2. Sur le plan pragmatique

  1. Les réponses aux questions : Quand ? Quoi ? Qui ?
  2. Les causes de la disparition de Fabrice Beaulieu.
  3. Les personnes soupçonnées par le commissaire Berthier.
  4. Le résultat de l’enquête.
  5. La redondance due à la répétition de l’information dans les deux énoncés : « cet homme a disparu » et « c’et pourquoi il a disparu ».
  6. La contradiction énonciative dans les énoncés : « *qui s’est caché », «*cet homme a disparu », « *il a disparu », « *il a un, jour passé, menacé Fabrice Beaulieu », « *elle a caché certaines vérités » et « *elle a aussi cache le testament » où il faudrait remplacer le passé composé par le plus-que-parfait parce qu’il s’agit d’actions antérieures à un passé composé. Signalons que « il a tombé » doit être corrigé en : il est tombé puisque le verbe tomber a le trait [- transitif].
  7. L’effort de traitement qu’exigent les énoncés suivants : « *parce qu’il a un jour passé menacé Fabrice Beaulieu » qu’il faudrait traduire par : parce qu’il avait, dans le passé, menacé Fabrice Beaulieu. « Mais Frémont a pu vérifier son alibi » qu’il faudrait traduire par : Mais Frémont a pu défendre son alibi. Notons enfin l’équivoque signalée dans la partie (cf. Sur le plan syntaxique 6°).