1. Sur le plan syntaxique

1. L’omission de l’anaphorique contextuel le devant le nom commissaire et devant l’expression rêve 2000.
2. La succession de deux cataphoriques dans l’énoncé : « *Il était un directeur d’une banque ».
3. Le remplacement de l’article contracté du formé de de et de l’anaphorique contextuel le par de dans l’énoncé : « *Après l’enquête de commissaire Berthier».
4. L’ajout de la conjonction et et le remplacement du participe passé interrogé par interrogeant dans l’énoncé : « *Mme Beaulieu, la femme de Fabrice, et interrogeant par Berthier était aussi subsconné » qu’il faudrait corriger en : Mme Beaulieu, la femme de Fabrice Beaulieu, interrogée par Berthier, était aussi soupçonnée.
5. L’ajout de la conjonction et, le remplacement du pronom relatif qui par que etle remplacement de l’ complément par lui dans l’énoncé : « *et elle a aussi caché le testament que lui accuse » qu’il faudrait corriger en : elle avait aussi caché le testament qui l’accusait, ceci prouve la confusion dans la syntaxe des pronoms relatifs et dans celle du verbe accuser.
6. La répétition de Berthier alors qu’on pouvait remplacer le nom par l’anaphorique cotextuel il.
7. Le remplacement du de de rattachement par à, l’omission de l’article la, le remplacement de l’anaphorique ce dernier par l’anaphorique il et l’enchaînement par un où qu’il faudrait remplacer par un point [.] dans l’énoncé « *Après une ruse à part de Berthier, il a pu prendre les empreintes digitales de Norbert où il avait la preuve concrète que Norbert était l’assassin » qu’il faudrait corriger en : Après une ruse de la part de Berthier, ce dernier a pu prendre les empreintes digitales de Norbert. Ainsi, il avait la preuve concrète que ce dernier était l’assassin. Notons que dans cet énoncé l’interprétation de il n’est pas aisée à cause de l’équivoque. Signalons aussi la difficulté à gérer les temps dans un récit au passé quand il s’agit d’employer le plus-que-parfait.
8. La succession de « Mais puis » dans l’énoncé « *Mais puis Berthier a pu découvrir…»