une traduction de la langue maternelle et qui révèle l’ignorance de la construction du verbe aiderquelqu’unà faire quelquechose dans l’énoncé : «*comme vous le savez notre communauté à besoin de beaucoup des innovations. C’est pourquoi je vous suggère de nous aider pour construire des nouvelles moyens de distraction » qu’il faudrait corriger en : Comme vous le savez, notre commune a besoin de beaucoup d’innovations. C’est pourquoi je vous demande de nous aider à y installer de nouveaux moyens de distraction.
  3. L’addition du pronom complément le et le remplacement de à par « pour » dans l’énoncé : « *Nous avons un grand terrain pour l’aménager ».
  4. L’instabilité dans l’emploi de la locution avoir besoin dans les énoncés : « *notre commune à besoin de… », « *Nous sommes besoin de votre permition… » et « *nous sommes besoin d’une salle de conférence et des vestiaires… » où l’emploi de des à la place de de devant « vestiaires » confirme cette instabilité comme il révèle la non assimilation de la fonction de la conjonction de coordination et.
  5. La persévérance à ne pas toujours conjuguer le verbe dans l’énoncé : «Si vous me permettre ».
  6. L’éloignement du pronom relatif qui de son référent dans l’énoncé : «*le deuxième projet sera plus culturelle qui conserne la majorité des gens cultivés » qu’il faudrait corriger en :le deuxième projet sera plus culturel, il concerne la majorité des gens cultivés.
  7. Le remplacement de la préposition à par pour dans l’énoncé: «*une partie est consacrée pour les vieux », qu’il faudrait corriger en :une partie est consacrée aux vieux.
  8. Le remplacement de au par dans le dans l’énoncé: « *Dans le deuxième étage nous construirons une grande bibliothèque » qui est une traduction de la langue maternelle.
  9. Le remplacement de la préposition à par pour qui est dû à la langue maternelle dans l’énoncé : « *Nous construirons une grand bibliothèque contenant tout les livres et les références nécessaires pour nous étudiants ».
  10. Le remplacement de dans par dont probablement par inattention dans l’énoncé : «…*deux salles dont lesquels nous mettons des caméras de ciné pour présenter des films éducatives ».
  11. L’omission du de de classification dans l’énoncé : « *nous devons avoir une subvention d’un million dollar » qui est due aussi à une traduction de la langue maternelle.
  12. La confusion entre le sens du verbe intéresser et celui du verbe s’intéresser dans l’énoncé : « *Je suis sûre que nous interesse à la renovationdu pays en général ».
  13. L’emploi du subjonctif après le verbe espérer dans l’énoncé : « *c’est pourquoi J’espère que vous commenciez par notre petite commune ».
  14. Les prépositions posent un grand problème à l'étudiante qui remplace souvent les prépositions sémantiquement vides par des prépositions à sens plein où l’influence de la langue maternelle est claire.
  15. L’instabilité dans l’emploi des verbes puisque nous pouvons lire dans cette production :
    1. « *Si vous me permettre ».
    2. « *Je suis sûre que vous interesse ».
    3. Mais :
    4. « vous le savez ».
    5. « vous commencez ».